LE FIGUIER N O I R i
Vingt- feptième efpèce.
U n e autre e^SÈce qui, fe trouve égglement à^Cayçnngi
mais „qui y efl: plus rare, efl; le iigùïer j | | i J amn d a ||n e , p&rcÜb
q u e u tête & lagoige font enyjjoppvçs d’un .no r quflJç p r £ *
longe fur ‘le :Mùt & les cotes du-ccpg§&' irafles^üi^s '&Je^
dos jufqu’à Foriginç de- la. queuer ; .ce même noir ;r,ep^roj,t}e|' *
large bande à la pointe des -pennes qui fonj: d’urf î f e , ^ u din|
leur première moitié.; un trait allez court de cote m^mj.ccâÆuglj
efl: tracé fur les fiat ou fcpt pr&nicris pconcs de I aile vus. leur J
origine, & les cotes du cou & de Ia: poitrine,r Te .devant dq
corps ^*CTS-btoqbâtetraft-be^ ^ ^ s p l e d s lont dfun bnm|
jaunâtre. Au relte/çe feguier efl un des.plus^anêfe, capfl a
près de cinq pouces de longueur. a
LE FIGUIER OLIVE.**
Vingt-huitième efpèce.
E ncore un autre figuier qui fettrouve à Cayenne aïTez^edrip
munement, ,& qui y efl fedv nmre : nous l’avons nomme 'Jîguu.r
o/zVe,'parce que tout le deffiis du corps & de la tête font dé
vert-d’olive, fur un fond brun j. cette même couleur olive peit£
|t *• F p y e f lëi': planches enlumini
jaune de Cayenne.
. * * Voyez les planches ènlümûiéès, ré