feur bec, comme font les-linottes & îes^eÈafo,onneret$prefque
toutes Itef mefangesIfes^tTennent allujetties fous leurs petites; ferres,
&ià'pfcîceht à'Gdüps"3 'e Bec-, eHé$.ptefçent de même les npifettes, '
feS aniandes, &c. n p . ‘Si ôn feur fufpend une noix au hout d’un
fil ^efiès'^’accfocfieront’ â cette noix & en fuivronties ofciSâ&ns
ou balânceméris, fans' fâcher prife^ns^eeffér de la béqueter.
On a remarqué'qu’elles ont les mufcfes ‘du cou trè&robufles, &
fe cranè1 très'-ep& , - ce ,<t a explique _ une partie de leurs
- manoeuvres ) mais, pour fes expliquer '‘toutes’ ÿ faut,jup,pofer
qu eHes ont auifi beaucoup de force dans les mufcfes des pieds
& des, doigts.
La plupart des mêfâhges d’Europe fe trouvent,. dans nas’efi-i
mats, en toute faifon, 'mais jamais en auffi. gtand nombre, que
fur la fin de Fautomne, temps o fi celles qui feJiennent Fété dans
ïes ï>®is ou für les montagnes ÎSmchalTées .par fe ftpjd-,
de venir chercher feur fubfiftance dans
les plaines cultivées & à portée des! fieux, habités (* .): durant la
mauvaife faifon, & même au commencement, du mrmîempsj,
efies vivait de ‘q ^ ^ fes ^grames s e ^ ^ ^ e ^quelqu^mépOToHes
cfinfeâes qu’elles trouvent en furetant fur Ê^arbfï^eHes
pincent auffi les boutons; nafflansf & s’acconunddektàdes 'dbuts
de chenilles, notamment de ceux que F|Ç>n voit autour des^entà
■ Comme cet exercice effc un peu rude, ^kqu’à k longue il les rend aveugles, félon
M. Frifch , on recommande cfécrafer | les noifettes , le chenevis, en un mot toiit ce qui
èft dur,' avant' dé le leur donner, f ' ' ~ ~ ■ r '
m m m m ^ aoàc vas.
0 ( p ' J * ï longue queue, félon Ariftote,,k charbonnière, k-petite bleue, k noire-
& k huppée, félon les Modernes. ' - . " • - " t igg r -y ? m im lsm
— (M J * * prétendent qu'elles fe retirent alors dans les (ipinicres, d'autres affurent qu’elles
ne fent que palïêr dans les pays où elles trouvent de la neige, & c
'le Midi : ce dernier avis m e paraît le plits proiablé. § - ’ i ■ U f i n M C j
! n n c h ^ f ï a V s & m c une fi n y d innciux
Ipmife; enfin "tilt s' chut-nenu) ms Lu tmp uf de, pet rs o;lS
HHH élksî<-M,tr()l^üt wWlâükbl sqnuh nul tdie J
e&l&riaffes ’dans fes P u n in%fui liLiifeHê-ate.i^nf.de
Wahfagë ,< ftf&ni-ils 'de leur ^^^.elfe^TTur-perJe n ^ f tw i r
&. fe fi° ^ ^ entde & ^ ^ t r p m t e i j p l t ^ ^ i
g ÿ - ju fo îS f e ’ parafe ÿ fo tn , h.il
m tm d î q u iH t H R f e / ^ p j i ^ x ^ ù n l e . d ^ S Li
^IdsMVit1 e^ ljon tW e.la
toi^lft'm'..-J|ys!j o w ^ ! deSîèh,iL‘iWies, ^ .l^ u ^ d S ïiÆ L e s ,
tiû* I ^ n ^ H H H H j 1JL,
luintlU. q e tll^ e rh ta t^P P ^ d t ^ c L rrl y
td;Pi n e dans P-êfatedeadomeftfcité.
fes peu .aament
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