HI sire J R s k-'e e^lTl e
de la famiïïe; fon amour fembîe durer encore après fes defirs
j j f a n s f a i t s , 1 ,*\y V " i 1 t;
Le nid eft compofé d’herbes sèches , de brins, de cl anvre & |
d’un peu de crin en dedans; il contient ordinairement cinq:
oeufs que la mère abandonne Iorfqu’on les U touchés, tant cette
ipproche d’un ennemi fui paraît d’un mauvais augure pour fa ■
future famille. H n’eft pas poffible.non plus de lui faire adopter
des oeufs d'un rutre oifeau : elle les reconnoît, fait s’en défaire
& les rejetter. « J’ai' -fite ccSuyer ,^ joJufraa^s
^ ^ ^ ^ c 'tï .â n .^m ^ iit M. k \icoiatc_dCjQnt.Bf^TitÆÿdLS,tr'ü|sMc
« inéfaiiges aux roitelets, des oeufs de lin >tte à un rouge-gorge ;
il je- n’ai jamais pu réufhr à les faire couverr par des fauvettes,
f llf llë so n t toujours rompu les oeufs, & lorfque j’y ai fuhftitué
d’autres petits, elles les ont mes auffitôt.» Pai que] charme donc,
s’il en fau t. croire k multitude des Oifeîeurs , & ’ mêéic des
Obfervateurs, le peut-il faire que la fauvette | |É y f d ’oeuf que
le .epucou dépofe dans: fon nid -après avoir dévoré les | liens ;
cpftth fe.j||ffl|ê''-avee affection d | Cet ennemi qui vient de lui
naître. & qu’elle. traite comme fien ce hideux petit étranger? -
Au relie, c’eff dans le nid dê 11 fauvette babil îrde que le coucou, j
dit-on, dépofe le plus fouvent fon oeuf; & dans cette efpcce , le
naturel pourroît être différent. Ceîle-ci eft d’un caraétère craintif ;
tik fuit devant des oifeaux tout aulïi foibles qu’elle , & fuit
encore plus vîte & avec /plus de raifon devant la pie -grièehe fa
redoutable ennemie ; mais finit an t du péril paffe tout elf oublié,
& le moment d’après, notre fauvette reprend fe.gaietÇ, fes mou-,
vemens & fon chant C e ll des rameaux tes plus toufius qu’elle
Ü fait entendre; elle s’y tient prd|riai i e men t couverte, ne fe
, montre que par inftans au bord des
D E L 'J F$i u f î d ^ f f \T 'E.
M
Âhféôeur., fuir -tbutfeëï^fhf'^'fchaïeui ffuYjouj. L'ç rhaJm, 8|n
f îf ‘v6it*^cÂêiÏÏ(r- la^ofée, &. f>}.^s*upui k s<-ptml Xqu tôki-
|||S(gner -îdans Its g a îté s’qu’e fS *fqel|^ d|^qtïjlfegc%
«Au telfe, jfrdfqu|teates les finiutte.'. puhi ten rmrhemnip's,
I ^aü‘ frfîieu»de >Pautomhf ,{& upcin v(et-pr$ënèoU quelque 1-
. üne# -départ
â f e ^ e s - & H ffeî h s f f v t u m i ;
( HSê ~^Wa^--<8«H^iQa.&frmferpem i i*
E^LLUi-Ë s■2j]|^ 1|| ' .
$ s i
* D an sc e t oifeaü> h bec eft 'très-légèrement éch'ançn vfiséli
’po,n1pp»r I i n -Il p,nto
h^.d/d^ 1 f|d u %] iif s u s H ur ti tq 5trtic ihrfs B H H
( S J üoFTm V
1 F jfj f Pt pi riK-jdft fc.ddimi t^Âïmi^i î q uent
on ne trouve point de véflcule du fiel, mais deus petits eoeci n ;
le doigt exterieur ell uni à celui du milieu pai la première
phalange, & l’ongle poftérièur eft le plus fort de fejjÇ., Les
,teftieufes dans u n :malcV:'pris le iS-de juin, avoient cinq lignes
^Idr.trifcm ,^qWirud ms
le 4 du même mois, Povl duclus très dilaté, renfermoit un oe uf,
& îà grappe olfroit les rudimens de plufieurs autres d 'ing,i,[é''
‘m m j^ im itó sm f j'd 'o r ides& ..nftal'C, on nomme wlfea
di(b n é fewi^^4 ô -fe iic s..l^jpjupa^t ,t[y, }iJi^ets,d(. J a u n i s ".Ai
Lpiepirle aylaquclrales Aoincnclatcurs î&Li k u r n ijS\c i ,q r ^ |