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tjjSi^^m^ripMM^**1 .*d a* »cntirnent ajKu\t>
leurs- jeux, l’intérêt de
, I amour. Ces jolis oifeaus arrivent au moment FaBn^ iT r a r l^
I. deÿ^li)ppe^BaiK^i^HTCs^^connnnÆncent i laiflegjP ^ il jM
lems fleurs ; ils fe difpe:rfent dans toute l'étendue été nos
campagnes ; les uns viennent habiter nos jardins, crautt^'nujK
fei entile s B a n u iS pIufieuisÂfne^esW^faf^^
^ a aEians les s/i .ind*ioJ^'&^quagucs^ïrm^m c a J îCn t g jBrmreujn
des rofeaux. Ainfl, les Fauvettes « m jdifiènt tous les
tendre gaieté.fbJ.
de îa beauté;'mais" en leur donnant tant de qualités aimables,
' îa Natui e fe mble av on oublié de parer leur plumage. E eft
oblcur & terne/exfcepté deux Oïl trois efpèces qui font légèrement
tachetées, toutes les.'autres n’ont que des teintes plus ou
m oins foin bres, de Hancbâtre,
la grandem du rolTignoî. Tout le manteau qui dans ïe roflignol
eft roux-bran, eft gris-brun dans cette fauvette; qui de plus
eft légèrement teinte de gris-roufsâtre à la frange des couvertures
des ailes, & le long de s barbes de leurs petites pc mies ;
les grandes, font d’un cendré-noirâtre, ainfi que'les pennes de
la qùeue, dont îes deux plus extérieures font, blanches du côté
b) « L'on mg^t^è)|i5Cé 'trönvër l’e^^^yróelqüe^ejï^iim^^^K^&ïpng dies eaux, qu’oft •.
jye les fauvettes chantant à g o r g e ^ T p S ^ ^ ^ T ^ u on les oit d'un grand demi-
t de-Ireue un oifeau jà cpgnen en toutes /contrées. » Belon, Nat.' des?.'
7; $XC/tfö.F.XL' bT^jL*
iïiêÈpft.m . iM 3 S 3 ^& ^V ..c iM .) * ! ris.4 lui
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l’on voit une tache noirâtre fous Fceil & un peu en arrière ; c ette
tache confine au blanc de îa gorge, qui fe teint de roufsâtre
Cette fauvette eft la plus grande de toutes, excepté celle des
e llx
de fix pouces ; fo â '^ f'ite 'lliâ t pouces dix ïigné
la pointe aux^aBgles^-aJbu it lignes & demie ; fa queue , dei p-
jKa&h'ïfifi.
Elle halite, avec d’autres efpèces de fauvettes plus petites,
dans Tes j a r d i n s , les bocages & les champs femes dé légumes,
comme fèves ou pois ; toutes fe pofent fur la ramée qui foutient
ces légumes; elles s’y jouent, y placent Ieui * i î f i t j ' &
■ 'M tic t H<-jijp ■< ? d e l i é ' t ^ s ,Æjr fin
] v d i'm c m.* Uc e I m
plutôt de ce domicile d’amour. î-
1 Sas
.' pourfùivre ; leurs attaques font k ge n ■>? j&’ÿ S ÿ om l'âtsfli111 tfSft
1 d ï & U u d ? l v f f l T i ' i *r.^îi\ i ttenuffS
' ï emblème des amoui s volages, comme la toui terelle de 1 amour
fidèle ; cependant la fauvette, vive & gaie, ri’en eft ni moins
lidèïemeAt att^oeST®^ itnjlf
'fk im*ftyqTlfc ^sl fî^ fc . tp <. fjjjj
Le m ile de la fauvette prodigue à fa femelle mïUe petits foins
pendant quelle couve , il pattage fa:. foïïicitude-pour les petits
qu viennent d clore, & ne la quitte pas même après l’éducation
jj * -(c) - ï
Tome VJ.