j t i . T A B L E A U X „ D
ï ’ilo ffè iftteurs > afluroit.;par titres cette' origine.
Ena-’auores aftes j il .en exifte. t e 14 A o û t Par '
lequel Aûtbirie ,de Courten pétant encore,mineur, paffa une
Teconnoiffaiice, conjointement avec là Dame A lix fa mere,
4; pburlëuri-IJ^-On dejatmaifoo*.
•force de-la Cour, dans le Duché d’Aofte. C e fuc lui qui
■ ëpoùfa esh Vallais lan 1 376"| J e a n n e t te , BÇ||iir^Baron
Fecermann de Raronia ou de Rârognê.Mïi. â u c r ë r ip t e
suent-, sqiini conflate encore cette o^migration , eft un a fte
d e 1424., ’dans lequel on v o it qu’ un p ré , venant du chef
d e ’ladite ©âme A lix ,, ;!^ere 4 ''Antoine * ricué dans ;le têm - ;
^pireldët<%^'é|,': riijftrifit ïde Çduekon , eft d o h ^ jp ^ r^ o n ^ ' ' ;
ifin,, dans une vente f s k e par les Sarons Jilldeferand & ® li
•terruann de Raronia #@res | r ite . .eii leurs noms, .qirieri
-celui-dAgfiiëlle •& dé Francâfquine leur foe ù r , à Antoine
rie i ß Rolet$à%Ae. ia paroide de P â e. Une partie-de ce pié
appartient -bncore,à la M aifbn de Courien.
;.i.!anèiènrie Maifon de PtLatea ( 13 5 ) , en allemand A m -
‘M engart, célébré dans les faites de la République du V a llais
, & qui s’ éteignit en .i70&$,av£it;un château à S ierre 9
o ù eUe,s’& o it tranfplantée d u bourg de P 'ifp j fuivant Sim le
r , Auteur ( 1 4 0 ) du feiziemé .fidcle. Ses armes ont é té
.gravéés dans la Chronique de S tô um p f ( a $ i ). Une autre
. M â ifo n 1 noble , -<jui/êft établie à S ierre & à S io n , éftfcelle
de P reu x j originaire d e là Ville de Vev aî , furi le lac dè:
<3 enèye$ lès plus anciens titres ,( 142) lu i donnent la qualité
de D am oifea u , D om icellu s. Elle y eft nommée* fu c-
eeffivement F r o b i , P ro u x & P reu x . -Le premier qui s* étab
lir dans le Va lla is , fut le noble Michel F reu x , fils d e
défunt voirie M p d jß zn t homme François -P reu x., B a illif
de V e y a i , qui époiifa; noble A ng éline , fille de défunt
noble Eetermann de P la iea . ( où de la P la c e ) , e n allemand
Am -H en g a rt) yr iïi ( 143 ) Dizain de S ierre, par contrat
pafïé à Sierre le 31 Aoû t 1^28.
Immédiatement en Face dix bourg dè Sierre , vers le
pont fur le R h ô n e , on v o it tes ruines d e l'ancien château
de c e nom , q ai.é to it autrefois la réfidênce de quelques
Evêques d e S io n ,& que les Vallaifans brûlèrent en 14 1 f 1
dans leurguerre con tre PEvêque Guillaume de Rarogne.
- On découvre entre Sierre & i e R h ô n e , fu r uné colline
très - agréable r, le Séminaire bâti en 1750 par l ’Evêque
Jean - Jacques' B la u e r , pour les jeunes Ecclëfiaftiques du
D ioeèfe de Sion.
E L A S U I S S E .
1 é ^jëtbit'Jpiîmiîiyeipen une Chartreufe*, 'd ite la Gerun*
d a }( 144) | foiîdée-le ^ Janvier J 3 j r , par Aynïon de la
T oub, Evêqiiètdê^Sion, ’Pierre paro^eia^Ppùr», Seigneur
de Ch âtrïïte ., fon n e v e u J e a n , Seigneur ( 145 J de A n -
nmifio, , qualifiés Damoifeaux. I l y avoit ici précédemment
un P rieuré dépendant de l’ Abbaye üAbondance ên,GHablais.
L ’Evêquç l’acquit par pêfpùtàtion f fi46;| du Prieuré du -ïW
, â iliie s \ qui dépendoit de l ’Eg life de Sion. Les révolutions
du .temps , les guerres, ayant dans;la fmteabforbé les revenus
de la Ghartreùfe de, Gétunderj & ^ 0 ig é fe s,R e lig iéu x
de cheEcher.ailleurs un écabliftement^JesjEyêquesïdeSion'
leur fùbftituerent des Carmélites : mais ces R e lig ieu x men-
diàns;,. q u i ' épEOuÿ&ent ,J i îJ îue toliù les mêmes rev e r s,
vendirent en 1643 leur C o u v en t , & tous fes fonds, pour
quatre mille 'écus de couronne à l’Evêque dé ïSion'.,;', ~L |
L e v illage de G r a d efth (.147) oyi G r a d e^ en François
G ran g es, à la rdroite du R h ô n e , à', une lieue & dëmiéi
environaurdeffousde,vlié/re, étoit autrefois une petite v ille ,
défendue par trois châteaux, quLétloienfcbâtis furdeatochersi
voifins, :& qui en. formo ient, pour ainfi dire J ’rehcemtest
C e s châteaux, ôc. les murs de la.ÿUle.j fùrent détruits en
:*%%%» dans la guerre que â ê s -^ M â i a ^ ^ p ^ - ^ ‘& r b n f
Antoine deilet fo iir , qui avoit hérité par fa mere dés,HrdiM
que la Maifon de T a v e lli pqffélolit q & $ d 0$ h . L â î
yiüe de/îfro/z .acquit ,^ en 1^03, la vil-^-
la g e , & la réunit avec la Châtellenie'de B rem is.
L e villag e de S am - L eon h a tA .ou^iàm z^heonard^
il croît un excellent v in , eft Ifitué^aufpiëd - des mo^ta,g ^ s i,^>
.au-nord. Cet- endroit eft, fameux dans l ’hiftoire du pays ,
par la v iâ o îr e que les. Vallaifans y remportèrent en i jT ÿ l
fur le Ba ro n Antoine d e la^Tour: & fes A lliés’ ( j ^ ^ L ’iiri?’
d’e u x , le'Copate Û pjB l*ndrate\, y fa t tué;
O à v o it encore dans l e v al S E in ffc k àu r deflùs 'dk
v illage Ç h ip is, en .face r ie S ierre, lesi.iu.iriesÿdu 'château
P érig o rd , fur un rocher. Ce château, qui apartenoit aux
Barons de R arognes, fut détruit en 141 y dans leur guerre
av e c Gette;MaifiSn. ^ ^
L e D iza in (1 5 0 ) de S ion commence à près
m i-lieu e àu-déffus de la v ille de'.Sion , près de la petite
r iv ie red e L ie n a , qui .fe jette dans l e RhônÇi^ôç jffin it aüflî
à une lieue au-deffous ,,.près de la p etite riviere de. (1 y 1)
. M àr^^9 ^ ¥ j;,én (p \fM o rg e. L e même Dizain s’étend au nord'
jufqu’àu.Bàilliâgé: r ie . J * O u ; ;dë: qjii éfl; dû-
- (1 }8) Aux articles des Mathématiciens & des Hißaietii.
(iîP) Leu, m . tom. XIV, pV^88, f8y.
. Xr4°) VaBefia, lib.-I> p. 67.
(141) Lib. X I , cap. VU, p. 346. prima Edhionis.
(14s) Parmi les titres de cette Maifon, communiqués à M. lé Baron de
Zur- Lauben, par M. Charles Preux, Chevalier de l’Ordre Royal 6c Militaire
de Saint - Louis, 8c Capitaine au Régiment de Goorten , le plus ancien de
ces a£tes eft daté du Jeudi avant-la fête de la Nativité de $* Jean-Baptifte
t^8 , par lequel'Pierre Probt , Damoifeau de Vevai , Domicellus Wiviaoi , fai-
foit un échange de terres en faveurdelà Cure de Corzier, près de VevaL
.La MaKon de Preuxeû auffi illuftre par fes alliances, 6c elle a produit des
Magiftrats diftingués dans la république du Vallais, éc plufteurs Colonels,
Lieutenants - Colonels 6c Capitaines au ferviae de France , entr’autres-Angelin
Preux, qnileva, en iéM> Pn Régiment Valai&o, à la tête duquel
il s’acquit une grande gloire dans l'expédition du Maréchal de Coeuvres dans
la Yalteline. Les Mémoires du temps > & en particulier ceUx de ce Maréchal,
confervés à. Paris , en la Btbliothéçpre, du Roi, font un éloge complet du
Colonel Préax.
, (143) De Villa eontraäi Shri in VaHeßo.
(144) Leu, iW. totn. VIH , p. 4j'ï )r4J'1»
(i4^MÉ:ft-à'dire, du val Einjijch, dans le Dizain de Sierre. La Mai fonde
JRZtrogn^okédoit cette Seigneurie en I4iy. V-\
(144) Les titres de la fondation de la Chartreufe de la Grunda, font ràp^'
portés parmi les preuves-du douzième volume èe-l&Gidlia- Chriftiana, pag«
(1-47) En latin Grad/ciom.i Voyez Leu, ibid. tom. IX , p>.,,78, <
Cip8) Ces Nobles étojenrauflf Citoyens delà ville de Genève. La Maifon
de Tavell, à Berne, a fuccédé, par un mariage, à leurs titres : éll4 eftlntiè
branche des Nobles ■ M£a'al on Migrai de Rue, qui avoient la mêmeiorigine
que les Nobles Mijlral ou Metrd de Payerne. Op trouye aufli plufieurs aéles
des Nobles Tavel, Seigneurs des Grange:, es années dansl’inventaire
des titrês de la Chambre des Comptes dè Dauphiné, iatitülé Dàu*-
phiné- Grcafiyàudan, r. I , n°. 18 , p. zi88cc. ; 8c t. II, n°. tp, p. i 4, Scc.-
à Paris, à la Bibliothèque du Roi.
’ .(749) Swikri Vallefia, lib. I l, p. 138-140,8cc. :
r^)C>fjo) Simler, ibid. lib.;I, p. 69-j7. L'eu, ibid. t.XVII, p. Z37 -242, ficcr.
(ij i) Cette petite rivière, en latin Mer [a ou Morgia, qui à fa fource -
dans les montagnes de Sanetfch , Au la ûontiere du Canton de Berne, 8c qui
Canton-
4 'T T 0 f p 0 G . r a
♦ Gantonrié B ém e , ^ c o n t ie n t , partiej b'eaü^•
coupf de villages fur des montagnes très - fertiles. A u midi-,
à:-un©ifëriÉe îieù é - Thaï'
où v al r/’A r i^ e / z , qui eft long- de dix lieues jufqu’au v 4
friWoufte,' 8è qûl^âtüîï nbttibï^^^^^rafelê^dè viMag«^P|
'^>'ars fùr^üe^hâùées1 Imbntàgffêè^mMl^Di^zaià cohraiWl
^ ’ie^anV4 v ec^ c |l^ dé|jfé¥rev^ ^ ^ p ic î ïa h Ç a v e â lë-Éâs^,
,Vallais & le Bailliage de Saint - Maurice ; & il» comprend1, I
'^aVéri H
Eremence o u Harèmenee , 'Evolenoey F e efcb , ' Grimslen , I
S a îm - Martin j M à fy , Æm: I
la Capitale de tout le V a lla is , nomme le Gra/zaf-C/zare- I
Azz/z -du Dizain- de fon nëM'ïj,^ê''GôuverELeu'r',eft ehangié:
de deux en dèuxf
I l jug e le ''ê iy il & le èriminel. L a v illè obtint d'u’Coneile ;
rië 'Bitte*/’ - dâttsriè ^Cwâtelièniè I
dè^ee- Dizairi:, & eadtfpo^XW' fm bm n a t. Elle|aeqmcï. 'ahîS-1
les I
rier/cA. E lle a eu plufieurs difputes avec le Dizain de I
•',^qim'-ri^,ra‘n^-,'Q^pîéfêanGe,|^fi(cpcaîib d ë l
, î^ ÿ à jü é ; Màis ièD izà ia
de obtint le-premier rang à c ë l ’es de 1734 ^ 175'2'
'• L A v i V ^ ^ ^ a l i e ï h a n d f S ilièn^ iM lù i l l ; 1
fur la ( * ) rive droite-;dû R h ô n e , & à quelque diftance de
- .•^ ^ n b u v^m nW i^ ^ ^ ^ ^ m âîaèTl^c^Qéied^un'cÔté •' pari
deux mont«';ifô lë s^ ^ pi^ é l'e v en t àu milieu déSafSamp^l
ghe^ & qùi lâ lcô"mmàn'dént,
unbMtëàu'àn’tiqüë, ti&mméJfalèrid ^^^^^^urîé^E^li'fe'
dédiée à Sainte - CatkeriW^f-àé^^am^^S’ mafforis bu dë^ j
meurent M^RMom^^oe^la^CaithélÈrale d ^ ^ ^ p ^ ï u t r ë i
’Jm ^ ^ ^ a auW o cG iip é pâr-uti châtéaii fo ff,^ P ^ sM ah c ién ,‘ |
qu’on nomme Tourbillion f
. ^'.apparHéhf^avl^EVequei^n^defcénd^
des dëgrés:' fermés de murailles- ou de1 roëliers ^riMrifeÜX
côtés , & l’on arrive à uri àiitre château , fitué fur itne
petite hauteur riommée /rz iîfrzyorzb ( îy é ) . I l appartenoit I
vt&utref6Ts^f|ra|s^^ titre de I
Majeurs ou Afeyer de S ion, & un Evêque (15 7) l ’acheta
d’ê u x r i& l^ ïeM û ^ p r z iem e fl^ ^ ^ p ^ cn â té à u j fa y a n té té
‘ confumé par le - f e u A d r ie n 'r ie Aieû57zarie/z, q^kmbu^ul
-rebâtit.' •
P H I S u s n
L è s Evêques font ordinàiremeift leur rëfidence dans le
château de la'^M àyoriè; mais dans les chaleurs de l’E t é ^
t ffà jÿ d e / c b A p g i^ i ilà vont'demeurer dans
celui de Tourbilliorv. ‘L a ville, qui eft au pied'deces hauteurs ^
Ses; hâb’îtans, qui
parlent a ilem a n ffc^ R om à n d , l ’ont fort embellie depuis
■ ■ iflvÉëcl'e. O n y v o i t plufieurs Eglifes & Gouvens (i ƒ 8) 5 .
là plùs-remarquâBle^âés Eglifés e x c e l le de N otre - D am e ■
qùi- effila Cathédrale. Près dé la-grande p o r te , on obferve
un marbre antique ave'c un fragment d’Infcription ( iy p ) ,
à Thonneur de l’Empereur 'A u g ^ M y ^ kM ^ dm èn t fut
dréffé par la Czré nfej Jét/KÆze/zj, iCiy i s B UNO RUM>
l ’an d c c x l v ou D ' c e X 'E v i de R om e , c’eft-à-dire,/!fept o u
huit ans avant l’Ere-chrétienne. Une autre Infcriptiôn (1^0) *
qui eft à l’hôtel-de-ville de Siom, nous apprend que le '
Préteur Ponce Âfclepiodote avoit fait rebâtir les Eg lifes rf
de S io n ,'fo jis 'le quatrième Confulat de l’Empereur Gra-
t ie n , qui répond à l ’an 'latin de l'a. V i lla
de Sion lu i ‘vient des anciens .Veafo/zz,* & fon nôrit' aËeiP
^mand, ou J’zzzæ, d’une petite riviere'(i6-i> qui la >*:
' traverfe ,. & qui fert à la nettoyer. Ce/âr fait mention ^es
.fe^Tzi dans fes Commentaires ( 16 2 ). On l i t auffi, dans
rinfeription du trophée ( 1^ 3 ) des f
'Seduni, V e r agi i. L a v ille ('164) capitale des Jbcfo/zz n’eft
^ ^ ^ ^@ ^ Û e '/ fo q s ild ^ ^ ^ :d^peùpj&;C^Laa^S^lé nabyén
â g e , on> a dit au nombre, fingiilier on l ’appelle
Jeb/z, dans le patois du pays^
L e s Députés des -fept Dizains s^fFembl'ent au château
de la Majorie. L é Gouvernement dè £ion 'eft-ariftocra-
\.tique’ ; le Confèil1, çobipo fé'de ’ ving,t?qùatrè AffeFeurs
a pour Préfident jum Bourg-meftre : c’eft à Siom, que de- ^
■ ûièüi:e'(M . l.& France près de la République
du Vallais.
L a v ille de Sion eft l ë ^é'gefri’ùn Evêché fort '
ancien , g éi s’ eft tou^lirs étendu fur t'out le^, V allais.
L ’Evêque porte le titre de Prince du Saint-Empire Romain
, Comte SC Préfet du V a lla is . Saint Théodore (167)
fixa
le bas V allais. I l fut fait Evêque en. 349.;. retira dans une
dj^Martyys? d’^£-a«/ze 5 vers cette '<
fe jette dans-Ie Rhône, prèsdà\village Plancontqÿ, à environ une lieue fous
Sfon, fait la réparation entre le hajiti&>IeibaS'-Vallais. Ces deux divifions ont
chacune leur Colonel poui le militaire ; Kuîffetf nommé le Colonel aihdejfiis de
la Marge:, 8c f autre, celui fous htMorge. (Leu, SùLt.XlII.j, gf ^r)>. '
- (ïy,25 Qui; eft dans le val i'Emeen. :
( ij î) Lea,: 131-237 , Sec; -
(* ) Planches, n°. 80 8c iïp.
(t j4) CeK.Châfeau potte le .nom de Valeria, Damé romaine,’ qui fit
élever un maüfolée .à fon fils Campanus, PréFct1du -Prétoire de l’Empgreur. ;
Maximiiï. Ondén.. découvrit-;Ui'ufoription-. à; Sion fur la fin du-fieGle .paffé ;
».on,l’a placée fur ^.QAlt^de l ’Eglife de -faint Théodule : on la^<iit^dans -les
!£&chircijfcmens fur Je martyre de Ja Légion Thèbiennc , par Mk' .de; Rivais
'„pages
Simler l ’appelle Mrx Ty'rbele, daôs fa Btfcription du Vallais, llv.I,1
v pag.-w.
^ ( lS^)'En latin Majona. •<
’ Mf?) Guichard meU ou Taÿèlli de G^nges, autrement .dél^radetch ;
acheta ce Château avec lès djôifs de Majeur , du Bafo^'BarBiélemi de
Grjjîajbiÿ ^Màjeur de Sion (Majer Seduncnfis ) , 8c Confeigneur de Bex,
( Condominus Baccii), par unaéle pafle au Château Sere le i f -Aùaviér'^^}-^
Tome ' I I SC dernier.
|8c,xqui eft' rapporté parmi les P/euver-.de .]’Hiftoire des Evcques .de Sion ;
dans lè tom. XII de la Gçdlia. CkrîJUana, pages 458-440. >, >, '
Les^ Capucins ont le leur hors' dëlmSyil^ ^ ;||1
(1J9) M. He Bochat en a donné l’e x p lic a t io n le - premier tome de
fes JWnno/rer jûr Z’fliTIoire ancienne de /a Suijfe, pages zpp-304.
.(iéo) M. de ihidem, pages 1 r G■ 117.
(x’4.r-) ,Ën \^j^ëzj!Leu| ibid. tom. XVII, pag. 1^3.
(léi) De Bello GaRico, lib. III , câp. r. '
| | 43 )..
'f (sr£4 ) D'Anville, Notice de la Gaule, pages y8^jvg.Ç‘ -
*îr> ^e’ kmplit' cette.dignité depuis.un grand- noinbrè;
^années, avèc Peftime générale de la République, qui lut ensa donne des -
preuve 'blçn,^nm^\^^âccprdant le'titre de Cir^en ou Patriote. ;V:."
(l5é) Le Chanoine de Sion, Sébaftien Briguée, de Sierre, n’eft pas exaét
dans le Catalogue des Evêques 'du Vallais , imprimé à Sion en i74.4‘.,Mi'Leii
en a auffi donné une fuite défe&ueufe dans for1, Dictionnaire 'hifiorique de la
Suijje ,.1'to'm. XVII, pages ■ i$;èz2 4. Les favans Bénédidtins de la Congrë-
fg^ti.qn vdé S. hlaur, Editeurs du Gallia' Chrifiuna , ont rapporté le plus
exactement, & avec-preuves', la fucceffiorfdes Evêques de Sio'n, t. XII,
' •?1 ag(veis.éy); È.'-dê Riv^, ibidem, pages
: n imil illMMMMaMlittirfI ï :