G E « B—M m Tus IF e s; 81
4 m e f E s p è c e y planche ¿¡.56.
PARA SI TÎÇVJU:
TUBEK radicïbus instruction ; in vivis/usgetàbilibus parasitansi
• \ ¿ ^ é t í l w r ^ d ú SàfrliéV Du HAMEX.. Académie Royale des Scieices de Paris ¿
EfïP a.
•r Mémoire .Otóívations sur les 'Maladies du Safran. Ï?Î>UGEB.OUX de BONDAHOY , Acad.
* llovalc dg|S.cieucus|dc l'aris . an. io5, avec iig.
Caract. spácif. La TRUFFE PAB-ÀSITE est la seule qui ait de véritables
rapines; "fc&j&iaë'jusqu'ici qui s'attache'
aux végétaux vivant, pour s^Cn approprier les sucs. Comme les
feutres-espèces dç'ce gcn¥ëîT,î::,elle' a ses grtSries renfermées dans l'inférieur
«^^acbair 5 m^ principalement par ses racines qu'elle
se réproduit;
OBS. M. DÎT TIAÀTF.L , ;feét excëllent obsërvateur de nos jours} est
le premier qui nous ait ;dônné une description satisfaisante de Ce
yégétal ffilsi Connu dans lè. Gâtinois , dansi-la Normandie et dans
tousi lesrtend|îM|jMS l'on ¿cultive le safran,, par les ravages qu'il
fait dans ius; safranieres j après l'avoir examiné attentivement,, il
dit;qu'il- lui trouye de très-grands rapports avec la truffe ; et en effet,
¿a. manière dg naftïe , le aBms de son accroissement, et celui de sa
réprod|iction , justifient pleinement cette assertion. La TRUFFE PARASITE
naît sous terre , comme les autres espèces du même genre j
elle y prend»%n accroissement'> mais au l|eu de tirer de la terre
ps sucs né® ssaires^ga Subsistance, elle s'approprie ceux des végétàtg
vivanS'. aux racin|;^M|lquels elle s'attache ; si l'on plante un
oignon de safran, quicen soit déjà attaqué, on plante avec lui son
ennemi mortel, et bientôt, tó^s^leg 9Ígnons;qm se. trouvent dans
son voisinage en sont atteintsjelles'attâched'abord aux enveloppes
coriaces et membr^euses^;de^ espèces de
suçoirs charnus,' situés aux extrémités oie ses fibres radicales; du
lieu de l'insertion de ces suçoirs partent des fibrilles extrêmement
"X '