36 HISTOIRE D R S CMMEIG»0®S
isolés et errans qu'elles-ont de gloBùles féGonâansbjrèèS' globules;
sont d'abord -contenus dans imèi^i^è^dê^urà^âèt - l 'ôâ hciiritae
anthère*: les-champignons, à l'exception'detjEeuk-dont lèsgrairiës
sont renfermées dans' une masse charnue ou pulpeiise ,>'öounne lês
trtti'Ïks , les r^t i cul a iû^I les VT:s»i~i.oüi>s , etc. J>ént aussi leur;
fluide spërïnatique -dans dé' petites vèsMlfsliqui, de mémo quelles
globules fécondansT d'une * fleur , se crèvent dans îè 'voisinage "'dés
graines; mais ces vésiculcvs spernuitique^l'sont tantôt fixes, tantôt
errantes ; celles qui sont errantes ne^^têHt jamais d'une enveloppe
commune ^ e lmmè les* globtijfejl des étamihe§|poUdreusëS ; ltSifilets
courts, sur-lëiiquels les grainës dès clïâmpignon|||^nt insérées , fönt
l'office de istygmateS ëf. de ; stylés j\0p;|il|.;' gïn deux-miÎtlfei®; quojfpa
fécondation deS champignons diffèiiO. de Cell'e des- plantes que l'on
nomme stduunifôres.
Le fluide spermatiqufe d'une fleur , qui a des étainines poudreuses ,
est renfermé dans des globules , 1 , -'»I p]. I , fig. II ;
fluide puisse opérer lä/ffieondation, Jäifaut qu'ifesoit ÂpOrtélsiirië
stygmatè par ces globulés' S ,^qü'Äpin^t r e dalîjs l^-vd^^gmx du
stylê^^Q: etpdilllà' ' dans l ' intér i^S dp|* gräMfe;s, S r J e n ^^Sëtemps
qu'ilf ¡est suivi d 'uf t portion d'air,.|atM^^bériqu® ., com-m®:,
nous l'avons dit pag^Sô ; nôUsi avons yu aj|i®i pagiléf|S qu^^®Ipiuss
o u v e n t l o r s q u e le stygmatè est arroséïdu
au moment^ même de-îcettâirrorS^ni;: il reçoit iäMBmnulsion qui
détermine "ce1 fluide àvpénétr-er dans lesi g r a i n ^ ^ ^K^ qUi du moinsen
accélère ign favorise i?iö;tirdmisstön , s ans laquelle il n'y a point
de HflHp4âtion.
Dans lés champignons pqui ont dëi^véstoufe{spfrin^tiqu!es„-, cjêst
absolument la m| feé chös5&, leurs germes sont p|f%Mlfän| ; à une
Certaine époque, ils.;sont pénétras d'un fluideis^m!|lableâ^|iui qui
réside' dans les: globuliàîllhfitté poussière f§B0ndanè|j| cé- fluide
leur parvient par uneffoute'opposé;| à' CelHdes sUBfpqui ontfsfervià
»la préformation de ces germes ; il entraîne après lui Une certaine
portion d'air atmospbériqué ; dans'la plupart mêmé||êttë intromission
du fluide spermatique dans les graines p a-roi t accompagnée d'impulsions
I i i y a donc une analogie parfaite entregla fécondation
des graines de ces champignons et celle des yëgétaux qui ont
des
R l Y A'i'U'Mi E. ' 37
I H , pl. I
«Montre ,jêv;idemmelnit :B|;'flkidé|fqui fcit <dë$|pésicules'£, 9, en
arrospii les gratoéj^xo , i iâJps:- pénètre etxën.^ivifîe lès germes de
l f t f m ^ f i f e m a n i a q u e "qui ¡fist apporté sur le stygmatè; d'une
fleur, pourvue d'étamines poudreuses , pl. I , fig. I I , par les globules
fé&ndiiffl^ 1 ¿if^ '3s. «ï
C'egs;id|nc une erreùr d t^i^i m ftu'il soit d 'une nécessité indispensable
H pour qu„e l a>i f |®ida t i&i .pt f f lu' , que l'agent -fécondateur
S f e i p ^ e n l ^ soius : 'aauferm| |d'unlpous s ièrefS@uloi r : trouver dans
toùsxiè|i'î^étaus! jf ë a u r
j g 0 f f l & ^ Ê B & â t s fM& yMi i é t i nui pèà^Bndi i loe j â ' ^Ki t n nSs s a r i c c des
mopfns- qu|e*if| nature||||plo>ig avêC'tan^^sû^èsîpouÈique
chaque e s p é r a i t en égale p^ortifeMla^puissance rsëproductr.ice;;;Jîous
ne devons pas ®us, nousal t o n h j r de xM p a |Bi f fî^^.i&lissièie:fécon'
dan|e ;dans; les |eltatmpignonsque tSous neitef.sainmes lorsque: nous
ne le;leur vopAis ni caliceini corolle :. à proprenjent pà-rler ils n'ont
ni Pipi« ni Bausl^^i^i^^^^fei is.^; ^Gép©^antffeÉ^0uissanta.dex-ti0us
les ag^éjliages qui *sontj^tjtl^ohfes.i;j leurstegrainesi-ont, uni:abri
s ûr . et leur fécondation rep,©sp|^ur-'d'ès bases:¡aussi solides,^pour le
moins:,, que( -® le'^des végétaux-qMbnt pourvu^à-Ia-fç)iB; d'un:'calice,?
d'une * f f o l lM d?§tamiries et dj^pfttils.
pas des -sfeu^ végéittauxidQnt lès graines
Sfpnt f^eondé^jans l'xn^rye^tion
dans- .
l^pojjssEs , 1®fougères;, et mêmèidans plufieurâ plia&tes' qu'oiiine
regarde p.asfeomme de'JcryptiOgMô^^elliqùèjlWipoem
dant Ggi Viégét.aux:; ont B S d e S / g r a i j i ^ ^Mg i SKt e t dans^pSparidà.
féfàndation s'^èife^de la^miême mani^3 que^dans JegKshaiiipign'ons.
. L^rBELULaire/^obîpmbÎirt];-- , pa? Exemple, iesjteuns pMnteherbacée
et vis&^dont f ^ - d J ^ b a ^ ^ ^ p l .
XXIy«»''-, cjassf: de.
; upaxce qu'il n^ïra point
v u fJi. phiitête ffarcl qu^| -njy a-,p;a^, vu' :j®pou;sM!^fé-
^ t e qui! par ;organisàtion singulière^ forme
ouî-dont lesjétamaies ne
sont, pas po,udrejj.ses , :se trouve «avoir : de>si grands rapports par