S t y l e s s ix ou s e p t, d ro its , filifo rm e s , réunis vers le u r b a s e , libre s vers le u r sommet,
de la couleur de l ’o v a ir e , plus longs que le s étamines. S t i g m a t e s s im ple s , t rom p é s ,
de cou leu r brune.
F r u i t ...............
Osa 1” J’ai rapporté la plante qua I viens de décrire au l j | | , parce qu’elle a une grande affinité avec
les espèces de ce genre I sur-tout avec les I B I lucida et hirsuta. Je l ’ai nommée amhtgua, parce qu elle se
Ï p ^ o c h e du j L p ^ s par se. fleurs polygames , par sa corolle à six ou à sept divitions, par le nombre des
étamines etdesstyles. , D
a- En consultant les descriptions que lànmeus et Jussieu ont données du Jm sn rH o s et du R ot* * * 1 il
semble qu’il est Emile de rapporter à chacun de ces genres les espèces qui doivent leur appartenir. Mais lorsqu on
„ r i e que le , descriptions génériques n’ont été faites que sur un petit nombre d’espèces (,),q u e le , description
ne sont pas entièrement conformes à l ’observation (a ), et que les espèces qui on . été ajoutées dep u s ,.présentent
des exceptions aux caractères énoncé, (5); on conçoit combien celui qui décrit une espèce intermédiaire ou participant
également aux caractères des deux genres , doit être embarrassé dans le choix de celui qu .1 doit adopter
Oei inconVénien. es. très-grave pour l’auteur systématique , qui doit craindre de placer 1 espèce qu .1 déent — 1 extrêmement éloigné de celui auquel elle doit appartenir (4); mais .1 es. presque nul dans 1 ordre
naturel où le Botaniste cherchant à multiplier les affinités, à établir des transitions entre le» genre, et les
S m peu importe qu’une espèce douteuse soit 1. dernière d’un genre, ou la première de celui qu, suit immé-
diatement pourvu que l’on donne l’extension convenable au caractère du genre auquel cette espèce est ajoutée.
3- Comme il n’existe qu’une phrase trèseourte du Ko rut,A jtolyandra, il est impossible de prononcer n 1.
pianta que je viens de décrire est la même espèce, ou si elle en est distincte. Le nombre des ftyles que
Linireus fils Alton et Thunherg on. passé sous silence, Eut présumer que ces deux plantes sont différentes.
Le i o m - v J ambigua se distingue encore du Æ o r r r r polyandra par plusieurs caractères, , et sur-tout par ses
fleurs portées sur de longs pédoncules.
Steel des fie i , Corolle à six divisions, vue par derrière, a , Corolle à sept divisions, ouverte pour montrer
l ’insertion, le nombre.et la forme des étamines. 5 , Une étamine grossie. 4 , Colme et putii. 5 , Pistil grossi pour
faire voir le nombre des. styles et la forme des stigmates.
(0 Diosfysos lotus et vigihte— Jt ™ * * * « S**»- *?■*• «W6* Ç » '*>■
a Frac,us « o n t e * non es. capsula unilocul,ris. G.cu tsbu C ^ u& g .v o l. a , png. 6o.
(5) R o m hirsuta. Jrcq. Culte. V , pag. . .0. _ R o m polyandra. Tue».. Erodrom. p.g. So.
(4) t a t e , ad Decandriani Monogyniaiu spa c ia l; DiospyrOs ad Po ly g am cn Dioecam.