3oo O R D R E QTJ.À T R I E M E.
Caracp. Spéeif. l/nj:a.\'}q.T.K j-ï4STi<,>;ivE ,{\st fragile et transparente
; elle a sonpé,dicul& gr.êie, cylindrique , uni on légèrement
onchi-lé,eJt fisjtul&usi d7un bout à l'autre. Son chapeau mince, lisse
dessus et dessous , est toujours partagé en plusieurs lobes. 1
Cette helvelle est -terrestre et .constamment Bolitaii^||j§gHe doniie ses''semences .par jets instantanées
, ,et vàrig assefe fréquemment dans sa forme et sfeiàSïffënSîôns'. ®on? 'éÉaJïan^ i
dont la forme approche a^ez-ordinairement de celle d'une :mitrei;f: ;es1:?leKplui;soÙTent
«partagë en deux ou troi|çlÔi)es réflécbis.f quelquefois cèpendant-'il^ést div'iiliM un plus
, ;grand nombre de lobés, tantôt .Terticanxtantôt penébé^itôîut d'un,.'coté ét diversement
contournés ; quelquefois aussi s'eç lobes sont .¡libérons an pédicule, jmr leur bord
eu par leur surface inférieure.
T'ar, On distingue deux varié tés. ,dî? CPtte hclv.elle , la. blanche
et la brune. première , fig. ]i.!).ï.ï.:s, est blanchâtre qu d'un
grisâtre. Xrn. .s#jp<?qde, % . P.j est d'un brun c.endrçe , ou
noirâtre.
. Rqpprop/i. L'helvell.e. élas tique a l.e,s plus grands rapports avec;,
l'espèce précédente"; mais elle en diffère assez par la forme constante
de son pédieule v: pour qu'on ^ puissêj prcndré^l'une pour
l'autre. Par sa*consistance > par sa couleur, et par la manière d o «
elle donne ses s.ernences, elle se rapproche aussi beauc|>up de la irc*
variété, de la P:ÉZIZÉ IppicuiA]:, représentée-p®45 y*, iig. I I J^ÈTÉEL
qui spinble encore augmenter la .spimne des rapports .entre ces deux
espèces, c'est qu'eps ont quMquefoi^l'u^S5gt l'autre'$e petit§
enfoncemens à la surface de leur pédicule ; mais remarquez que c'est
de la surface supérieuredu chapeau d®a pézize pédiculée que se
fait l'émissiçn de s£s semjaijgies, tandis que çetlï-,helYçlle, de même
que toutes les espèces du même genre , ne donne ses semences que,
de la surface inférieure de son chapeau. J^oyez en outre ce.que
nous avons dit à c l sujet , pagi ^ i v ;
GEICR-E