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rent, le fluide spermatique is'épanche comme une goutte d'huile
autour de chaque globule, pl . I , fig.^JFÎiï'.
Pour l'ordinaire on voit flotter, dans le fluide! mu cilagineux f que
chaque globule répand, lorsqu'il se brisé , de
moins appareils et de différentes formf^ y c | | petits corps ¡ressemblent
assez, dans^ertainesiïpous^ières, à ceux: qu'on observe dansda liqueur
spermatiqup. de certains animaux ; maissce nl|st autre cWse
que :1e même fluide sous unei QQÀ^tan.G^jgnwôeleji^l .
ai jamais.vu ,çe mouvement dont parlp M. G.MT,OR{-I-:W -, darife d'aire
très,, telles que la poussifre du L I N . ^ B Î J L T ^ , l ^ p l u s | e u r ^ F F I I S I , il®
paroissen^a^oir.:, une jepnsistanc£fcChaxnuer|s ©^Morps fent Lr<
appareils dans la poussière des malvacé»s| desf
L I S des T IT^MALES . , et notamment du AIR*»
C H E V ^ F E J 7 I L Ï , E BOIS , TS M H T T I R ^ & I I
KOIKE,, du SEIGLEjppMMOTr, dfe la cl 11 l,"\t(,.l i V
' • POEEfSS- pi- 17 ; on ¡Ifsaufeibcàu'-.
coup plus difficilement darisgfpiii «l< ^ gl.iljiil.
KÉCI-ISSIKII ,, d e ^ i ^ E f ^ P1- 1 ? % : ¥ • du;
tout, quelqu'effort que l'on fa^se , da^sie ifluidoJsfsermSliqufeiiî
DAOTHÏÏT. i j ^ BLEDS , d e l a CPJTAPK&SBLTJETTE^ d e l?A'LOESF«sbl%i
d e P A K G È ^ T J » E .ÇPMMTOTE « t ^ »
Il se trouve aussi quelque! fleW$hen assez petit nohib#, *à la»
vérité, dont les, globules contiennent beaucoup plus.xd'a>ir> quifeide
fluide spermatique ; ce,: n'es.l qu'â&id& J^^lus£%tRs|nt i l lcsç. '
qu'on apperçpit celui qui sort desifgfebuli s . pfu^K urs ALOÎ:S;
mais, on voit.de gr;pss,^ bulles d'air , qui^-à mesure qu.-'w IIJII^
les se développent ,jK§féleyent'i||a, s i u ^ i é d i f e ^ ^ - n i
IL ne faut pas-confondre, commet on P | | fai t , lé .fluiA^peirma-.
tique des végétaux, avec ces huiles essentielles,
rées^ qui se trouvent autour des globules % p n d a n s ^ iMf e p a r t •;
des plantes , et notamment dfgcelles; qui ont leffecproïïes les,plus
apparentes; on ne voit point de-.¡ces sucs, hudlè»Hdans le »signage
des germes des plantf? •d&;Ia,.<?Bro.tQgam^| .que^t. la
quantité de fluide spermatique qui les entoure | | # j a d i s que ,daàisr
certaines fleurs ils recouvrent d'une, couche fort .épaisse l'eau dans
laquelle'on en fait développer la poussière fécondante.,' à l'aide
de
de là^cMléur huilai ethérées ne paraissent avoir, aucun
rkpport'-avé^la1« mais à ;en juger par leur volatilité ,
par les précautions que la Sature, a prisés: pour en rendre l'exhalationàussi
promptéeque sure en lès^plàlpintjl^ut'Qur d'une infinité
dë petitsftiebrpsaiTOrLdïIi et d'unfe'extrême légèr^.^JMs que spnt des
glPbti]»iifM»hdaîià/5 ilrést permis de croire qu'elle leur a donné
quèlquéH propriétés1', plus ¡géné|||fe. ; ®%lt peut-êjr^¡ûiême -uM% des
raisons ^ouMiélquëllês, dans uSe partie;dilsS^gwitùx^, ; elle^a multipli
êj; b é.aufëo up a u-delà du n o m b r pn és éjjs air3e à la: fécondation ces
gïobu Igjyki'àns de leur poussière fécondante. i
^ ' f w i ^ i l ^ 'a- Hw«ei?tai3ï H n t quepHfluides spëjpnàtique paraît
êtr^levixtê®fc dans toutes les^plantes ^ ç?pst uii muellage limpide qui,
qTiHqiïe nousien aitent ROSIER ,
GÉmï'CM^^^Ê-et bi'àwlup dMiitr&quÉiÉnt ffsfit sur lS.f®ondation,
ne BélqBteffiiit tfe la.jSjurface! dp ¡l'eau , ]et in''a ¿|^in;t les:
caractères
d^fÉbuileM^Mne::diffêre?iyiisiblememt dans déïéjp^G^S distinctes; que
corps flojttëht. Êé? n'e#t pa§ïfsans.|d©u^ ;Ge fluide que? Pindus*r
triiûs^;abfeille^S chercher d^|i:s les fleSs|,; elleHarrêt&||it indistinctement
:'toute^|| : mâïsî{<fe sont dont n ^ s vvenons
sur;
dêup'ârlèrBet dont son admirable! instinct l a porte à fairé|çhoix pour
fin fSçbriqiti'er' là matière preMeiispd^^BJiire.lien mêm.èitemps. qu'elle
dàss Î ^ . trpu^®tf dans
l^iléà^Ur dët!corPlle^ M ^artip. la p^^gsiibtile de ¡la sève réunie à
quêlque's*. suas" propres dpnt®lle®pmpâffi le .ïffliii|H
L'^kâmenl deSpistils:, et surtout des; ;i%gm^|p|^, méiite autant
d'attention qUè' celui de!la poussière fé.epndante ; il existe entre®es
deuxiforganil^ des| rapport A i ééîijenti^p| quîê^; pqur.ieniConnoître,
I^^élitablè^/.&x^eù^fl îl faut inéces,sair.pment lqs| avoir observés
l'uniét l'autre dan^ l^mâme fleur.
i irli.elpifygmatell, dje même que slë^|iglpbuK de la poussière fécon^
danté , ne doivent être&onsidéiS sque comnfi de|î| agens médiats
de la féconda tion ; ils reçoi vent des globulps le. fluidè;spermatique,
ils lellransmettent aux ; g è rme a p i ^ l à ^ bornent leurs, fonctions. Il
est d'autant'plus important de ne pas, perdrè|d||yuie cette observation,
tant à; l'égard de la poussière fécondante, qu'à l'égard H B H H I