49§ Æi ïuüf aa J R E-j iN A T U R E & L E
g- "la tepse, .Çels font ïes les Jffqçmis, ( e ,^ m
les vers, les ÿjeappifePes,, les aBe^afa^v^ges, pïufieurs efpèces m
L clp^ÿieniÿç^,',„&ç~ f fi).i c’eft>ïà Je véntaHe appât qui en, .tpjü, 1®
I pays attite ia huppe daqs les terreins humides Bec- K
fl ïongéje Eqegja peut facilement pénétrer ; & celui qui, eaJÉgypte,. S
| la détermine, aiufi que beaucoup ,4’%?frÇS oifeaux, à régler fit »
marche fur la retraite des eaux du N i, & à s’avancer coaftâsnlp B
| ment à la fuite-de ceT-fimye^uar à mefure qu’il rentre dans fivi^' R !
I bords ( h J , il laifle fucceffivement à découvert des plaines en-, R *
I lime®, qpe le fcïeil éçhauf^ , & qui fourmille ^leptôt. S
II d’une quantité innombrable d’infiâe&Æjte^titej ^pècei^^^ajiffi, * fli
Il les huppes de pailàgc Sot^-^çs alqrs très-graflès ^uè,^,bqM.e^ R
1 ,i manger; je dis les huppes de pillage, cai il j en a, d^g.e^j!jl|
I même,pays de fédentaires que l’qn voit feavent fur les dajjitus^. r l£
' aux ertvirens de Roffette, & qu’oa-ne mange jamais; il ,en e£b ’■ !
( c ) M. Frifch dit qu’elle fouille, avec fon long bec, dans ïes fourmxlüères pour y cher-, î J
cher des oeufs de fourmis : cèSe^qu’a nourri Gefne&^^oiL-très-frrânde en effet de ces j
k •* oenfe.mi.nymphes de-fôürnùs, 'mais .elle' r&tetoit ies fcagimyHIesrhrêraesiÜ' V ' \ ' f ' ' •’ ' * ' ! ) |
’ Ç f ) M- Salerne ajoute qu’elle purge la " ^çaifoji de foiyjis, ^mais c’efl fans doute en les i
1 pourfmvant &-le? mettant en £ûte, car xt eft ^évident"quavec un bec auffi. giêle des /erres j
|r airffiffôibles & un gofîer auffi étroit, elle ne peut m* s’éj^ÆG^, pi les dévorer, encore moins: \
I les avaler toutes entières; on fait q u elle mange ajilB les ^ibftan.cesgYcgétaIgs, entre atitSes' |
! tvl/»«. A* mfcfe & âfes Taifins. Vnv^r G lina &■ les Anciens. Far trouvé dans le géfîêr de; : \
relies que jV djiréquées."outre’ les infèétes & les vers, tantôt d e i^érb4^,jd^^£fes^praines. :’ S
;; doe&Ëom:geohs, tantôt des grains ronds d’une matière têrreufe, quelquefois de petites pierres,' \
1 quelquefois rien dui jtQufei .; : ' . " ; *" . 1 ^ '
i ( s ) Ceft- parce qu’elle court ainfî dans îa vafe qu-on lui trouve prefque' toujours' lês |
pie& crotreSi - • | - | f
Qn voit par cela fèul pourquoi Fapparjrtion de la huppe ^en Egypte, annoàçoiÇ aux t ;
j TWhrtans de ce pays la retraite 'des -eaiix du N il, & conféquemment ïa- Gdfifai: ^Ses^ÿB^afflè^: - ^ j
I ; anfïî j^bupit-âle üh grand rôle dans îiâi M|ro^yighës |gjpp£ensv ‘ ‘ ' ||| \ |
|y- ( i } Entre autres d’une efpèce d’inlèéte particulière à l’Egypte, & qui reffemble au ç?d^ !l| | |
porte. Le Nil laifle anflî beaucoup de petites grenouilles & même de-frai de grén oui-lie q j r* i
dans ies endroits qu fl a inondés ; & to u t cela p e u t, en cas de befoin, fùppléer aiitxr IA f* j
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rqiiDis | ce quifne peiit^maifigser ■dWpirei Hmdegoût^pbiar'ïes
t J1upf^^^|''Gjfés ; Æç meme dqfdogïneé îim'mauvais^faraeîià'ïe'tft
3- »QQ'tïoifième elaffe tpu tient le mira'-entre
iï"iej5^é^,ajkfr§s, & quîfe fixant dans nos jardin*? s Æqawe. à'^sljl’
nôtitop flifîiamineBt 4ç .ehemHes & de \rcw de ferse jfq tlJA u
c^te;1- B | fe mo^de, êfU3itient qtte ia chair <J$- dâfê#a€'V q i #
B S lf e 'ï^ l ‘d ç^ ^^jiYan t, n’a d?aiT#&Wafifi rfci
S B peu trop
fi friands d ^rfe é ix , ne. touchent jamaisà
ceux-ci (o ) .
f e g B ^ j^ g ^m a n g e , à Bologne, \
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