MéfÊHgé^-.Wm f i i b a n t p m î S ^ r ' g r a n d nombre-,,,
, dfoeufs , jttfqu’à dix-fept & même jufqu’à' vingt- un ; &tdq pfiç9
W rçSflRu& rcM ^k^ges-, cooa&dc nicher
ftu-.fe àrbrét r de ife.-.nourrir cFmfeâes ( d’avoir la langue-trop»
_ quéei, jlcç^c^qtie ïe même Auteur ajoute d’après un oui -dire
; s£ kz yague, & ee que Kme répète avec trop de confiance,
.fe^^^gglesroeufe de cet oifeau-font toujours-en nombre impair,
- tient iùn peu du roman, & dé, cette fuperftition pMofophfque
(ju^Jç^ou^îçmpiliupnjïïa une certaine vertu d ins-lcs ^wmfirçSj
j^^VûttdtinsJ^Ênombres impairs, & ÉtiHèuf Attribua je lîëdks^
/queHc .influcncQJur les phénomènes-de la- Nature.
, Ua^pteûte charbonnière diffère de la grande^ immfeuîehfent par
la taille & par fon poids qui eft trois-ou- quatre lg ^ moindre ,
mais encore par les couleurs ,du,plumag-e j, mnim ^ "nPnon?ri |
^.s’en affiueç, en mmnaraÆ^gsaidsfetptfôns. qu’en
ÀffiTlfwgn^ole f c ^ rfPtlâns. les forêfed^lapicis;,mais|pS^i,uede
.^efr-furles- aunes- qu’cïïè fe plaît pfMvant'M. fLinnæu s. LUè^ft
k ^»K^fiahte'âe-toufés, fes~méfan^stcaï ng^feujfemgatdes '
jëfefs’. âécôütent à la voixjPune i3S ^ imcnTCnt j
eDes-ï^p^pt tromper par'Tappeau, anaiM ^ twraües»même
plufieurs fois & ^ r a în t^ d ç ^ g h ^ r^ ^ lift’p-
. .reprennent encore & tout aulfi faciIemeBt dMylg^rfaémës
,“pK ^ A par les mêmes iufes ; cependant ccss.oiie luVHpmcnt
aüîlîp dîî'plus ffintdligence que les’au»? s diirïs pISiicilrgagLiuns,^
qui ont rapporta leur propre cûlifervation ’pu à celle dt*f S-cou- j
ÉÉÉ & comme d’aillcui» ils forU. fort courlgcux, il lem]51t q ^ J
cH n v e ^ tt^ e qui detiuit en eux lelentuncnt dSjadefiàgig^s
comme celui de la crainte j s’ils fe fouviennent de s’être p«isAdans ;
fe filet.ÆU gluau, fis fe fouviennent aulfi ^ ’iIs-foÆnt-®h'aj^i'és, I
& C/tan/re.