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^tJiibiïitt j murmure i ritçrieur &fourd qui n’eft point appréciable
à ï’o ië fe ^m a is très - propre à augmenter l'éclat des tons
appréciables; roulades précipitées, Brillantes & rapides, articulées
avec forcé même avec une dureté de bon gout; accens
plaintifs cadencés avec moHeffè fons files fans irt, mais enflés
avec • ame ; fons enchanteurs & pénétrans ; vrais foupirs d amour
& de volupté qui femblent lortn du coeur, & font palpiter-
tous les coeurs, qui caufent à tout ce qui eft fenfibïe une emotion
JÎ dôjlc Æ .une langueur fi touchante : c eft dans ces tons
paffionnis que l’on réconnofc le /iä rip g l du fentiment quVm
époux, heureux adrefle à unejçompagi^-rel érie, & qu
peut lui ir# tre r7 «KâîTque dans d’autres pîkafês plus éton-
i mtotê^peut-être, mais moins expteflives, on reconnaît fe fim-
pïe projet de l’amufei .& de lui plaire, ou bien de difputer
devant elle le prix du! chant à des rivaux jaloux' de fa gloire
& de ion bonheur. - '
Ces différe rités phrafes font entre-mêlée s de filences ( d ) , de
ces frlcnces q-ui, dans to u t genre de melodies, concoment fi puif-
famnient aux grands effets ; on jouit des beaux fons que Ion
• vient d'entendre, & qui retentilTent encore dans l’ot^llé 3 on
en jouit mieux piree que la jouiffance èfl; plus infime, plus
recueillie, & n’eft point troublée par des fenfations,nouvelles;
bientôt ori attend, on déliré une autre reprife : on efpère que
M Barri gton-i is apprend pie fa . Oifdlmis. Anglais & les gens de la can f pie
- qîii ont de .fréquentes 'ïefitendr t< offignol, _ j [ J
p iia fa p a r- je tm*is particuliers, filmt jug f i t * * ; tg ; pipe rattle ; W f f r i jm * .
ru at, jwaty ; 'water-bubble i flroty ; sieg , stegJ * teg; et hiclow „whitlow , whitlon. Ata
il faut ’ remarquer >t[ùe, dans Tapplrcatiön qufe l'on a faitç de ces tioins differens aux d crentes
phrafa du on a fiit plus dÿtfefitbn. au Ton de chaque mot q u i la
tfàâ fîca tip jç»;|
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ceau que l’on entend ne pe rmet pas de regretter celui q li a eft j
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du roffignol eft plus remarqué & produit plus d'effet, c’e ft,
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qui eft le tempsJple.plus favorable,.& chantant feul, J oix
a tout fon éclat, & n’eft offufquée par aucune autre \ oix :
il efface tous les autres oifeaux-, fuivant le même M. Barrington,
par fes Ions moelleux & flûtes, & par la duree-irion interrompue
de fou-ramage, qu’il quelquefois pendant vingt fécondés;
âç.' même Obfervateur a compté dans ^ feize reprifes
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b / l r ô i lq ^ l jA M ^ \ J m c 7- c ^ q ^ * .c ;j i l u / u
voix humaine.
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