8z OR D R E PRE M ï E R.
déliées, d'un rouge violet, destinées à former de nouveaux individus
j des enveloppes elle pénètre dans l'intérieur de la bulbe qu'elle
fait périr j et si au bout de quelque temps on tiré jçette bulbe de
terre on n'en trouvé: plus que la substance membraneuse., et quelques
unes des plus grosses fibres*'charnues:, à proprement parler,
le Squelette.
Cette truffe ràvâgèroit en peu de'; temps un champ d#sâfran, si
l'on ne se dépêchoit d'ar r^er les progrfS(<Ju nia,l;j pQuri^tpffet y-on
cerne d'une tranché||de i5'|§p8 pouces de profondeuries endroits
où Cf^t La mort du safran (c'est le nom que les cultivateurs donnent
à cette truffe) , et on ù soin d'en jettër la tërr^îiir l'ëhdrriit qu'on
a cerné $ l'expérieiice,ajant||ppris, qu'une .seulg pellée M cette i^rre
répandue sur une partie du champ^ o;ù. les7ôignonsSo{nt §aiii§j j
porte la contagion j il y a plas , c'est qu'on prétend, qu'au bout cÎq
quinze et môme de vingt ans , si, l'on plantoit dans Je m.èuie endroit
de nouveaux oignons de:,safran, la znariçty. rattrgjt.
M.. FOUGJEHOUX JJ'E BONDAROY nous a laissé un mémoire .fort
intéressant ,sur lés diver|jl|maladie§| duM| |ran; il les a déçritës
toutes , et particulièrement celle coimuedçs cultivateurs souslè nom
de taçom , qu'il ne faut pas; confondre avec celle qui a pour causé
la truffe qui fait lé sujet de "¡cette description.
I l paroît quela truffe parasite ne s'attache pas seulement àu safran;
M- DU ÏLÏMÈ-L. dit-)l'avoir vue.sur des racines d'niÈBLE,
d'Asrj-aoïi, ©'arrête - beuf , etc.
GENRE II. KEtiGULAiREi GEN'ïTS li. Reti*
I CJJ-.LA;R.IJ.
Muçiiago MEîch. Miî;h, , .'Agaricuiû.-Mich. .. CIilos îiÏN. :
• . . Mucor Bolt .. . Lïit.* V
Fu®«ìs primd aetate mot-
• lis^jjlerumque spisso tur gens
succo > deindé iiasénSì>tìir^ir-~
mitatem nancisGéns ^ ut de-*
Tnum éa?sW^àtidne/latfrì'OÈin
lis. Tunc rt/ptus mrìnifestùt
semincì-'piilvertfòrmiù. j'MòdQ
'Jibfis ' ikiriòdUs' iMpedità ,modo jrìèMbfdjìùlis feti&uh&-
fan coèùrifibìià iritèt-sècta > mòdo
etiam intra thèCas corìSL- -il
ceas nidulàntiài
Xjés ¿¿t^pïiAi&Ms: :sònt btdinàirëment
d'une v^ottisisi^û^'- nw^Hfesé
dans leur premier âgte,;souvent môme
elles ne5 sont form'éék0 qùe d'un^suô
ép&j-^fl^^'qn'bHei'avancént-en
âge ^ elles deviennent plus fërmeW
"quand elles sont de&'échées elles
sont p'oiir la plupart très - frlàblés.
Lë§f| sffiSenbìf^ qui ijb' p r ésetttént
tol|MfÎSblii!fla fbïffië d'une poudré
très^fine ,rsoiit renfermais dans léiif
intérieur ; ellég y sont i-ctënucs pai
des libres bu de petites cloisons membraneSf's,
diverseiîiént enlacées1, ou
bien dans des èspèces d'étuis coriaces.
Êliell ne-viëhnent jamais sous i? r. ti cu T.ARI M nunquar/L
terré", .{ff®t lë.ffiifipûuvënt sur des subterraneae ;. saepius super
végétaiix qu'elle^ ; prennent iikis- yegetabilta crcscentes ; raro
s ance , et aux dépens desquels elles stipitatae , nunc puhinatae ,
croissent ¡¡arement pé- nunc subglobosae ; quandodiculées.}.
tantôtuellegsont en îéTm.^,, que flexuosae.
de coussin, tantôt elle^&nfed'ungforme
arrondi e j quelquefois elles
sont, un hjT^ff&gffi^^
Ojss. Quelques espèces de ce gen- ObS. RETICULARJJE nonre
ónt des rapports assez marqués nullae adquasdcan LYCOPERavec
les vessl ¿¡èw | s .( genre VI ; ) DORUM spmÊjk (genus VI 1)