ta\Æ^lcvIinJnqûx.ï'j'qai^'iTppIi^^iH’ur^a l’autre, forment uiîtI
fli}j'îiîcntiLr, u ^ f i r ï â b l c ^ ^ j d ’a^iratidîï’, ,plu^an^Iç^e-'à
la trompe des infe ftes qu’à la langue des o ife a u x ,^
- H n’en eltp as non plus du genre des grimpereaux comme de
' celui des colibris, par rapport a l’efpacc qu’il occupe fur le globe ;
les colibris parodient appartenir exclufivement au continent de
l’Amérique; on n’eri a guère trouve au-delà des contrées méridionales
du Canada, & à ■ cette hauteur Mpace de mer à fran-
cliir eft trop vafte pour- un fi petit oifeau, plus petitlque pîu-
lleürs infeâcs; mais le grimpereau d’Eurejpe ayant pénéti é. juf-
qu’en Danemarck, peut-être plus loin, il eft probable que ceux
de T’A fie & de l’Amérique fe feront avancés tout autant vers
le N o rd , & qu’ils auront par conféquent trouve des communications
plus faciles d’un continent à l’autre. ■’/
Comme les grimpereaux vivent des mêmes infe£tes que fes
p ic s, les fittelles, les méfanges , & qu’ils n’ont pas , ainfi què
nous l’avons remarqué plus h aut, la rellburce de faire foi tu leur
proie de dellbus l’écorcë en frappant celles-ci de leur b e c , 3s
ont l’inftin£t de fe mettre à,la fuite des béque-bois, d’en faire,
pour ainfi dire, leurs chiens de cliaffe, & de fe faifir adroitement
du petit gibier que ces béque-bois croient'ne faire lever
•que pour eux-mêmes. P a rla radon que les grimpereaux vivent
uniquement d’infeéies, on fent bien que les efpeces en doivent
être plus fécondes & plus variéesydans les climats chauds , où
cette nourriture abonde, que dans des climats tempérés ou froids,
& par conféquent moins favorables à la multiplication des in-
fefteS. Cette remarque eft de M. Sonnerat ( b J , & elle eft conforme
aux obfervations. 9
H Q n $ f a i t d d A ^ U P ^ u r t l e a u x o it Ls '6% jlu i-, dS&,
nmm AtmiiieVi m i s
•a eft plus fenfible dans*^(i«m3Ie sti^M o t^ ^ ^ .g |Ê fÆ e i& |,
l'Amérique. M. B^fjon;
joBs petits oifeaux Américaii s, ne fe forme que très-ï i r K w
A «pi il n ^ n u ju n i^ i bi '1 i dArimi«r)ijSt.i.l t pi fÿMjSfirF |
E a u î i n ^ J n M ^ R m u e s , n J w ^ s .îeïm'llçs_ lSât
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f \ u refte, quelque analogie que l’on veuille voir ou fupp >fer
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3 faut convenir aufli que l’on cohnoît entre c s deux, branches
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