. dev roitSsIt&ces ?deu& cfpècesy1 quoique ’strès^ différentes & 'très- ; ?
'éfepgÉéfe^A^î' •'
< ^Lé'ïfogMÿte- e(l;$<$i€‘cè'-très -petite oifèàü^gu’oriVêr^parbître
•dâij&îes viSages :$ è près-des vàBés à FarriŸée'dë’ Pfi#êï, & ’ju’fêftâe
"î.dâh's îa'-feifen’fepïiis-iri^ftkeufeÿ exprimantid’une voix -cîaîun
t petit- ramage gai / partkrdfièrenïent vers fe * mcnatrâAt1 iïn
-inftanf'fiïÈ^’haur'deS'.piîes de bois, lu r^ ^ ta s cfeti%&t§-bili$î
■rentre îe moment d’a^f* , Sd'bienr-fulf’ïavaiiçÆ tftînkffit , ’6u il
ne reft&quSaÊ inftant, & fe dérobe'Vite ®fiis Id'coüvertüre ott
' tdans un’troU'de muraiBe quandiî en fort, 3 ,fautîBèlfur les i
-Én&ndages entaffés’, fa p e t t t e q u e u o td ^ t f s 'ïd é ^ f^ '^ r a i^
qu’ün vbiUQurt & tournoyant, & fes&îes Battenf’d’d^'MdUve-
ment fi v if, qûe te^vîbratibns s i échappent'a îoSS^'Vëfr tfe
cette habitude nattkeffe qfue feGroe^JgjSSflrtioïent aufi^roS/Ss-;
j'nh«py,r™ip;<, ( p^l -rJgjLJnf<^llërffmiiiiation'!èfl: non-feuierkâit; âïfâ-
fegÉS à fon voi, mais aûfltiù-'ïà forme dfe fon'-Ëot^-Icéburei
& ramaffê.
( k ) Olfna, Belon, Albin & M. Briflon\ fe nomment' roitelet i FrïïèlrSc Schwenckfcld apres
Ravoir : pnimn^ troglodyte , l’àppelfenfc auffi. roitelet ; mais’ Greffier', Aldrovande , îîp.i|pl|^
^iDughby- & Sibbald après eux, rejettent cette dernière dénomination , & sJ
réelle -de troglodyte. V oyez la nomenclature y au commencement de cet article. P^r
cqnfufion a^ÜËmy Barrère, Frifdi 5c Geffier lui-même, appliquent de nouve;
ly ta nm s ; le nom de trochilos , qui dans- Ariftote appartient ‘évidemment at
M. Briffon copie leur erreur/Vbjëz^ïa nomenclature fous. Varticle roitelet.
1 tiennent à ;
, au -ïoiteï#
( l) Per Jèpes & foramina reptat, unde & meritb troglodytes dicitur. WillughLy, pag. 165. j
aàia - Ifd donne en chantant un petit mouvement v if de droite à gauche. Elle a douze |
pennes,afféz figqfièreinent étagées; la plus e^érieure eft de Beaucoup plus.courte que la
Clivante, celle-ci que la troifième; mais, les deux du milieu le font à leur tour un peu plus
que leurs voifînes de chaque côte^^^olîtion facile à reconnoitre dans^C|£te, queue ,• .que
foiffiau % çoutumey non - feulement de relever, mais d’épanouir en goÿuj^„,
| paroître à deux pointes. ....
XZ'(n) \A trocho troclülus, quoi breyi trochiformi corporeéjl. Klein; , ,
li la: à |
• trois Ïbn|id6wï&
cinq ‘p o tÆ ^ c demi pieds
font hauts de -hait ^
par petites
corps & les ailes, *fur & meme fiû h queue; le deffous
-du tor|S' t(t &. $uXfis;|Cfc.(b(ji uaCe^^c,
- & jp p u i'3 în fi. dite <j!fi natui l-, > le p lum fge -dt"ll. îiflï
h • qùii î> d (UIÎC. O.tKU ,
Ce très-petit oifeau eft prefque le feuîqui h (le dhis. nws
>rt a<- ^ ' C ’'ft
• gffLKTd -i tri (Il iâll*jL,\,oih-tHiiiinnr».fMir^ jnuu\j,
j&'-eômirio^di™ I it! JoM^Vfc^uri^^pri fliimçdêntinotii. i
Pli du du rit r j* , 1 //rm.d’^ ^ ^ >Cfo]ïV|l ant}f ^ut
, ,[ tfh.tauipe j
par fepmelfM^h’qPeiWi^ei ^Æags.^za^^ a ^ 1jTO,y ~
& qui % fa flÿ a^ y e^ îfe ,G e tts^ ffn ^ f.Tpnrp
’Mes^%6A!hs d e H ^ e ^ p a r îe rçt,aafiëment
défagréaHe /dès ‘coiheanx Le^trdglodyte.fe £ut*Xur-ÆoUt,
^.téh&g^bûatïd. d éfiy^hife.-det .rni.faOT ïe far
îorfque le ’froid dairrM^iMer'îa nuit. ï ï vit!aüïlWans<B"gs’-- b%Sk-
..Cours, dans îes ^Sffiar'S., .cherchant, dans ies, BiaiicÉages'^ fîir les
(^ A u f li ai-jc vu des enfuis à qui la bécaffe étoit connue, du J reraif r nu ment qu’on
■ k ™ montroit le troglodyte, l’appeller petite iécajpu
“ Ayant k .queue trouffée comme un coq.. . . C eft un oifeau qui n eft jamais mélancolique.
toujours prêt à chantei, auffi l'oit-on foir & matin de tien Ioing, & principe«
•lement en temps d’hiver; lors il n’a fon chant guère moins bautain que celui du roffignol.»
v^Belon^yâf. des:&r/èaiià: ^'* |
( q ) voix^ft'fî fort & fi agréaÆe,' quMigr^fefÉtouidürs
^ ^ 244. ' ”
1 entend & on le voit encore quand il 7 a peu de temps quil a neigé, ce ,qiii le ■
par quelques - uns, roifc/ei de neige. Ibidem. •