n66 •
Rappi-dc'h'. fi arrive assez souvent que l'on confond la pézize
en RADIS çivec la S9me- espèéië, la PÉZIZE PÉDICÎTME; mais-, outre que
bettg. dernïere n'est jamais profondément implantée ;en terre, elle
a. ga' surface inférieure velue, et elle par jets
instantanées très-visibles1 ; la pézizév e n f f i Ä ^ ;àu 'contraire > R t
constamment glabre, et l'émission de ses "semences në'"s'apperçoit
pas.
E s p è c e , p l anche 4 ? f i g u r é III.
P ^ Z J Z t f t T, î i„?Ej FÉ Z I Z A
PEZI¿A'cerea, tennis , fragilîs , glctbra , sUpïtata ; radicè±
tuberosâ : craterâ cupulari.
' Ruii^isfùpr infiiâ-iëfeTto^Ë^^jre â l b o ; ' I I I .
. K. M. in latëritiQÏiiceteitém Y £'. çuiu. a?K£ÏE'transit.
Caract. Sptcif. La P£ZIZE TUBEREUSE-CSÎ mince ," fragile , gbl.iv:;
" et transparente comme de. la cire ; .©lie a un k>ng^ p é d ^ » e dont
l'extrémité inférieure se termineîen un gros t u b e r ^ ^ | | l a t i n « |u:
cïiâfnu "èt -nbir¿trfe / s a partie?supérieuré ^ t J
de même quë'daiis
n i » de petits,sillons longitudinaux.
(Sfette péiizeïe trouve toujora-s^profondément implant«e 4 '
jaune paille , tirant un peu sur le bistre,ou.sur le '1 • es iig. III.
- ;elif ^eYiçat enstjiiç d'u^'rçjigç kita,,,fig, x,, •
; Rapproch. La^pézizè tuftérëtiéf resàè^^p^iéf f ie^t^fe;
dentef qu'il est dîBicile t e Fén divulguer avant (pie d'avoir tiré de
terre Sa racine • ces deux espèçës ont la même coft'sistaïicfe c't à-peitprès
là même épaisseur,. puisque'la coupe de l'tme , fig. « j représente
parfaitement celle' «le l'autre ; elle;S d â f | aussi la Imèia^WOriiiié:
et la même couleur,; avec cette seule différence que^ïa pézizë tubéreuse
dan^ aa vieillesse pst; d'ian brun rougeâtre „ ^u lieu que la-
1 es K:À»is est d'une é©»leur bistrée ou d'un brun foncé. -