ni après l'époque fixée par Ariftote; ■ à ïa vérité ils ne chantent
pus vuiflimmc n t. ils, couiy
■»^tacënt.xl'tjrdtakirc au mois d’ ne finillênt topt-^sja'O
* qùffiip mois de juin, vers le folftice ; mais li^stiitablG. épaqû<H
^c haut • d in um ^L c aaci rup , ueft etl^VRi^turs tpçtits*
”Ç 1 fA ^ (^ q ttjXM ^ wr.s d a Ammûde. faAi
: jMjùrrir,, ce-.cjue, dans fordiÇ'dta^^iR'éfe , l i N annexa donné
& iBignfSHjJUjpB^.-A. ceux qui tendent a, 4%iC§®£§ wa|!p%$Ies
elpèces. Les roffignols captifs continuent de chantw®]^®|mt
neufitM'Jîdtx inag ^& îeM c h a n t• qflp qm ^ aiiilqment j jflus- "îong-
temps foutenu, mais encore plus parfajtg-& mieux toune),r.dte-
là M. Barrington tijEft_c.ette_e®nféquence que, dans cette efpèce
ainfi que dans bien d’autres, fe.mâfaiUecharttppaS’pouiMajnn.fpr
"^ i S ç M ' j n i^pour ciuimuksacnn.ms durant 1 jneubafign.^con-
féquence julte & d è ^ â g véntéÆn o fllt,Ja /om jJe qjacdqTe,
remplit cette fonâion par un inlHnû, ouj3|utêt?p|î£uîg^affi.pn
plnvtocKi.endie nue.Lt-paflion mêtnc d< j^mw i î c
des jouiflances intérieures dont nous ne pouvons bien juger,
mais qu’eïïe paraît fentir vivement, & qui ne permettent pas
de fuppofer que, dans ces momens, elle ait befoin de confolation. ’A
O r, puifque ce n’efl: ni par devoir ni pat vertu que là femelle e
couve, ce n’eft point non plus par procédé que le mâle chante;
il ne chante pas en effet durant la féconde incubation : c’eft
l’amour, 8c fur-tout le premier période de l’amour qui infpirc
aux oifeaux leur ramage : c’efl: au printemps qu’ils éprouvent.
& le befoin d’aimer & celui de chanter ; ce font les mâles qui
■ont le plus de defirs, & ce font eux qui chantent le plus : ils i
chantent (a plus grande partie de l’année lorfqu’on fait faire
; régner autour d’eux un printemps perpétuel , qui renouvelle ’
«PPSSfeaÉHÉy
l’éteindre; c’eft on tient en
P'&agéf, 8i tnsiîje ? àspnjljjit feusf!t.,itou^Ad.'t/.fg d te, t.le d aHuù ;
i™feîo Ta a u .Jfëji fAljin't r ; > f a t
». ' b ’& t y j d .lu f t.tt '» cj jg i f n u
q u ] i i f i l î yB i^ ir? id c feT a S ^ ^ g ^
,'^5#îSU^ïdL^>J>S'^wra^k,i.ijKi_r>, ils’i» UsMc^ip' li/moyi t-lde’
’^îfiSuiSâÈsSFJî'i Vgjr n'.v'. fi
cage , fi on ne leur attaeboit lés ailes ; mais à la longue la
pnf|tade. L t,, di,uijttd ^ 2 E ^ » 5 5 4 ^ H j j
t » des inilrumens, jH W ^ w b f u 'K û )a
fe -'ê fs sjp ih f , 1 fsy S f c j n j u f o i , i r T - p ' l’’'fj-,
attirés;par les beaux fons, mais les duos femblent les attirer
encore plus puiflamment, ce qui proùveroit qu'ils nc-fonr pas
mfenfihles, aux effets de l’harmonie ; ce ne font point des audi- -
PuniffoB. &■ ijn a ff A l l âM^qÆ'.i.,ss
pour éclipfei leurs rivaux, pour couvrir toutes les autres \ jiC
j n ê r ^ . e ^ t \ i yu
& mVi jjj Mts UKymcds.de
» t r uKlSn^Ptqu^^^rOTSWgoîmOT®K^p^P%^®f©r^iî^^Wr
un gazouillement de colère, toutes les fois qu’un ferin qui étoit ,
près dè; iùi, fe difpofoit à chanter, & il étoit venu il bout, par j
fes. menaces, dè lui impofer lileuce f e j , tant il eft vrai que la
fn s & 'W M* Moine §3iéfotier.ddex^aqce,
‘ g; .pdT^Æÿéjcnt »ay
cÔlî % e ^ ^ ' y e ^ X ' P f ; d a t j s ia même^ <^gj
Isup cage -, #ofeioj^
qui 'énatftgient mieux üMquementKra^^^uïï^'- avoient’ ^tendrf{^eS oifeâûx -