3*f T A JB L E A U X I S E J L A S U I S S E .
l e bas-Undenralden. “E lle .prend fe fo u r ç e - fû r ;lés>(àlpes'
Sarenen, qui appartiennent à l ’Abbaye d’Engelberg ; elle
jpaffe en face de c e Monaftere jr^ ;Ç é u le par la vallée de
c e ijom à .Graffen-Ort ; de-da-elle traverfe le département
, Inférieur d ’Underwalden, pafie dans la paroiHe de W d l t '
fenfchieflen ,-éc dans les deux quarçièrs de.-DaUér|«eil'&'
d e Beurea ^ à W e i l , où .fe d en t l ’afTemblée générale du
Canton-, ôc^efie fe je t t e dans l e l à c des quatre Cantons,
près-de Buochs.
■ Sia/z%_(*^ yenIatin (22) StantiumStatio^ ôc dans les chartes
du moyen âge, S tanne s , ou Starités, ou Stantium, -eft
un gros bourg, bien,bâti, à une lieue au-deffus du lacdes.
quatre Cantons. Autrefois c’étoit la place capitale de tout
le Canton. Mais depuis la. divifion dans le douzième fiecle ,
tf/àÆ^a'eft la capitale que du département infèŸieurMW^
.a Iaïdiveisj.édif^^? & maifons . religieufesÿ- entr’autres."
i ’églifè neuve, ou la pareille qui eft ornée de belles ftatues
de marbre, dont la matierea été tirée fur les lieux mêmes*
Au clmèderè^^^^xtt'éléglife'
- <3j;sjplus’ *grands> hommes de laJSmife ,1-du C o lo n^ fM ë l- '
-1 4 Mars i 5o 5 , à l ’âge de £luis.
'■> de 77 -ans ; fon épitaphe en latin rappelle les fervices im-
p or tans qu’il -rendit à ht ,pâtriél,7aj la tête du Gouvernement
, & particulièrement à la Suiïïe catholique, dont il fut
l ’AmbalTadeurau^pncifede T rente ehr-i^ ^ ^ ^ w ^bdh tfa
1b n r an g di r e élément ^ p e s l ’A m b a C a d ^ d é ôc
où i l foutint fes prérogatives contre l ’Ambaffadeur de B avière
ayec tant â^mgmt^lfc de fo r c e , que chacun l’admira.
I l y eut aufli une ;côritefiaricftr av e c gélimde ToicanejJÎC
comm^il remarqua qu’o i^ td i^ a ffez d ifpofé à l’ éconduire ;
i l ,protefia qu’ i l le retireroitj"ii'^on.:ne lui afluroit pas le
rang, qu’i l^ e ^ ^Moit. L ë ,®avâr^is^a^nt(p^qbrten&{ün
^ S è t ^ e n la faveur |£repartk’ pour M u n ich , ainfî^uéUe7
xaçorite kABrkÈàmide: Wicqiiefort , dans '
(jcÊmh^ùJJs .fb/îBÎpnSj
de l a . :H a i^ ^ ^ 7 à ÿ , en K Am B a i||
fadeur de |ip fc |r ielre çu t o rdre duïGfaûd>I)üp7de ne pointe
fé trouver aux fondions folemnelles avec- l ’Âmbialïa'aeuE
des Suiffes. D u refte L u ffy fut fort applaudi, par le C o q »
-çilé^’ôç1 iî^ r e ç ig li^ v e ç l’exaâ itude Ja plus- fcrupülepfê(J
l ’ob je t de$fa. mlfl^o® (,24); I l féjourna hmt|^j'^àçâ||efeté^
Ses autres àmbàffades-afl'd l ^ ^ p ^ ^ ffiei. fes fer vices dans
■ le s / gu è r r^ g lljtg^ ^ lb n t . cohfignés dans les relations di$
|ê;ms^; v -■
L ’Hote l-de -.Vîlle , a u b o ^M d pM z ^z?. mérite d’ être vi^=
des étrangers; c’éft uïi beau dans lequel la
dés Che%leSïp lu^
illuftres du Cànton^Ce fut* d à ÿ s^ ^ ^ ^ ^ q n e lê ^ T r^ té d e
ui pacifîoif: la Su iffe , fut&cdli^lü,;ëh^i'48.i ,,&-que
raccefliomd estvMfë^dë Frib ourg^sdMâMeure au rang de..
Cantons , Fut unanimêment-acèe^f^Tii'I^^émpntrances
. .f e f à ue > q ^ fe ,. pxéfentâià.la D i é té
î^ y ÿ ^ r a ë : il^en fut^©raot%. &^y po^r|îinfiVdire > l ’Ar-*
b it r e^ O ^m ^ ^ e^ fS tan z^ .d a h sS ^ V ^ ^ ^ fe^ d i^ É ^ fiillii
le . tableau -de c e t te - ï^ e ^ j^ ^ ^ pM eM e l î^ S 1 ,|||^p:pàri-*
It^^ re fpè^âb le de l’Hermite y êft Hépêintè^y^mié;nob le
expreffion*.
L ’arfenal de Stan £, trèsVbiêh ppurvu;, o ffre , entr’-autres
objets d e cu r io fité , lachemife de
bataille d e ^ em M j^ le Chevalier, An||Mdfe JfTirickdried ±y
na tif de Stajy^t lorfqu’ il fè d é vou a , comme un autre D é -
çiuS f à uné
main de lai; VlHoire.’£îe' -grand homihé jy f fu d’une' maifoiy
jid b le qui■ i^rodîfit pliffieurs;;'aütreS^Héros/.célébrés' dans
'les. faftes helyétdqües,,^ay
Stan^, dans la p roximité d e la place oùféft b||irlë; SouVénè
des Câpuçihs. C e t tè .^ iïb n iï fu ^ la çH ^ ^ d e s .‘héritiers du
dernier rrial^uM^^ dé jfcîn k é lr iêd , par le , mêjne C o lo n et
Me lchior
_ p e in t à
av e c tant de dignité le caraâëre d’Ambafladeur dè là S u îlfê l
catholique. 'L’Hiftoire; d è f f ïM a l i d n f^ l f dk jfT ih k e lr ied
' ^*) EkncAe,- rf?. irp^.
( z i) Leu, ibidcm, tome XVII, pi &c* -
(i3)'Voyez fur ce Colonel 8c la famille de î-u/Q», l’une des plus -iltuf#
très de la Suiffe, le Dictionnaire hiftorique de M. Leu, tome XII,
p. 'j8.-3—38s>8c rHifloire abrégée des Officiers -fuifles qui |e fûnt dxflingués.
à'as' lerrices étrangers dans des grades fupérieurs ; par M. i’^bbé Frangôi»
©wflpd, dè Fribourg, Ex-Jéfuite, & préfentement Profeflèur au Collège
dë;-S>:^Æ[êhfli dans la même ville, tome M
Spifle, 1-781 »•in-i'2* .
;^4y?©hs‘conferve dans les arcbivee ,d;e' j^bbaye d’EioEdlen les ‘lettres
originales^de-Æe'-Cblohel, - avec le détail de fes négociations au Concile
,d.e T'rejisê^jiôu il repréfenta .la Suiflè catholique ,~en-même tems quef^ba?,
chim EicWorn, Abbe' d'Einfidlên, y parut au nom des Prélats & du Clërgé
recueil, irkfoUo, contient des titres très-précieux. On1 peut
aufli voir fut ces négociations un livre alTez rare, qui fùtimprimé a Paris
c n i jé j , in-11 ,8c qui a pour titre '. Nomma, cognomim , patria iignitates | G*
pmiotiones IUyfàiJfinwrm&'ReverendiJfimQrûm Pacrum , qui convenemrit ai
Çoncilium Tnâmimm , ufque in iiem oïàwa. juxta. prmcânnm:
lâffàmes. His accèjenmt. clarijimorum virorum , qm.legaiiàms munera npud am-
pïiflimos Patres Concilii Trideyiiù jungumur, Oratienety diverfis icmporibus Jia-
4iiÆ. ICfaut lire lès pages 78-8* 'deyétte^çoÜe^ph;^^
( ij) Les defcendans de ce Cofonel pofBdoient encore^ceée/ piaîfon il
y a îdiàrisv EHéra^été achetée depuis 8c rebâtie à neuf par M. JoUc-Remi
.Trac^^auîoutd’hüf rda des,..Chefs du Canton 'A'ÜnïetwaUên-le^ai. '
■ (26) Voyez l’article de Winkelried, dans le Diftionnaire hiftorique de
la Suiffe, par M. leu, tome XIX, p. 491-493. Il exiftedans les archives
de l’Abbaye d’Engelberg plufieurs chartes quffont mention des Chevaliers
de Winkeriec, furnommés|gÉ^W^Çûm Staniflas Wulberi, Capitulaire
de l’Abbaye de Saint-Blaife en la Forêt-Noirf, en a jinléré les. extraits
dans fa ^colleaioi^ diplomatique, qui a pour titre : AnaléSla généilôgica dS.
anno M. ufque Parte I , ^74) if^âp'in-foîio^, j,4
Parmi ces-titres,-il- y en a un;d|té^^Zûri#v(fiuregi) i l^ È . ’jan-i
vier 1 ^bo^par lequel RudolfjïV^^^ de Hapfbourg branch'e -de-
, Iiauffenbourg )., -perraettoit à Ton cKér . féal le vaillant -Chevalier' Hèhrî
dé Winkeluetv/furi^mm^5ehrüfàri,'i;de^léguer 8i:tdÔ^riér\a. PAbbé 6c a».
Monaflere d’Engélbergj'fes’EpffeffionséansJesparoiiresîa^f^i^^ dp p'uchii,
& SAlphach, Dom Herrgott a auffi‘ rapport^,^pæp' parmi les'tpreuvé&
géné^ogiques de la maiîbn de Hapjfequr|'i téme II rpf gffrj -
Autre aaé^datinVdat&du^2^^^^Mo^^^lequerie ChevaUer
Henri Schrutan a -été'fémpln' d’uhej'donà'tiqinyd’un' terrein "à Langenegg
feite au Monaftere d’Engelberg par*lé .Baron Jean de Wolhufen, en pré-
fence de Jacques dê$]^^g^Ojicre^âternëldé .■ce ’Baron,
A été en allemand le jour 'dajpLfcènfia^^n«^.
pat lequel Werner, Baron, d’Attingljaufen 5> GHe,v|:Iër;», dïinnpif à ‘1^ *
baye de Zuridr.plufîeurs^fe^fe demeürOTs à jSrettenrieden j témoins l'éÿS^iS
gnetû; Henri Maire de Stans, 8c'le Seigneur Hartmann fon. fils , CheW
ÿaliêrs ; les deux freres Thomas & Jeari, de Waltenberg. —— Les deux frères
Æud6l|.,8c ^aither de Winkelriet ; Pfèrre de Spitfngen.; 'W^lthei.dâhParJlei
Ces deux .derniers étoient.du Canton dlJri, ainfî que le'Briçoji/dîAttin'gÿ.
hâüfen. Walther Furjte i é.tc l’un des trois premiers : Auteurs <dc ,1a Confé^-
dération helvétique. Cet aée.a été tranlcrit d’aprèsPbrjginal,Pfar *M. Erardr
Durjieler, dina fon HiftoiréDiplomatique de l’Abbaye de Zurich, p. 174
Autre a6te en latin daté du jo Avril 132.1-, par-lequel-Conrad de Winhèl-
ried, dit Adélaïde pour fa dot" '
des rentes, placées à Buchfe. On lit dans l’ancien Nécrologe du Couvent de
Pdhrt au Comté de Baden, au quinze dès Calendes de Janvier,, l'annii.
verfaire de. Sophie de Wirtkclmd, Réligieufe 4e çcyc niaifpn, dite in Vahre.
- mériteroie
T & m O G 1
^m é r i^ ^ ïÿ â 5être.trâééé'.D^^e^ffimë<élé^gmte. E lle cocff-
^ .. m enc^^#-jm^]fféèqs^ac^i6: jé |^ | [^ L f i r b ie n c ô ^ & finit
;•; Winkelried ,
Capitaine-Général des Suiffes, dans les guerres de Souabe
& d’I ta lie , Ôc -qui fiat tué en *iy J2 aûnco'mba^de ifooccrz.
Outre le Gouvent des Capucin^, il y en a enGore^qn'
f-i^a4 tre<dés^ReÊfg ie id |^ üÆ e / :^ ^ ÿ è ': de^Se^fgnçois , tau
bourg ^ e jS 'ta n ^ ^ p i
Voici les noms des autres principaux diftri&s qui font
N id e r -D o r f, habitations éparfes qui forment avec le
: „b ou rg de le premier des onze quartiers du Gou-%
~ Oéer-Dorf.
dont^le nom lat»in efl. le même que celui
de en cette langue, * S tantium-S tatio i eft un vil-
. qu a tfàÉ a l^ 'l^ .
’ tpûrs^ p ^ p MÿifisgM^ês^qM’l i ^ ^ ^ do
I D a llenw e il, village fur la rive droite de la riviere de
- c^^^Burgè/ibergii ^m’o ^ :gn.e! fer^e en' -pâturages (êê^en
ôc dont u^|oartiejapp|r-
- E-'nnenmoos .du I
mont Mutterfchwariden.
moii (28) en 1307, & voici quelle en fut la caufe. Un jeune
r^s^wn’tïr-^fen oi r;iinfe91
i r e , à l’aide de laquelle fon
de fes camarades a û x q u ëM M ^ ^ o i^ ^ iM i l^ ^ ^ lM ^ ^ P | |
’x ent.p^ v^ GKg^âaüflyDBfilleux.c.fe.ô&^âgr.ivRr.e h ^ S ^ ^
îgrah^^m^^^^^®fëÆ'rouvai^àffezv/orts?pqük^x'é'euteri
un coup dé maim,, ils?fe^ en^ Tuy rm l^ l a ^ ^ p ^ ^ W f i^ ;
rent des armes
f e ^ f ^ é f f e a v e o ’le S e ig n fe ^ C ^ â le fa in ^ f f l
R A P H 1 Ei
i? o 5 / o^ , chapelle, papeterie &" autres moulins, fur k
I droite de Stanz-Stad, fu r ie lac,des q uatreÇanlona , &
où il y a une fource fulphureufe, propre pour des g u é -
nfons, C e f t ici qu’eft la fameufe cafcade (*) de R o z -L o c h ,
•qui tombe dans le lac de Lucerne. O n en-Soit-une deferip-
tion dans un Journal allemand (29) qui a-pour. titre P o -
mo/K> & que compofe à Spire M adame S ophie de la .R o J
^ eft’ dcrît' pour i'trtflruâion du beau
t if t x s j .1.' l’Allà ||g ijfe . El^esy ddpemr av e c i e plus tendre
intérêt, fa promenade dans le Canton üU.-iderwaldt.'L-cCcabas
, à ia cafcade voifme du bourg de Stan z , & où elle
arrive par up-ebeimiSm^lble.' Æ&val/orijdlt-etie ,-oà l ’élut
y ê ro t 1 Sun-côte’, ta n tô t de
-/fj-7-0^/-^, gpjp&llé uftej c&uitéJqui ejl for*
77z<?£ f/züT-e /<?.$• j^/ztes- afej ï t à t i frémit ù écume en
I -hruu J e
I bas -de. la chütè. I -- '■ Rçehe ff it une
p g ,e in ^ u | è ^ ^ ^ ^ ^ | 4 ^^^^erë |b iep feifâiît.,d es Under^
waldois.
au • M%d'ÿ,Rozen^éig , dans le
0jèdwèili
c eft'-à-dire, W//æ^s ain-fi appellé parce qu’au-dëiïus’
^iÿ*OTdnt 'de*-
Wjdj^èèfJ3^ ^ ^ Ê é u n
L fe iî^ r igm ln^ ^ ^ ^ to l^ ^ iten td e lraV a lg e s * , que les habM
12 $ o
ren I I I kfkrî^fir y s
de V^brtkdrted, &$$
les chaï-4
W 'ïn ï& è j
'g4
I I } éc fe
„diftingua tellement par fa valeur en 1241 au fiege de
t e z ^ j ^ ^ m tm eyduë\ce Prince ’’iu^d o^^l’aroèola^e de
•dâ\chevàleiie,u^i^^^îé.^^^^^èfl‘s dans' fq&-v|xii; les
ravages qu’un ferpent d’une grandeur énorme faifoit dans
fa .patrie, fur le chemin dW^tanz-'à 'Sarnen*, àu^efftis diï
hameau de 'Wyl', sfqfeiV; en cas qu’on lui permît,de ren- .
GÊraM^uè\pôrtefquti|
tomba' pique, h é r i t e
d’épines pointues ; il la lui plongea dans. Ja gueule, ôc
Éÿ^M|)re ,
qu’il l’étendit mort. Mais dans cp moment plein'dé joie,
comme il levoit en l’air* fon-fabre-enfanglanté, des gouttes
Les armes d e Winkelried étoient d’ojur au triangle d’argenr, ayant àü:
niilieu un croilpmt d’or tourne a drojtë'Vjumier de Chevalier, .chargé d’un
brëillèr ou couffin de gueules orne de -quâ^Mv£tâÿéi^é«lv.& fur lequel-
rS^Iëye un croifTant dvoivtourné à droite'i lanbreqmns dapr 8c d’or. ' '
Le Nécrologe de B«oe/if^ans le Bas-Underwalden. fait -^ënt^;jW;
#©Mes de Winkelried. Il y avoit autrefois un château de ce nom près d’Èiz-
penmoos, dans la paroifle de Stan^. On en voit encore quelques veftiges.
k-\if»7^ ^ u^| a ^ t9me'AV‘i, p.
(z8) Tfëhudii CBrônv Helvétrttf^^ | g ^ ^\ÿgcc.
^ ^™ Ph«cA«^n8. igj.
-(19): •Meuyiemè Se£tiôn;, Septembre, p. S32-838. Spire, 1784, i/z-ii.
(30) Cette Dame s’ëft acquife en Allemagne une auJlî grande réputation
par fes romans, que celle que Magdelaine de Scudtri s’acquit autre-*
Tomé I iy s3d ^ l e r i i
fois en France , où elle étoit fiJrnommée la Sapho de fon iïecle. Elle a peinf
les. aventures de fa vie dans-fôn roman dë Sopftze de Sfer/zAe//». •Quelqu’un
a dit qu’elle étoit aufli 'unique dànsfon fêxe ,■ que Jean-Jacquès Roujfaut
T^xpit été dans le ïleh. Cette Dàme a fait en Juillet 17*84 un yôyage dans'
;giüfiéurs Cantons -de lâ^Suifle v 'Sc elle, en a : donné la relation dans fon
i^^^ra^^Efont des tableaux généralemen’t;Biè^ ^ ^Mî?-Sd fëlarion coa&>
prend’Lucerne, fes promenades fur le lac de ce nom, à Stanz, à Sourzée,
dans le Murgenthal, à Berne, Morat, Avèhche 8é PayernerTout s’embellit
fous fa plume, 8c elle vivifie: les .rochers mêmes.
(31) Leu, iiid., tome VI, p. i*8:, xjp, & tome XIX, p. .
(31) T/c/iudii CAnw. Heivef. tome I , p. i^tfï Voyez aufli les Chroniques
d’ÊÉferlin, de;:Stpùmpf, de Griffer, &c.Si life ■