
( )
S P E C I E S ,
A P I E.
ESPÈCES.
F E M IN Æ . F E M E L L E S .
Albilarse. * Fahr. Trypoxylon. n ° l.
Figulus. Fahr. Trypoxyl. n.“ 2.
Panzer. Spkex.
Fciscipennia*EAit. Trypoxyl. -a . 5 .
Albilarse. * De même, mais il porte
sous le pétiole une
épine crochue re -
courbe'e en arrière.
Figulus. D e même, mais plus
petit.
( I ji| )
D A R R A. L A R R E.
Cellula radialis , una , parva ,
lepiter appendicea.
Cellulæ cubitales , très : prima ,
magna ,* secunda, minor , antice
coarctata , excipit duos nervos récurrentes
; tertia, fere semilunaris,
apicem aloe non attingit.
Mandibulæ, unideniaioe, calcare
proeditæ.
Antennæ , filiformes , duodecim
articulis compositæ in fem inis,
tredecim in marïbus.
Cellule radiale, une , petite, lé gèrement
appendicée.
Cellules cubitales, trois: la i . " “ ,
grande; la 2.°, plus petite, resserre'e
dans sa partie antérieure , reçoit les
deux nervures récurrentes; la 3 ° ,
presque sémilunaire, n’atteint pas le
bout de l’ aile.
Mandibules , unidenlées, éperon-
nées.
Antennes, filiformes , composées
de douze anneaux dans les femelles,
et de treize dans les mâles.
1. Observalio. Feminoe aculeo pun-
gente recondito annatoe sunt.
2, Observalio. Punctum aloe fere
inconspicuum.
.1 . Observation. Les femelles sont
armées d’un aiguillon piquanL et caché.
2. Observation. L e point de l’aile est
à peine visible.
La seule inspection de l’aile suffira pour reconnaître les larres,
puisqu’il n’y a que ces insectes et les abeilles qui aient la troisième
cellule cubitale sémilunaire. Si l’on pouvait hésiter encore un
instant entre ces deux genres, il ne faudrait, pour se décider, qu’un
léger examen des antennes, qui sont brisées dans les abeilles, ou
bien des mandibules qui sont éperonnées dans les larres.
Le genre le plus voisin des larres est, sans contredit, celui des
pompiles ; mais les larres en sont séparées par la grosseur de leur
tète, par la grandeur de leurs yeux, par leur abdomen moins effilé,
plus triangulaire, et enfin par leurs jambes plus courtes.