
 
		un prolongement de  son  ép id e rme,  disposés snr tra.s  rangs tres-rapprochés ;  de la  forme  
 des  divisions  du  calice  et  s’ élevant  à  la  même  hauteur  :  c e u x   du  rang  in fé r ie u r , au  —  B8Ü alternes  avec  le s  divisions  dm calice  et  de  meme  cou leur  en  
 deho rs;  c e u x  des  rangs  sup é r ieu rs ,  àu nombre  de  six  ou  de  h u i t ,   un  p eu   p lus  c o u r t s ,  
 blanchâtres  dans  le u r  partie  in fé r ie u re ,  d’un b leu   tendre  vers  le u r   somme  . 
 É t a m i n e s   très-nombreuses,  attachées  à  la  partie  supérieure  de  l ’ovaireH ¡¡¡¡¡— g  
 plusieurs  ra n g s , d’nn beau  ja u n e , inégales  :  celles des rangs  infeneurs1 j j S g g | | |   
 la   lon gu eur  des  p é ta le s ;  celles  des  rangs  su p é r ieu rs,  insensiblement  p  us  courtes.  
 F u J s   ordinairement lib r e s , quelquefois  adhérons  d e u x a d e u x , ou  trois g | g g | | | |   
 hase ;  élargis dans le u r m oitié in fé r ie u re , rétrécis dans  la  supérieure qui  P f 
 u n  annendice linéaire ,  obtus  et de  la  cou leur  des petales.  A n t h e r e s   adhérentes  a  
 p artie moyenne  de  la   face  antérieure  des  file ts , lin é a ire s , à d eu x   lo b e s ,  s ouvrant  Iongitudinalement. 
   .  ..  .  , 
 O v a i r e  g lo b u le u x ,  adhérent inférieurement  à la  partie  du  calice  qui n est point  diy isee ;  
 de la  cou leur des étamines. S r r n E  nul.  pavoisé  rad ié , c o n c a v e , muni dan 
 le   centre d’un tu b e rcule  b lanchâtre;  subsistant. R a y o n s   du  s t i g m a t e   au nombre  de  
 s e iz e ,  o v a le s ,  a ig u s ,  courbés  en  dedans  à  le u r   sommet,  paraissant  hérissés m ten eu - 
 r em en t, lorsqu’on  les  observe avec  la   loupe. 
 B a i E  s è ch e , munie à sa base  des folioles d u ca lic e ,  de la  grosseur d une N e fle  g 
 p a r  le   s tigmate,  hérissée  sur  toute  sa  surface  de  la   base  subsistante  des  petales  et  des 
 '  étamines®  divisée  en  plusieurs l o g e s , contenant un grand nombre de semences,  ¿ o g e s 
 en nombre  éga l  au x   rayons  du  s tigm a te ,  remplies  d’une  substance  d abord pulpeuse , 
 ensuite spongieuse.  1  • 
 S e m e n c e s   de  la   grosseur d’un  grain  de M il le t ,  de  cou leu r ro s e ,  attachées  au x   cloisons,  
 à   demi  recouvertes par u n  arille.  A r i l l e  membraneux,  se.séparant de  la  semence lo is -   
 q u ’ elle  est m û r e ,  et  adhérent a  la   cloison. 
 f i » .   ,•   Le  W b Ê   d o it-il  appartenir  à  la  division  des  Apétales?  Dans  toxxtes  les  espèces  de  
 ne tirent point leur origine du même point; ne doit-on pas conclure que dans le N ympmæa  1   enve opp  q 
 c “  “ m  dans sa  semence deux cotylédons inégaux. J’ai déterminé dan» lemêmeouvraga (yol 4jW .o .) 
 par la ferme des divisions du calice et des pétales, et sur-tout par. l’appendice qui sunnontede., an  
 1  5".  Les  pétioles  et  les  pédoncules du N ym p h a a   Caemlea  sont rempli» d une substance charnue, vasculaire, 
 p l  XXV1I, dont les feuilles sont entières, et dont les pétales sont étroit, et de couleur bleue ? 5 "  M - B o r y , j e u n e N a tm n h s f e  aussi d lsU n g u é p a r l’ é lim d u e d e s e s c o n n o is s a n e e s ,  q u e p a .  l e  A d o n   i l t n l a m m o 
 pour les progrès de la science ,  m’a appris que Michaux avoit trouvé  le  N y m p a a .  o t * . ,  au quartier  
 Islots/à Tlsle de France. 
 f ix e 7  des fie  i   Fleur dont on  a  conservé une division  au  calice,un pétale et une étamine , pour montrer leur  
 insertion, a ,'dcux étamines vues en dedans et réunies à  leur base. 5 ,  Quelque, semences. 4 , Une semence  grossie.  
 5 , La même, séparée de son arille.