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de fibres chevelues enlacées, qui livrent passage aux semences -lesquelles
sont très-petites et d'un brun noirâtre.aJja membran%,qui
sert de base aux pédicules de, cette sphserocarpe est très - apparente
et d'un blanc grisâtre.
5me. Espèce, planche 4 1 7 i ^g* !•
S P I I AERO C A R P E utiiCFiAiáE. SI'HAERO CARP US
- TT T R ÏCUTJ A 11 I S .
S p B JE R OC A R p r/ s sûpitibus~simplicïbub\ gracillimis , •cylin-'
draceis , brevissimis ; pèricarpiis latís , ovifórmibus ^ intàs iAx
reticulatis.
Triehia peüolo brevissimoÍBapitulo sphoerieo. Haix. Stirp. Tah. 48.Fig.'2.%
Caract. Spècif. LA SPHAE-ROCARPE xiTRicuiAiiiE ést la plus grosse
des espèces qui nous'soient connue^;jusqu'ici f on la distingue'àansl
peine à.ses pédicules simplgs,, trèsÉfc grêl||..^¿&lindriques ¿t_fort
courts , et sur-tout à ses péricarpes d'une forme ovoïde , d'un brun
noirâtre d'abord, blanpsEnsuite et transparus ,,dû moins® leur
partie supérieure ¿ quoiqu'ils nesoient paseneSre oii^glrtS;. Cettg
espèce est la seule dont Iesgraines , lorsqu'elles sont parvenues au
terme de leur dissémination .gSprefipitent au- fond du p&ácarpe ;
elles sont d'abord insérées à-quelques, filets , tendus d'une parois.du
péricarpe-à l'autre , toute, la capacité, du péricarpe en pároli remplie
; mais 'elles sont -sensiblement "séparées les unes dès aut resêé
qui s'apperçoit très-bien à l'aide d'une forte loupe à une pfertaine
époque elles abandonnent ces filets-, et sont entraînées par leur
propre poids au dipnd du ^asei? de manière^,que;si l'on en changé la
direction, elles* changent aussi de place. ; La membrane qui sert de
base, aux pédicules de. cette sphasroearpe, est d'un rouge ferrugineux
; on ne l'apperçoit quelquefois que difficilement.
Obs. Les grâines'dé1 la'sphserocarpé utriculairë 'sont rondes
noires et très-petites 5 elles sont rassemblées par petits grumeaux
I arrondis
' G E X R E '• ..S i -HïE àWA ' a p E.||. 129
arrondis» ou d'une -forme un peu allongée1; lôt si on les. observe
plôngfjs dans un fluide^ on croit voir, de petites'capsules; je les
ai même décrites pour telles^ page 4; ce n'est que depuis que cette
partie de mon travail es.t imprimée , qu'en soumettant de nouveau
ces graine» à l'Observation, j'ai vu qu'elles h'étôieÎat peint entourées
d'une enveloppe, mais seulement fortement agglutinées le||unes
aux autres.
Rappr<0i. Cette«phasroQarpe n'||de rapport qu'avec lardés16, espècé,
la spgAmQCAisyJc'^^i.xrèB.E ,;.pl. « o , fig. II; maifjtette
dernière .est presque sessile , ses! péricarpes beaucoup plus petits
que ceux' de la sphsèroc%rpe-'Utticulairèy sont blëû'ïtles danS
leur adoljljence, et ses semences , ..aux approches,: de leur dissémi-i
nation, ne se précipitent point au fond du. périç-arjj'^i^mme
celles de la sphseroçarpe qui fait le sujet dé Cette description.
6 f . Espèce, plancha 4 1 7 ? figure H»
S P H A E R O C A R P E -piEIF.Oi ¿¿L I gPHAf iR^^^pj^S
* P I -R X, J?S§ M IJSBÈ
sS PB AE RO c A RPV s lutèusyuernicoMs ;^ricarpuÈffiitôMatis ,
in stipitem cylindraceum sgm§im desinëntibus.
Caract: Spêçif. La sphaeMcahpAib.ifok]ïé%. est jaune et comme
Vernissée; ses péricarpes -, d'une form^ turbinée^ se prcpmgent insensiblement
en un pédicule .simple, cylindrique ,i,èjt assez allongé.
Ses à^menceAsont d'un beau jaune, ainSgue lé rfseau chevelu, sur
lequel elleg, sont ins|rées> La membrane;, qui ||rt de base; ià ses
pédicules^ést blanche et très-apparentg» <
Rapprocha Au premier coup-d'oeil on pourroit prendre la sphaerocarpe
piriforme pour 1 a s.i> ri ùau)cakpf. chhy:so'si'f.k :vik , dont il y
a deux variétés représentées' fig. IV; mais outre"! qul^eitte dernière
a ses péricarpes constamment d'une forme arrondie ses pédicules ,
si par hasard elle est pédiculée , sont toujours beaucoup plus courts
que ceux de la sphserocarpe piriforme.
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