5 j S t a b l e a u x d
Berthoud, la SSghevtîiefdê&V&MÛBniretoiifBa' au^OaSite I
d e N euchâcfel ; mais ce -pas p ig p # S l§M e* 1» f 1
U f f f eW W o â t e jd e N eu ch â te l, 4 tjUt‘S l e ‘ étoir à^rof
lu e , & quiÿ#ôurutin i e48 , feil& &MS f ilsB e r th o û d Xt?
G & n t e ^ l 'N s f f ih â t p p ^ # xvpit ptmé lê titrft I
de Baron d e > ^ * ^ ^ ^ ÿ « g » | ‘ èue-Ad«a!g &
la sJgKéüiietde V a lla n gm ^ e ^ o “ I
hommage à fonïre ’fr fB & th o u d î 8e> A in r i f 'C h à jh in ^ pW
B â le , 8t dans là/uircEVêqu«d|ieMÆllenEesyefcendans
^ C lw ^ ^ J^ Ë lllîtte 'd 'A rb^ rg , aonferverentUa Seigneur!». I
sfife Vallangin’ ÿ ^ ^ l r W ^ J P ^ î ' |
ijqîiMa poffédoic, laiffa de-fa'femme GmHemette de Ve rg é,
aine fille unique, Lou ife ’, Comte’ire d’Axberg & de Vab-
lang in, Dame de BeaufremontJ!qi3|dp<>uih en lfyovxBhl- I
Jibert, -Cdinte' de Chalant en Piémont. I-eur fils R e n é * 1
C om te ae Chalant 8c deeVaHangin, Baron d e 'B e a u fto
*nont , Maréchal 8c Gouverneur de S a v o ie ,;rep r it en I
ttiyaj le f ie£de V,aUahgin de fe mahtdes do teè Cantons*
qui s’ en étoient emparé en i j i v . L è Comté de N e u - I
fihâtel ayant 4té rendu à Jeanne d’Hochberg 8c à les
enfans-en r je®, R en é de Chalant offrit de reprendre c e I
f ie f de la main du XSutèds L o n gu e v ille , C om te de Neu-, I
châtel ; mais ce Prince refiifa d’yM»nfentir. L e s d e u * fe )
fteu r s , fille s d e R ené de Chalant , fiirent en procès au
f i i je t de la fuccefîion de lèUrpereen r j 5 j i " l ’ainé e, P Ai-, I
Jiitrte-, a v o k «SpoufiS J o fep h , Comte de TomieHi ; l ’autre,
Ïfabelle, Frédéric Madruce , Comte-d’A v i s , Marquis de
Suriana, firere d u Cardinal Madruce. Mais après plufieurs
conteftations, le s quatre Cantons a lliés d eN énch âtel rend
iren t une iènten c e en î y y S j touchant la Souveraineté
d e Va llang in, qu’Ifabelle 8t le Com te Madruce contefi-
taient au Comte de Neuchâtel , & elle lui £Uc confirmée
par les E tats de N eu ch âte l, qui déclarèrent que le Comte
de Neuchâtel devoit mettre en poffeflïon de la Seigneurie
de V a lla n g in , Dame Philiberte de Chalant, qui avoit I
époufé le Com te de To rnielli. Mais les Seigneurs de
Berne ayant obtenu adjudication de la' Seigneurie de V a llan
g in , de Georges de Die lb ach , Gouverneur de Neuc
h â te l, pour une fomme confidérable, dont il s'étoit
rendu caution pour R e n é , Comte de C h a lan t , 8c qui
leur av o ir hypothéqué cette Seigneurie pour ffire té, remirent
en même temps cette Seigneurie à Marie de B ourb
on , Ducheffe de L on gu e v ille 8c Comceffe de-Neuchâtel.
ïfa b elle de Chalant 8c le Comte Madruce n’ayant pas
-voulu fe loumectre à la fentence des trois Cantons alliés
de N e u ch â te l, eurent recours aux neuf Cantons non
alliés de l ’E t a t , q u i, du confententent des parcies, après
avoir vu les invellitures 8c autres docùmens , adjugèrent |
la fouveraineré de la Seigneurie de Vallangin au Comte
de N eu ch â te l, le 20 Novembre iy8 4. Apres-cette fentence
, le Comte Madruce 8c ïfab elle fa femme, vendirent
le droit qu’ils àvoient à cette Seigneurie au Comte
de Montbéliard, le 1 6 A v r il t j8 tf. L e Comte de T o r nielli
> après la mort de Philiberte fa femme, Sç fon fils
E L A S & 1W S &•
Jo fèph-Chades-Rnmaguel’, remirent-anlll leurs droits a»
Goutte de Montbéliard, le dernier,Janvier r jfip .
'Se’ Bourbon-, DuchtÉe^de R p ngu e villê , racheta de Cp
Com te-lâ S e igneu rie de I V - a l l a n g ^ ^ j i^ i i J f o m i j^ d e _ . '
■iyp-.tliès \n S. la Son 1 et i!is,3St,Valiangi!iii^técé réunie
au Comté de Neuch
i Jl c il acbl> 1 «' s ffcA 'a lltn e i 1 a'u u f spr.e.r
,, iniers^éftichemena & fes premières: franajjifts à Ia fageffe
de l a t m â & d 'Arherg’, 8c qug:jG; eft aux bontés de . Je
maifdn-de- ehalqm, de même qu’à «elles de Marie de^p
Bourbon, qu’il a dû-la cqnjinuation des uns 8c i’augmeq^ .
ration des autres. Depuis Marie de Bou rb on, cette. .Sei-
gneurie , reconnue . pour . Qçiqçét^n. V7° 7 > n’a pas, eu :
| d ’autre- gQuyexnemçnt -que, ç e j g l que nous ayons-dêcrit
à la / fu ite -d e l ’articje'.(u>) -
' »? lia- Mairie de V allangin comprend le b ourg dç e fB fjP l*
les parQiflfes E n g o llo n , Dombreffon, Sgljl)— Martin- 8c t
Fontaine, les v illages Ç o % in ï , f 'm i u , ^avagnier,..Çefe
n ie r , 8cc. L e V a l d e R u z -compofe la plps-graade partie
de f eM â i r ie .de,-Vallangin. f i , v a l l o n & ) ^ i ' J,<1 s
plus beaux 8c des plus peuplés, de la S p iffe , s’étend dp
nord-eft au lud-oueft-i i l a quatre lieues de long fur tçôis
qu tt le lieue dans Ci j lus b t n ' e l ig e i r 5 ^iil-Viÿbrjjy.
f in une étenduefi peu 'co iifid ÿ gb ïç^v ilgfc cjg àtre Sp agSP
eu- hameaux : la plupart-font grands 8c b ien bâtis ,-prelque :
tous font p is té s au pied- de. -la ^oyplp^^ame^^omp.mi -
tagnes qui bordent-ce v a llo n , 8c qui lè .terminent en
ov ale au, nord-eft. L q fe y o jt une montagne rrèSy^evée,,
I qu’on app41e Chajjerale ; on en remarque-jrne autre à
l ’oueft , qu?on appçlle Téte-cle-raug: celle-ci eft ronde, ,8c
entièrement dépuuiUée d’arbres. Au-deffus de Same- Mar-
u n , l’un des villages du V a l de R u z , eft u ^ é ji l'é ajipellé
P e rm is , chemin taillé- dans
hauteurs efearpées : les éboulemens de neige y font fré-
quens & dangereux au p.jntejé^ s.nUl’ts d e_,.eSfi^^^p,;
eue g io r t va (le 8 f rolo.nk ^ a jfla jjh .
I de la boui lu. d u.i l u i "figu J_o îîT ("qve tly r u 1 . / -
I en abondancs.'Dans J ’m fé n e u EÆ ® ,l||îme^U|^jp|,çJip
de pénétrer plus avant ; 1 s f t^ r s q u o i , y , lait i l ,
bondilferit pendant quelqu s 1 uces fur des bt les d 1^1,
ch e rs , ôc produifenc mi5b .lu t it ii u x n S S j fü , hs&su ,s
multipliés- augmç. îru t A l L q ne Ptrtu ^ * la"
I r/oux du Ploriè:, montagnj le l à f n [ 1[ - r 1 s t e l ’ I
-pâturage8V,le®'fimiÿes’ ï ^ ^ t , ^ ^ ^ & ® ^ j & ! .
I nuuns pemlits qu’o n ,) ’tij u t , L,WtdlJb jKu^ Vfe'a . ' *.v-
par f lufieurs ruilfeaux , qui tous rï ,
grolfir le plus Gonfidérablè, qu’on nomme le Seyon. On
n’ y pêche point de poiflona, mais il fournit on -Tevancte
d’excellentes écrevilie1-. L ’ igr.tulrure occupe pu. -.paiement
les peuples qui habitent ce valion ; ceux qui exercent
quelque profeflion, ne la regardent que comme un accef-
foire à leur état. L a différence qu’ il y a entre eux 8c les
habicans des montagnes voifines , par- rapport au-génie-.,' ■
(8) Une branche cadette, connue fous le nom de Canner ÎArbeTg-VaUim-
gm, ilIoSte pat fer alüancer te Ces dignités, 8c célébré dans les t.ficr
d’Allemagne, dé la Flandre 8c du duché de Limbonrg, 8c qui fnbfifte,
defeend de Guillaume d’Arberg, Baron de VallanginV &ere puîné de Claude ,
Comte d-Arberg .Sire de Vallangin 8c de Bcaufrcmont, tout deux filtdcJcan,
Comte:d’Arberg, Sire de Vallangin, 8cdeBeau&cmont, qui vivoit en r4Jol
*(p) Morumollin, Traite manaferit des ’ fiels du Comté de Ncucliàtcl,
pages
(io) T/rre XXXV, StClim U. -,
r ;-.i; Oßtrwtld, Dcfcription des montagnes de Neuchâtel, peg. IiW jV
T O P O G
âux- înclînatïofts '6c au.genre d e .v ï^ e f l fenfible 6c frappante*
tout retrace ic i ridée; d'une v ie absolument cham«
p ê t r - e .^ :.
; L a c de Jo u x \6c <M tedè -Cornouiller ’
autorifés, pariasipermiffion de iG .ù iÿ ^ ê q u e de Laufanne^
& *.de ' B e r t b o u d y . S e i g n e u i b â t i r e n t l’anr'
f eW ^ p P b 'b ,à y e dans l ë ^ ï ^ B u z ÿ d a n s undfpà âu-
l i^ M f^ ^ b a b i t é &f o ù ^ Ï Ï^ ^ ^ K ^ q ü e dCs^büijffdns de
\elile’ £aty^Qm ^ é^M iii’aihe-u4ndré^( L3),' à icâu^|
d une fonta%èïq^Syiây.ôit'au-deffoüs, auprès de laquelle
miracles* au nom de S., -Andréa |fi ' o n en
c ro it une ^ h ipw ’quë du -Gomté .de- Neuchâtielî L ’Evêque
de Laufanne., le Seigneurfàe^aMangm & d’autres, don-
nerent des rentes à \ / c e t t e ô t ^ 4 '^ ’^ ;:''fuc achevée en
* 140. L e village de Fontaine a été depuis b â t i, à environ
cinq ou fix* cens pas de cette Abbaye , du .côté du folèil
-levant. , & lés; Moiiièjs
ét oien c 1 de l’O r dre de , B rémontré. Rao ul j a Comte de
N e u ch â te l, & Mangold^iGoraterde^Nidau, donnèrent
l ’atf ^T^^^^Mbbé^eÿEontainé^Ahdré y la$tërr'e\*ô%jpft-ià
préfent la nouvelle A b b a y e , avec Champreveirres, qui
^léfét,depuis réduit en vignes. E n u 3lÿ%lés grandes Compagnies
des . Ro tu rie rs , vulgairement dits lé s Bandes an-
^/o^ ^) ;qu?Engü|jrfand r3 Sire d ^ G om ^M voit menées en
^ùjjjQTéÿJcèntre1 îé iDücd’Auti^cbe, brûlèrent,!’Abbaye-dé
Fontaine-Apdrjéo L e s Moines a lle r en t t lfa i^ ié^ demeure
au villag e de Fontaine , qui étoit: îeip^l^ proche de. leur
A b b a y e ; ils y occupèrent quatre ou cinq m aifons y & ils
y refterent jufqu’en i$ 6 j . Ils commencèrent alors à ffi|§p
une Abba ye du même n o j m à l'endro it,où;elle eft.piér
fentement, au diflri£l du Chaumont, qui fépare la Mairie
de- N çuchâtë); d ^ ^ |a l - de R u z . L 'A b b é . préféra«; ce lo ca l'
a l ’ancién, parce qu?|l.^éffédoit plufieurs dîmes & rentes '
dans les Châtellenies du. Landeron óc de T hiele., .ôc.qù’i!
é to it plus;-à ,pqrtée de-les, recevoir. L a dédicace; de cette
nouvelle Abbaye < de jFônfé^i^f^^réjïlb-fit en L e
Comte .dé N euchâtel., R odolphe, Marquis de H ochberg;,
en fu t le principaL Reftaurateur. Ce tte Abb a ye ayant été
féculatifée au changementsdèjReligion, lès revenus furent
réunis au dotnaine du Ç o r^ té li à ^exception d’iune partie
que l’op affeûa à l'hôpital de N euchâtel. O n v o it encore
l ’E g lilè , avec les ruines de é e t ancien Monaftere.
Coffranej villag e fitué dans lé^Val d e R u z , à une demi-
lieue de Va llan g in , & dans la paroifle de C o r c elle s, eft
remarquable dans l ’Hiftoire par un conibaj:, qui s 'y donna
6c fur lequel on lit les.p.articularités fuivantes,
dans une Chronique (14) du Comté de Neuchâtel.
» L ’an v iap y les deux Seigneurs de Vallangin, Jean &
v Dietrich ou T h ie r r i, refuferent l ’hommage à R odolphe,
9 Comté, de, N eu ch â te l, & fe conftituerent vaflaux de
» l ’Evêque de'Bâle. L e Comte d e Neuchâtel les . fomnia
» de rentrèr dans leur devoir ; mais comme il ne put les
» y eng ag er , il fe vito .o bligéd’armer : après quoi il les
K m t r i c , avec l ’Evêqùe dé-Sâle-ÿ qui les afiiftoit dans la
R A p u 1 e , m
'■ »^plaine de Codraneh-Jean'& Dietricb fuirent prifonniers j
», 6c ils traitèrent avec le Comte Rod o lp he , comme il
.» v-fiiît M °. qu’ils renckoient hommage âü Gomte de N e u -
t ».^châtel ; rqulilÿ-fetirèroient l’a â é d’hottimage qu’ils
^onn^ ® l ’Evêqüe de Bâle ; ôc qu’ils le iremet*
UC' Êroient au Gomte, affilé dëd’anéantiri- 2^. Qu’ils donne*
''V$P$enc'^oùdeyillièÿ^t^^^pi-'en dépend au Comte,
frai,s;d^lâ guerféV-^^foiie le -Ccînité>retien-
Vàll^igib, qu'ils âvolent
rèmis’. ' 8 C # E v ^ q U ^ , ' ï « è c î , leur- éâ
& s-'en*
fe gexentj'de M idonnéry deux kêceâ- d-’a ç g^ ^ 'â flîf^ / iq u i
' 1»; ; feroieri^mifes darîs ^ E g f i fe - llS ë ü ê h â 'te f
, s trer quêtant icdupaMts dû crime f dfefHlonie f/Üs^miérb’
» toient^dfe^pérM^Ua tête’;,m|îsîqûe| cés^ têtes leur fervh
s> roieiit dé rançôù. Çes. deux têtes m i ,r©.u|©ui-s été dans
'"p ^ lac^té&Hto^u^u® %^éfbx^éiod;^%û’u rn des Boüt^.
» ^ e o i s i l P ^ d M ^ l l ^ l^ ^ i e z ü & a l l ^ ^ u e 'c’étoierié
»-t,.deux têtes de Saints q u il vouloit brifer. A ces condi-'
» tions le Comte relâcha les prisonniers : il leur avoit
' » pris deux drapeaux , qu’il fit mettre d a is FÉglife db
< »^èuchâtel>,'& on, ÿà-
/^'id e'||u s^u p 0 n^è |^Comfë ss /d éM c eû chaoe l'» t,»« *
, ' .délies v
' R o c h e f o r t • du» de,yâllân*
g ii l, ’;;& d p ^ q u d ê y t i ,pàl
cuit» Ler'errbi^jd^^^pMairiei;eJ|^èduc’qi^rùêxm'si r iche
en>§ ||W/&i£nj^^ E lle à
: même quelques marais dans fon diftriâ ; ÔEÎéep^hdâiiKéil
ç;;^$-pSmpte ‘paÉmo&jsÿieÿtÉëik^G
à ^plmôèiré^ar|isi^H'sfe‘^ | ia^ ■ ''ôàmaïferis'' défcâchéds‘4
que dans des villages proprement dits. Pour le fo l ôc
pour le climac, é e ft un lieu pareil àveelui du Locle , que
nous décrirons après a-voir fini îjle^kablfeau’ÿ d ^ - ^ ^ î ^
& de
là co n fian c eV ^ û f|^ |.u ^ P ^ é ’&^l?''p,remifeÿexé^|uie, &
xpdû^y^Ml^Hiéfdemèur'ëli^èjîi'lDép'X^^ dè- mon*
' &2^gù a|ÊÇ ?d ââ^aliép
L e s vents y foufflent fans gêné : mais auffi la couche de
■ terre n’ en eft ^ 'ë^ p in s j^ &m è > M des 1 p^bdimiôn§.‘men3
fqrït>,lqqê<moins;abondaritêsi(GepêndâXtd©^^ bétail btofi.
pere beaucoup ia n s | c ë |p f î^ ^
& les ^pi^-fîtsr1
• ,;des'fes habitans>,»
profeflion dès arts 1^ ^to^àlî >dî#.
tingue par. une frappante fimplicité de moeurs, par uft
attachement extrême à fé s^ & f^ ^ ù 'è iim e s ^'(-& par u'n •
zele ardent pour, la bQrdëÿyaHqn.^de^dfpiCs»,\#anéB^sl^^
• libertés que. les ' V
accordés. L a '^ ^ z t f^ ^ lç g n ^ d é u x Earodfeayfceîllïde-l^
Sagne & ceUei^^^^^-^eft^aü^hatnéau., ' di^leiélvf/. de, '
^§mSûgne ,* quej^jjtoftiçel vCivùb'''àâ^Màirid1'‘tîëhî fes
.({.») Hift. du Comté de Neuchâtel, manuferite, in folio, pages 7*8»
U7 , 12?, 130 & i45*
( i j ) Fons fanSli Andrea.
(14) Même Hifloite de Neuchâtel, pages
ij'ibidëôx, tomijjtéW&pag. 18.
Oßerwald, Defcrjptiön des niöntagnes de Neuchâtel, pages;
Tfchamer, Dift. géog. de la Sü&e^^|n.pi, pages 114-xij.