4 }â T A B%LÆ'A U X D \
■ qu’avec la v ie. I l écgit tieùéenanc-général les A it éés du
I R i , Golo el li'un"Régiment SuiiTe de fon nom , ® "» I
ünême-temps Çapitame au f i ’ “ i eut les Gardes Suifles.
L e clifttêau.de .j'u ii t - î ardelem. , où l’on jou it d’une
-vue délicièufe , 'a été rebâti magnifiquement par M ..le
•Comte S A ffr y . Parmi les divers embellilTemens de cette
T e r r e , on trouve près d ’Efchallens, à ladroite du chemin, ;
m n o b ëlifqu ed e . a rb re,! mt le vingt-cinq à .trente ,pi s,
■ •& dreffé fur une p lace ovale , entre quatre petites coloni
e s dé granit, munies d’une chaîne qui fermé l'enceinte,
Jcomme ceUe d’un lieu facré. I ,'obélifquqell furmonté d’une
-pomme de [ in Un f éu m-deffous paraît i’écu antique des,.,
-armes de là Maifon S A f i r y , attaché avec deux petites chaî-
»ra , L a bafe de llobélijfqüê offre fur quatre côtés une Inf-
■ criptiôn, en lettres il ; jufeules, celle qui eft à l’occident
«ft en la t in , e a u d a t e d e u m o m n e s g e s t e s XJne
autre en-François â u io r d , T dotes N ations lou^z D u t ■ I
U ne troifierne au m id i,!:!! en ails hand , & porte : v o l - :j
ch er LOBET : AELE G( t ; fit enfin i nèqù it i an éenang lo is , j
Sc placée à l’orient:; déligne la mfane invocation : 1-RAISk ç o i i . A'LLAYE NATÎONN. Çes Infcriptions j qui expriment
-Th'ommage dû par tous les Peuples au Dieu'fuprême de
ï ’Univêrs, ont çaufs , n Septembre 1783 , une forts le \ - I
îâ fe à un fav mt Prôfs leur de Goettingits , M. Chrifîophe I
-JrkinerS: ( i ÿ ) , loriqu’U les lifoit liir le piédeftal de l’obe-
lifqut O n peu voir l ’é lo ge qu’il en a lait dans fes Lettres.
[3 0 ) fa r la S u if e .
1 V . Bretignle ou Bredgny. L a Seigneurie de ce vil- I
3ags , qui élt C a th o lique , i été réunis à celle de Sain t- I
Barthelenii | our l’bxercice mutuel de la baffe - Jurifdiç- J
■ vion entre les deux co -S e ign eu r s, dont ! ’un ci! M . le I
Comte d’A Jjrÿ , & l ’autre, l ’héritier de feu M . Gaudard,
de B e rné , le Lieutenant - Colonel.
l a v ille SOrbe j dont je vais Élire la defcription , n’a
ï ! a S de cdiiimun avec Ech ù llens , que d’ être gouvernée, I
par ii s mêms s Cantons fie par le ml mi Bâiilif. C e Gquverr I
nement féparé comprend la v ille SOrb'e fimfon Territoire. I
L e B a illif d'Echallens y tient fon Châtelain , nommé par
l e Souvera in, d’alternative , ôc qui dépend de du i dans les
■ affaires d’ importance. L ’appel de la juftice SOrbe va au
B a illif , St de ldi âü Souverain- L a v ille SOrbe a fon pro- -
preMagiftrât'iK fes' privilèges. L e oe rritoire de c e G ouv e t-
nement diftinffl elt t rès-fen de,- & on y cultive beaucoup
de vignes. -Mais ce pays eft beaucoup expofé aux inondations
de la petite rivière SOrb e, êri allemand \'Oiluich\
| q u i prend fa fource dans le Comté- de Bourgogne fur la .j
frontière du pays de V aud : e lle fe jè ttç fiicceffivement dans
deux lacs avant que-d’arrive'r à la vue SOrbe. Brefquà fa
fo u r c e , elle entré dans lé lac des Bouffes ou Quin^ant,
j | j L À f -W'lS j j J, |
B ®®rnCi'
■ À m t i
§ J j |É &
que Ton croie fôrtir1 du lac de Joux pâr irn fouterraur.
Cette | è § -
eh truites’,;' travërtéüne partie du Bailliage d’Yverdun-?
pâffe par là petite vallée ftE fe lé e s , 'Où-les C l ie i , & enfuite
àu pied d'Ùrbe\ Son.-'cours, jufqu à cette ville, eftembar-
rafle par beaucoup de moulhîs à forge; Maïs depuis Orfep
J j j j t fêùêMh a ^ g # ë w M t t f i
v e r a d^u3c brârichêà* appelléés
lé grand & le p etit TÂêlld^ Elles êiltrent toutes deux dans
’ le là c d ’Yvèrdüfe'àütrëta eiit de MéuchatèL '
1 1 en latin Urb a I U en àlîémàfi# O r b a c L eft unè
jo lie petite v i l le , qui appartient par indivis aux deux
I Cantons de Berne & de Fribourg, l l l ê èil fituée à deux
ïieuesd’Ÿ v e rd u n , furmiéjiaütéuf âupîed de laquelle coulé
la rivierë d5d r^ ,-.q ü i è f r e fen ôèÊ' ëfidîêic preïqüe la Formé
I d*uneTpîeiquîîlë : BÎë 'p affé fôüs ûn''bèâçi fo n t de'pierre.
L a E t u a t io u l^ ^ 'é É t r^ I
- a g g i f e là r iv iè^ ê nom- qui coule au pied, travérfe une pliiné,de deux lieues ,
^ a ï |W d a n s îè^uêls fê
ne. On découvre’' le lac d’YvèrdurT p'refqu entier
jufqu’au pont de f i e l , au-delà duquel 00 voit les campa-
gnes &A n$i dé
lient & le n o rd , au Canton de Berne. Ainfi, dê ce’coté-là*
t^ ^ prq jà ln é : a g ré aitem^^ îâ ^ué Ju^ u%àoWë^ ^
lieues. La plainë^ qui èït immdaiâtemënt devant O rb e , eft
I âirofée de deux petites rivières ) ^ùi Vont fe joindre à cellê !
l ^ ^ ÿ j rÀ i i - d e l à de cette plainè., c’eft-à-dire à une fetièe
I teaux s5éîg^^ënôpï’é;’iiïiâêf partie du pays de1 Y âû d^ où l ’on
I thelemi , appartenant à M. le- Comté iïA f fry . T o u t oet
' afp e ft lointain iTlF terminé* par" un autre plus ëXhauffé 5 je
I veux- dire par les A lp e s , qui féparent le Milanez d ê l s
Borniê par le mont Jürâ’", Ifui leparê II SQlÏÏe 'alrCîdihté ^
I de Bourgogne. L e Bailliage .proprement .dit d'Oibe n’a
qu'une lieué.d'A llemâgnfe'dé-feireonférence;i-1 efl plus?voi- <
fin du k é dé Néuélïatel B a iiià g e
plus étendu. On y fu it , pour la P o lie e , le Coutumier dé
Maudon, avëc lé Supplément de celui du pays de r aifd9 :
[ïo u rc e ïn Ë iô ie à^ flî^ îo flS lM g iëü 'fë s .
I M . de Bochat-, qui fe perd dans le s étymplqgies q ê la - ’i
I ques, pour éclaircir les noms topographiques de l’ancienne
(l'pyOh frouve Iafpecrficatióh aes'Oovra'gès de M. Meihers faris le ftcond
volume âet’îfcïlëriJâ^Se littéraire -, par M. -Jean - George Meufel, Profefleur
‘d'Erïaftgên,"p. s~5, jié. Eemgo , 1-783 8°. En allemând.
. (30) Tom.I I , p. 241 - Z4 4 -B'èrlin, r7 8y, in-8 °. En-àiieihànd, afeejtg..
Ces Lettres, en deux volumes, contiennent des oWervations lamineulès &
intéreffantes fur .pliifieurs Etats de la SuiiTe { Berne , GeOètà y Sec. Mais
rAuteur n’a pas été égalëlôent-lieureux dans h âifctipüonphyS^ueyÿoli^-
tique 8c morale 'de plulieuts autres Républiques. Au refte, on ne doutè.pas
que s’il s’y fut arrêté plus long*temps 9 il eût retranché de fa Relation beaucoup
de conjectures bazardées > êntr’aütfe's celles qu’il à féfites! fur le Canton
deFribourg {rom. Il ,p. 2.43. ) On trouvé dans le fotkailtiêîneyblunie de k
Bibliothèque générale-allemande , Partie Ie. Berlin Ô* Stettbit ïfSj1, w - 8° ,
p. 298-30}, une Lcitrc datée de Sehaffhaufen le 18 Décembre 1784, fur
le Tableau de Zurich, 'fâàcé par M. Meïnets & dans lequel PAnoriynJe
obfêrve plufieurs défauts ; i f reproche aufli au (avant joutrialifte -M. Sckloet-
\a y des jugemçns trop précipités fur la SuiiTe> 8c généralement furlosJRepua
bliques*
T Ô M B
SuiiTe, & qui le plaît à déùyer d'e la Gaule méridionale
fos habitans de l ’H e lv é t ie , prétend (3 1 ) que les,Gaulois,
& comme iln e connoît.pas de v ille1 des Gaules qui foit ainfi
nommée, i l conclut que la1 r iv ie r e ’de-Befiers, dite
& - en laëi© , fournit le feul noi^reffemèilaat à celui
d’Orbe. M . de a enfuij:ei’récouïs à , A u -
teut. de
$aif On trouve 'liéxphcaêiop]füi^^^Ma^^^^
Viager, ïoj&x
fq-lubria, SC rupifius objîta. M. de Bochat en conclut qufOV
^ 'O j^ ^ ^ ^ / S g ir ifio iè jé n ^ oe ït i^ è lÜ n ^ îw ik r é^ ^ ^ d u J ê
daùs dés lieu x montagneux,.dont l ’ak eft falubre. T lû tes
ces '^ p ^ ^ ^ ‘ë|'Sa,yàh’t v
aîo u te c ,A u ^oe ?^ e^ ^ ^ ^ ^ i ^ ^ 6 ^ ^ t^ es i'G 6 ljë a& a s
que de phoeg‘l« 6 ë p g Q & j^ ^ m | d ^ i e f» t eM | ^ ^ ^ W P
fieme fiécle de R om e , en fuppofant qu’elle fût bâtie par les
iGaûlois du Languedpc3'qüïfmvirèÈt~‘BellpVtëi^^®èSîm^
yefe.vSi Mi*de, Bs chat ’ eut con'nu'0 r<5, f c , petite yi-l-le de, la
JSFornaandïe, fituée fur la riviere du même nom
'du Diocèfe de S oiffo ns, péüt - être qu’il eut,tiféMe^cw d g ,
ces endroits le nom d O;/5e en SuilTe.>Quelque Etymolo-
g ifte Allemand, qui voudra faire dériver de la 'Germanfe
■ le s premiers hahïtans de l ’H e lv é t ie , qirâiii^jSùr^ par un.
lyftêmë rb,uÊv|p"p‘dfé à ‘celdi*d© l^ d è^ û c » 4'^-..qu e;îl vilfe i
d’Orbe a été bâtie ^^des%(§e'rmdns, originaires de la Muel
Or^a , ou pu ^^<5 , qui appartient à l ’EIeÊteur.dè
M a y en c e , & qui eft fituée à l’exÈréhaité d'e l'a forêt S p re i-
'h a r t en allant à Salmunfter , au-delà duMein. L a pétatè'v
iiviérê/qqi palfe par '.Qtpkf^ Q n ï ïe t ,îé jettê^dàri^p^flç’.de-'
Xin zin g au-delà de "Wertheim; Cette v i l le , de médiocre
.grandeur, eft agréable par fa fituation. On.voicTur la co lline
qui1 la domine les ruines d’ün vieux château,,^ allez
femblable à celui d’Ôrb e en Suiffe'. L é Canton d’Orne ,
près de-Gelnhàûfen', fe nommé iAu I l y a auffi
dans la va'ltèë de TO/e ( 33 ) , en A lfa c e , .uniEndroit,dit
Urb ath -5 ëbnnu paï
’ . O n prëfume (3^) par cliyèrfês- mafures^d’Orbe 'en Suiffe,
que cette v ille a été âutrefois plus grande qu elie ne l ’eft
U ; $ H t Ë;i.: 4'3P
au ja tó liiü i. Les Chroniques fabuleufeS du.pays de V aud ,
|ut|t)||fe fur ruines d W andénûe!
nommée ■ T^el^eiù:z\L \ eôfflmëqceiment du fixiemè
; L ’ItihéEaké' fait mention d'U rèa., entre La.*
<çu‘S'-Laufonius.0 ôe Ari& lièd (!z : là diftanCe eft marquée
dix-huit à fë g a rd de , vingt-quatre à l ’égard
d'Ariolica. examinant le lo c a l , M. & Anfydlêsmi |ôn-
-îyaincu que ces diftatices fonteopaù|ées eh milles rpnjains5
& que’ cel% A r io iièà ‘1 'vxngt^
quatre mi,Ue’s..,'jqtié parce que les défilés dû.mont Jura, eti
. -p|fî|nt' p‘à^ ^ ^ ^ ^ |& ''fp u >s le dhâteaûx de L düx ^lôhrfer-
Arlier, L^mêffié À c a -
ne-
a pré-
|jf ^ r4 gup^ f f Ja‘ 'dpt(né le '^^^^Wxbigpms: K^wWeê^^ztpe ‘
i^desr pasWeg^
nérale chez tous ceux qui ont travaillé fur l’état anéién dpf
fHelyé’tiè|?’-|l-I^à^ga^é'‘Ç^p plùVg^apa'nq^bre. Cejffii
jappprtk, ( 3|i)^^w^res 'k^é^itêdè^ ’Ifëlv'étïens, /ixrhiilê
pouvoir fe réfugier chez les.Germains, ils prirent la route
, • Maisfplüfie^rsiM’aqpfcr^^y^^MPbi^^l^rik^?/?«^
9^e^ïôh.ithbîgeûus^J\
b ig. confirme la première de ces leçons. L e favant Antiquaire
Hagenbuck ( 3 8J 5{,dsfZ}i'^^m néCV©U%;pa s r q ^ ^Æ
Ü rh à , aufoufi^uu^p^;ni?leri^
arbe ^qu’aüçupV
Pogus des Gaules, défigné dans Célar, ne devoit fon nom
manu (41
Canton , quoiqu’ils ne fufient pas d’accord dans la ma-
' t î 1) Afem. Crit. fur 'l’Hift. anc. de la Suiffe, tom. I , pîv8a',;8 |ÿ,;' ,V
J t ÉkiÇT4i* , '.
($$) Schoqipn, Alfatia illuftrata, toni. I, p. 7 3 4 *
^S^Rfent-in, Abrégé de l’Hifli dçla .Smffe!,qvi8 & 4 ||;.vGé|èye',.
, ,in48°.,Le même, Helveda antiqua. &• nova, g.rioLf ’Æx^ i^gûtî-,\ J737, m-8:9.'
(çy)* Notice de la Gaule, pac.M. ■ d’^m'iüê ,,P‘MÎ'kiv > ,
M. d’Anville, (ibid. p. rox, roi,")Toutien^u^là>p‘offii^p 'Çjmoÿca
ïndubitabiemént celle de Pont-Arliefi. Voyez auffi Haèqani gdç{ii Ifoiitia,
Galliarum, p. 6t j , 614. Parifiis, i-éyy in-folio,
\j,S) djlaoefiiï JntrodaÆ. t<3 eogk Lib. ÏI-, cap. 11. ideip. Âot;v Germann.'; '
Iiib. ÎS-, cap. Piarfoirii ttfâyet. an r. 8c nova, Lib. I, cap. 3, p. uy 8c ié»
Tiguri, 1737 , in-8°. Cellarius , Gcog. anr. Lib. II, eap. III, 8cc.
- • (57) Dé <Bello Gallico , Lib. L cap. .17.
(38) Infeiiptip antiqua, Tùrici^ Gommcntario illuftrata, p. 53p.. Turici,
, 7 4 J,.in-4 °,cii»iT/îir.
M. Schoepjlin a fait graver l’autel de pierre,.trouvé; à So'leùre 'dàiis. Ies=
anciens fondemens de l’Eglife Canoniale, 8c en a explique I’Infcription dans
une Differtatioii qui a été impnmée dans le troifierne vdlumé' hjübfîqQe du
Recueil, Hijlonca &* Commentaciories AçademioeiEkSomhs -, fcienmwm 6* efe-
pntitkmàimmm . B « * « - P»/minoe, f»S.:
cwnÆiTnfcription nous apprend queffous le confulat deH^mpereur
Antonin (Elagabale ) /8t de Sacerdor, (c’eft-à-diteJ’an n ? de^^Wdhr0 }'
.sienne) Succmiiis Dmecenusi fit élever un Autel àü?Qenie^»*%Mux 8c à
l’honneur de la Maifon Impériale , g en verbig in honorem dom divin , 8c
“ce'rnonumeim Lire leÆnpm de l’un des quatre
gGant4^^^^m^etife^8C"C^ j^^lllr^ufcf.its vicieux de%ÿ^^om^éat"C7f-ç,
$f^|^^^^^^^e3^^fioH^rëGqii^eâ'f5b%meniairestâpfGéfiV.^attribuéê.
a' P/anudef ,!%in^ivoit vers 1327, p'orte auiîii PtffryTw, lèço#a!®®|qéi|^
Verbigene, dans lè,
• 'terrifdïrë'd&!*qléSk^^«d^^^^re'j^|^!Rhîfe^?^,^^ùve, j par une
. âutreTrLfcrjptionjde S|>ïeurè, dreflee à la même époque, que là etbirl’yfutefl
du Génie Veibigenus, qui e'roitvconfacree à la Déèïïe'itEpone, que Soleure,
nui, que'■ Demecenur avoît placée fur‘l’autel, comme lTnfcript.ion la defigm2,
Sn’iéxiffevïplas.' Mais il eft à croire que fa forme étoit à peu près la même que
'^||[èOdbbGénie'gué!lîon voit fuutrois monumens'Romains, trouvés |®|IM ■
dernheim, près de Francfort fur le Mein , 8c à.G'odramJlein près de Landau
en ÂUfacé. M. Andié Limei, SlÉli^hé'caire de.'l’È^eértur.-rFakÿn, a.&it un
■ Mémoire très-favant fur ces Monumens ; on le lit,dans le même Recueil
dM^^démie
(39) Réglés pour juger de la conQijutipn 8c des j^oe.urs d^jàncieqs Helve'-
,tiens, -afvébt leur paffage fous la domination >des Romains , p* él. Berne ,
1781, in-8°.<en allemand.,', v i«
(4o>^ta'lIià Comata, p. 73, 86, 138, xo<? 8c 38p.
De rebus Helvetiorum , Lib. Lf cap. » • , : ...