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efi-eïïe un bon manger,, & ne-fei^-point la fativagme comme
celle des pics.1 , '
' lies petits, éoîofent ap-moisde mai f k ) : ïorfqu^lÿducation
eft finie , 2 rare que les père & nière reçommeticeçt une
îeconde ponte ,-}mâis fis fe féparent; pour , vivre feuîs' pendant
fhiver, chacun de fort côté. « Les payfans ont.obfervé , dit
y> Beïon j que dejfiaâle bat fa femelle quand fi Ja trouve îorfqu’eHe,
-».veft déparlnode lui, dont iis'ont fait un proverbe p‘ouÇ)ûfa.c]üi
fe-conduit fagement en ménage,qu^fi reffembfe a u fâ ffi^ p o t;
mais’; quoi qu’ii en foit delà fagefle des^maris, pqint
que dttes cè'usK paancùiier, celui'■ci ait îa moindre iqteMiqiijIs
battre % femme;'je cronois bien plutôt que crttejFémeHe, qui
fe-fait defiier fi long-temps avant la ponte, e llia prenjière^àsfe
rester après Féducation delà famille , & qiibtddffi[ffi®E-mMe la
rencontre après-une abfence un peu longue ‘21 accueille.;Mr des
.SâKifi-’S' d’autant plus vives-, même un peü brvrfques, & que des
gens qiiï n’ÿ regardent pas de fi près., auroiÆ pnfes poilf, doS
mauvais trartemenv. J
La fittefie fe tait fia plus ■ grande partie de F année jdbn 'en
ordinàife -eft h , à, /£, ri, ri,1 ti^ ’ti, qu’e-He lépètê cm gnmra nti
autour des arbres, & «font efie précipite la me fui e, 'de. pl ifs"t n_
,jfius. ]VL Linnæus nous apprend yd’aprèsM. Strom, qu’elle ehame^
aufli pendant la nuit f l j î J~.
Outre fes diffeiens eus & le bruit fiti’ejlb" fâit«m,^tiauU
Fécorce, la fittefie fait encore ,^en mettant fôni,,b,eGyd^@-Ung
tomber tout :caffé.. On a remarqué en effet'qtie -k: fîttellê fe jette dans les - effenevières vers -
le «-mois de XéptéffiBre. | , , •
j f | | J%n ,at vu d^éclos dès -le io , ■&., j«t vu'des oeufs qui ne fëtôient -pas enêore fe
pins tard.
cantillat. Nat. ed. X I I I , pag. ilfif:*- | ?