66 HISTOI.EE'" DBS'I£aiAM'PIfi^O.NS
trerai pa"sr;'dâiis! 'dë pïùs"4dngs détàiîsl jè dirai seulement un mo*
de la; MôRiiiLi iMPUùiçfrEj dont la-flëondation mé paiêîtJ âussidsè
faire dé lë même maùièrè que dariis-Vlès-4»a-É^FES• les-'-ÎKÉïïÇ&jaÀjafii^
y-eïc: ^tofisris? àWfe des particularités qui >nëp«Sè reii-^
contrènt'^ï^détis d^htréï espë'é'ês dë cette familléyàPêxèëptiou
peut-être dù -qiii â. beaucoup def¥8j)p{>jrt âlfcëô
cèfte MûKïEÎ3ï&,3-mâis què^'é ii'ai iàmaiiï'Viï dans saiïra-îëMéùi'.
lia: "kdKiiiÉ'M -rsrp'éfMiQTrÊ' a un "vàbjp. corrtpfet- j une'vèSpèëë dS
bourbe-' qraai%hfeimëi'ttmtês les autres parties qui-Composent
champignonfe^a^s-* él^rèvë tëujôûr&laVeclin ëeïtain " e f f o r t e t
queïqfiéïois âVèc iinè1 «iplosidn pfësqu'aussi forte'! qti'un ëbup -dé
pistolet, j• il- ¡¡ixivd-iTiôàui^ssëz stiuvëiit.qrui Fsi bii a irus 'cé-'cfliampignon
dans ûn vâse"dë "ïhïni, ou de® faïanëë- ^ dont" il remplisse'
toute: la tâjià'èïtë',1' etcàû fond'duquelH7 ait un peu d'eau';* il bwso
quand l'air fâmosphériquë7éstVn-mêiiîë-tëmps c haud ?ét §|6*P«
Si > avant qSêW'&oftè&àè -?à
vous observez !nucni^êèi^cëtie subs&ii&lè&^Érïàiféi ë:t #SMâïrë^
qui doit" fo^ef^Tâ'^âilîé^UpéHëttrë dersën tliaipëkiï , •îjé',sùppose'
que -rôtis én ' 'àyéz-ëttliBf'é: '-Hné l amé ' irrtif<fÉ?k l'aide
d'un instrument ffèsHràhchànt ; votis verrez•qu?élÎé!?ëst: composée
d'une dnffnité?âë iinfa6sités-àispS§^s-£^|fBéâiic»up-a'brd^^' vous!
distingue'rèa •s^:pétïtelcgiàinés opaques , ipfr pouï l'ordiàtïil^tfèsnombr'éuSë's
,-insérées aux |Mëisrdë;cësï ïsinus, et vous ^erté^lës'in?
fervalles;qu'ils'lâissërit;èntr?éux"fpl. i l f i g r ^ V l I j oeéupés^ai un
fluidëVjui parôït être d'une'consistan'cè mucilagineusè. Si5'/ au contraire
, vous attendez''pour observé? ceUèy'ii;ul)sî:'anc(:'(¡lié;
se soit crév-é-, ;à peine si vous pourrez-distinguer1®.^ sinUosités'qui
auparavant étoient disposées avec tant d'oïdré y êé ne" seraRàussf
qu'avec beaucoup de difficultés que. fous • â ^ p ^ ï î ë t ^ e z ^ i ^ â & i â ^
parce qu'alors:'élles se trouvent pêle-iïiêle entre les plis confus dé
cette substance , pl. I lyf ig. XVI , qui bientôt se' convërtit^éiï une
éspèce de sirop mielleux et très-fétide. '
D'après cët exposé nè pouri'bit-on pas croire que ce fluide renfermé
avec lès graines entre les sinuosités de-cette substance charnue
encore dans son volva , est le fluide fécondant ; que l'instant où ce
voîva
D U R Wfâ A cr mmm 6t
ijoha se ciitSVQ,est aussiie,el-ui on ce fluide pénètre dans les graines
pour en vivifier lps germes' ? Il |^|ulteroit delà,-que la MOUILLÉ
IMF 1;UTQ171-.,. q uoique bien diffé^émment organisée que les TRUITES ,
'les k.Tïic-ulaie.e^, li®^;§SB:-®^Si||vetc. , quoiqu'elle; n'ait point,
comme elles, l^g^menciff • renfermées au centre d'une substance
pharnue ou||pulpeuse, auroit cependant ses graines fécondées de la
mêmeMnanière;;, avec cette que , si 1'impulsioii
est «n*éAe.s,saire pour: détermina le :fluide|||permatique à pénétrer
dans d'intérieur des grain es 'DJÉI TRTTRJPFCÉFESI BJTICUL AIRES , etc.,
ellë; n'ëst que pajiÉi|lle, c'est- à - dire|| q j ^ l p në s'opère que id'une
cellul^^wutrefiou.^dSl'ëxtrêmitS d§ân^£b::e autre «extrémité,
'et-<lc«[8Mft enëore |raûsqu'à ^e quelle ait jeu lieu dans! tous les
ponR de la sulgtancf interne tdu champignon j au lieu, que dans
dont ilB'agit, uneBeule. impulsion réàâén|ïei dans le
lj|qu|||ps' ses
grainëii^ffiit insérées , seroit suffisante pour -mettre,-, en action lé
fluidjl spermatiqjp.ëi qulwâ envir-C>nn||^
Jfâi^^^RMlparlant dal a taaat^ue cetté
TRHÏFE Boit fraîchëll ce n'étoit pâspiifmoment d^iksqumettre;àl'observation
, spar laidlfficulté. ;^en|enle^,er une lame asjgz'mince sans
déranger les pârtigSdélicates qui en composent la chair .; il en est
de akêine derla.310RII.M: I ' 1 >IE,et si ciiair^, n'ayant.pasdatcénsistance
deiselle plus gïfindes difficul^.
tés ;• .maisïSaSÉpus a.-\iez laissé dossécîier plusieurs individus de cette
MORILLE .les uns , avant que,J^wZvarsê;soit crévé , les autres 'après',
voia^tpourrez .Édo!rsBn|^MserverBans difficulté les parties les plùs
déliëaite||;;gomm^| cett^substantflfiërte qu®.porte les graineè
acquiert, en se desséchant, unecgrandel'solidité , on peut en détacher
desjflames. aussi minces qu'on le juge à propos ; il arrive assez
souvënt que ces lames sç>roulent sous l'instrument, mais îvous les
imbibez un instant dëilfo'trë haleine^ elles èè redressent, et. vous
pouvez alorsjles ' observer très.- commodément jusque dans les plus
petits détails, avec des|lentillê4|simplS du plus,court foyer. Il n'y
a qu'un inconvénient- auquel fg nSmfoîs. pas trop de moyen de
remédier,, c'est que les graines'® qui^j|nt "très fines , se détachent
pour la plupart du lieu dé, leur insertion j mais il en reste preS' ni