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pïusfûmbres font les mêmes d ms 11 gorgêfoïeue &.foanUç<<)Uiji7
IH ^ ^ cii *(-~'1 \iv ie , mus tn r e prochant
ces deux oifeaux par les reflêmbïances, 11 N atuic
fenibTt nes^RQip fcpai s s d’hahnution j le 'UM i^ ^ ’tig^d,Gnklura
au fond des bois , la gorge-bleue fe tient à lgùrs liiières, cl er-
chant les marais, les prés humides, tes oferàies & les rofeaux;
& avec ïe même inftinâ folitaire que le rouge-gorge, ele fembïe
avoir pour l’homme le même fentiment de familiarité ; car, après
toute là belle faifon paffée dans ces lieux reculés, au bord des
bois voilins des marécages, ces <lifeaux viennent ayant leur départ
dans tes jardins, dans les avenues, fur les haies & fe lai (font
approcher afTez pour qu’on onifTe les, tirer à la^fadgaeane.
Us ne vont point en troupes, non plus que les-rouge-gorges,
& on en voit rarement, plus de deux enfemble. Dès îa fin de,
l’été, tes gorge-bleues fe jettent, dit M I ottinger, dans ïes cl ffnpÿ
femés de gros grains, T'nfüi4not}UïKïfoxchampsa^tMisyptm ^
ceux ourdies fe tiennent de préférence, & prétend même qu’elles
y ■nnïljo'itç uikiSron trout c^plus.pbrniirtfiument kuWird''fi:n"l®
d o l t s ’,lies ks.,uhiiilcs qui bordent icSaitoux^fiumidcs
il eft conftruit d’herbes entrelacées à î’origine des branches ou
jgffSüaasfe temps des amours, ïe m â t skkvc droit'en l’air: S S
petit^y^^enÆhâ'ntantj-il pirouetteiSÙifëtiépr^ fur^iôiruTrucrui
avec autant de gaieté que là fauvette, dont la gorge-bïeue paraît
avoir quelques habitudes ; elle chante la nuit, & fon ramage eft
très-doux., lunant Frifch ; M. H e rm a n n ^ J, au contraire, nous
' Docteur ■& ProfefTem en Médecine, & en Hiftoire Naturelle ^Stral^ourg, qui a bien
. voulu nous communiquer .quelques faits de Hiiftoire naturelle de cet ' pifeatL . fÆ