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dans leur jeunesse il n'est p a s ^ p a r e | « t U es; pre^u'jmpossible
de ne pli les confondre, à tttoïns quW rie lés coniparedans l'état de
dessiccation. On pourroJt^aipJ| trouver beaucçpp dp ressemblance
entre la*reUculaire "dès jardins Vt la précédente 5 mais celle-ci a sa
rliair ferme dans son adolescence aù.Goiritraii'e de la rétieulaire ides
jardins qui, oemme. je.l'ai. dit plus haut,,. n'a ,pas pl®s d«\ çoiisislanco;
qué; de l'écume.
3 " » . E s p f c i v p l â î i c l i e fi g . I .
R É T I G U L A I Ï I E JAUsri, 1 RETJCULARIA\Ïpr**.
Ret 'i^u, ^rpulyïhafçLt subgoçsygina,^.seminibus in loçelli?
membranacehs nididantibus. „
, Muftsrisëjitigjiis ¿Bôl t i'ung. fasc.; III? ; t ab. i;34.
, >t â b ' M. I I
Caract. Spécifi ja u n i e sefcréiiôïinoît & sk tailleur
et aux maillés de .son i;eÉau membraneux ordinairement jaunes,
et qui sont si étroites qu'on a deja po^^ à les distinguer à l^oeM
nu..Kilo a toujours sa surface, plus ou mpins^çptonncuse. Dans sa
jeunesse ^elle es|. aussi molle que de lgçix^e|.s^ on latpwçfiç,.. elle
s'attacbelux doigts , quelquefois même elle ,1^ teint <Tun suc semblable
à^eluid^fesCHÉijXDOi^. ;.Aux approches de la dispersion de
¿esusemençè.s;^ - ellei .se réduit en poudre au plus léger froissement.
Sè^«em( • 1 1 ?Ws t f ï i t d'un brun ' S^^^^J&Sf^'S ' '
Obsï Cette réticulaire varie beaufcoup de formes et de dimensions.^
On la trouve tantôt sur des vé||fâiix vivans, tantôt sttï des
débris des feuilles mortes, quelquefois sur la terre..
Rapproclù Par son organisâÎMniinterne, elle a les plus grands
rapports avec la variété jaune de la r ^ t x c u î i . a i i u - : d k s j a r d i w s ; mais
outre qu'elle est beaucoup plus pétite, ses ¡loges séminales sont bien
plus étroites, et lès-cloisons m èmbraneùses, qui servent de placentas
à ses .seiïiences , sont ordinairement jaunes.