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point de vol, ri né fait'quefauter vivement & tdujôws pronom fl
'.eant. brufqüement hou tou ; ri efl: éveiHé déygrand matin &,fait
entendre cette voix houtou avilit que îes autres oifeaux ne commencent
ïeur ramage." Pifon. ( e ) a été mal informé forfqu’ri a dit*
qüçXct oifeau farioit fonuud au-deffus des. grands arbres;port-*
feulement il n’y fait pas fon nid, mais ri n’y monte jamais; ri fe
contente de chercher à kfurface de îa.terre quelque.troude tatous,.-
" ÆjicoïLchisiou d’autres petits animaux quadrupèdes,;, dans-lequel :
ri porte quelques brins d’herbes sèches pour y dépofèr-fes oeufs, '
gni fnnt ordinairement au nombre de deux. Au refte, ceaioriëauX..
font aflèz communs dans ï’mténeur des terres de la Guy ane,
mais ris fréquentent. très - rarement ïes environs des habitations;,
leur chaireft sèche i& n’ëft pas trop ba^gSfcmànggu Pifon s’eft
• encore trompé en driant que ces oifeaux .fe nourriffent de 'fruits;
& comme c’eft la troifième méprife qu’ri a faite au;fujet de léurs
habitudes naturelles, ri y a grande appsfeencfigaS ^ appliqué ïesr <
kits luftoriquts d'un autre pik au a ccki-gerdT5ntriI, iû i ’.donne '
la defcripübn que d’après Marcgrave , & que ; proïjabïemènf ri -
ne coonoillbit pas; car 3 eft certain qüe le Ao«-i>^'cftnb»manc_r
oifeau que le guirà-gminumbi de Marcgrave. q^j^B.e.;s’aiapi3iV oife
pas aifément^qu’ri, n^eft-pas=4 M^T^knger, & qu’ënfin ri- ne fe
perche*«we niche au-deflùs des arbres, ni ne fe nourrit de-fruits
coinme fe, dit Pifon. -
f c ) mjt. Nat. Braf. pages 93 & 94.
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