8 HI O I B S D E ^ Ç,H-A, M1» I G N ( « O s r
que sa partie extérieure et coriace n'a besoin que de se prolonger en
même-temps qu'elle s'enracine par le.jcôté opposé à son pédicule
pour produire la plante dans son entier ; et ce quime le persuader oit}
c'est que les graines de ,1a btidulaîie striée., la seule, dont la surfacè
soit laineuse, .esfc^ussi la seule qui aitj|Ê| graines veluest,, pl. II,
fig.-.IH, iv y . LHtemps considérable qu'il faut àjCes graines pou&j è
développer est cause que je ne donne ceci que .comme i^ne simple
conjecture.
I l y a dès champignons qui parviennent dans l'espace de six h
douze beùîps à leur plus: complet développement j ¿¡fllfi nombre
sont" l^jap- coRSque lque s pézizes S plusieurs ApiiucaL »Ils que
l'A&iÉRïb DE BOJISE , l'AGARIC mom,Ç:N * virai?,, M«"* «""''ri
TEiGkoiB., 1'agaric chançelWm't ¿¿etc. Il s'en tro M a^î . 111 s s i un BleZ'
grand nombre, tels queI'agari-c coriace,, l^Lgjja'apa^éteaiB&RjflM
I'agXric d ' ^mb , l e bolet.hérissé-,lemti cuTiflw wi.i ;|ilusu mis
at:iucttt.atbes ,.,e|c. à qui l'espacff|d'un an suffit à peifcjjpour arriver
.^S dernii''rr I(''i-Mjit; de leur accroissement- II .y en ard'autrekéncoie,
tels que lejbolet. unght-é., le eolétïamabi9.u^ê"r , dont l'e^sllnel!
se, prolonge un si grand nombre d'années qu'ojj n'en <;omi<|itpas
encore le terme. Jçripourrois donner la preuve de ce que j'avance
sur d^;màmdu%;yivaiis- , donl j.easuis ,i \. <.j
la plus grande^ exactitude les développemens progressifs depuis
Jje1 1 ^'aiuiQncë^pcor^-'^eiîr dépérissement , et ils
àvoiérit bien à c e ; c i ï i q à six ans lorsqu^je les
ai vus pour la première fois. Pansiceux-ci comme dans les premiers
l'accroissement,s:e< fait par intussusception , c'est-à-dire qu'au,
moyen de. leurs racinesj^ou des qrganetfqui en font l'es^foncti'ons,
ils* tirent de la terre , ou dés corps s,ur lesquels ils ont pris, naissance,
un suc limph^iqua, qui , distribue, av.ee del|§rtainès
mesures ju&qu'aux.. plus fine§t. divisions des fibres¿charnues; qui les
composent, augmentent dansjtel ou; tel espace de temps, la longueur,
et la largeur de ces fibres , et leur donnent plus ou moins
de solidité.
Mais l'accroissement des champignons fugaces ne me paroît point
se fair e de la. même manière que dans ceux qui sont d'une consistance
subéreuse ou comme ligneuse) ceux-ci ont des rapports très-marqués
I > i f f l R m Y m y a g w j 11 ; • 9
l a j u b s t a r t c ^ f e ^ u ê des?J|brës , leurs- feches concentriques ,
ainsV n i^Bf e -S^mi f cd'uni l ons i s t anc e beaucoup; moins so-
% f ; ' ; l a l e n t e u r
î»^.. ('jT(.; r s Jnouvemens de la
« P P f l B h i f e r a n a * » H f f i f t j j j f t n C i élaboration
tritive , qiMllëRmîliji.i-i'i^i feiSn q^®^fs4elpropT^| dans des
.ITOTOI \ capillaires, et qu'elle suit la ¡ ¡ ¡ f ^ w 1 1 ^ q.ue I f f t ? s »
tend ¡cbntinuëll^Bnt à augmenter en hauteur et en largeur le tçpnc
»ff i l bran«. l&iV. o k arbre ; » 1 »
assertiosa , c'est qine l'on voit ce bolet qui nous fournit f i lter.
liaque année d'un 'rajEg d ^ l ^ s ^ ,
et donner de nf®,u«lles semences comme . à p ^ n t de,
H H flcftsfc des fruitp. ]1 q W pas <gj m OE de llccroissénïtent
des champignons fugaces , et sur-tout de ce N v
j^^Muii nt-à'tiur dcrni«d^ré dgdé«loppewîCiit
; 1 a â /mph»de | t i^f f l | a j i gment e r à un K j poi^tMt-cn
fllM Sih pi l 'al lo3igiuent ^^ ^ p ^ ' ^ o l ^ ^ ^ p i 1 1 1 6 ,
3 es intervalles que laissent fghtif* di f ^ ç m ^ t
anM. 1 i îiWWBH-Gna me'^pbrt.emde H i r a WSl < w H B R | | | coupe
l e S in
" t i o ' J ^ a W i i É W i quion W™
ebntraMKKÎ^ d(-> l^^ltoàrtomtfé&ite l i q i n^t y ^^^fas inug.
bfên paMunï Veut qu^Kar^utr^^Wçr^mpdtiic^^^^laquellè
ëëttS liqÉitf-s'iîiïiltt^^Sre'ps.
â n B pas'^éla^^tibn , puisqu'il | i i -<i ei^p;p^étr^brt a^^ntdans:
l'intérieur ».^ÎSâ; ( 'iS-liqy^urjest aussi^colorée que_.ee] qui
BPHBWWd rtis le vase j B b j ^êM? 1 ? 1^^^1 1 ?
" H B f ^ P I K ! • u n
f W p l j W l a p l ^ ^ a n i '-sjeune champignon , p l . - I , fig. XI. p,^ .^ et
Hpe- M s KbillJp:' ^ jn^É^pa a l â t i ..du.pédûi'çl^d&ns
cêem m lme i l ^ u i l i x ^ S l ^ e^ jSuï^iajD^^axnue
, et il 'lïi i S v |i, r il
que-la subst-ancfc* médillaire qui occupe le,centEe de son pédicule ,
"en ÉMWiântv qu? jRsol t disjjki« du de la chair, comme dans
1'AtfAR'I<ÎlïCOMEST'ÎB-LEFAGARIÇ '^»GE-VRAIE l'AGARIC ORONGE-
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