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iVlVn\j^^d^es^ u rp a ffe r^ i^ ap p rG ^ on1>- t
chanter des airs fi on a 1 ï"‘p tüencodßcilt -maus ar^&x^dçRtSj
fiffler avec la roflignolette, ils apprendront même à cl inter aïtër-
. nativveiiw U^xec^nfaoJi,o-Ui ,,&$a*repfct<.r* lear'c.wapk.t ^prMp®%^
enfin fli, appreldrôm à parler quelle langue on voudra. Les fils
de l’empereur Clau de en avoient qui parloient Grec Sc Latin ('o J ,
mais ce qu’ajoute Pline eft plus merveilleux, c’eft que tous les
jours ces oifeaui préparaient de nouvelles phrafes, & même des
phrafes affez longues , dont ils régaloient leurs m a î t r e s ^ :
l’adroité flatterie'à pu faire croire cela à de jeunes princes, mais
nn PMùfophe tel que Pline ne devoit fe pei mettre, ni dé le
croire, ni de chercher à -le faire croire,' parce que rien neft
* plus contagieux ' que- l’erreur appuyée d’un grand-nom : aulli
plufieurs I k rivains’fé prévalant de l’autorité de Pline, ont r en- -
chéri fiir le merveilleux de fori 1 tîi^C'rêtnt r nm^a'uti l-s ,
I ^ flGPitsJa
^ o n ^ ^ f l ’V '^ Ö g Ö ^ d ? ' d’eux' 'roiIrg nol s i f V p ^ lffl^ sp !ïïo 5
-~':(n) A-Vicular m nonnullce haud me m patimai cmiltunt, cùm educations paterna caruenni,
& cantibùs ( al i/umrint.Pline, lib. W-, ca, IX. Vifim J ^,uß a s tmmffc Ci ol
fymphonid alternaffi. Lib. X , cap. xsix.
(o) Philoftrate en-c te. un ÊÈempfc. Doantur fpcrçtb & ubi nulla aha vai". . . aß'dc ue ,
qui crebrb Heat........... ac cibis blamdiinte Plint , lib. X , cap. XLl - ^ ss,y
(p) Proeterea:médita tes in diem S ajfldui nova loqaaua bngiorc e i qi camcxlu. Pline,
1 Hiji. Nat. lib. X , cap.'Lu. Ges jeunes P r & ^ t “ |ni Drafui .A
b U R 0 S S I G N O L. H
maître d’hôtellerie de llatifbonnc, Icfqucls palToicnt les nuits à I
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. fui c r E f aMém^aû n Ujl rétityt, S. * « 1, I
arriva en effet la chofe plus croyable,
l’auteur, de. la lettre, avoue que ces roillgnols ne faifoient .qjiie
répé fft&aeîwids j a.\.i ■ I
ÿ i quelqires <ïépu tés de la ■ Diète |jâjpi fréquentoien t la mum#*!
I îcntuu° m v‘
une hiftoire abfurde, & qui ne mérite pas d’être réfutée ferieu-
fement.
J’a i. dit que les -vieux prifonniers avoient deux faifons pour
L c irAnttlT*
peut encor e f lire une fée onde violence à la Nature, & changer
à io n gré l’ordre de ces faifons, e n Jenant les oifeaux dans une
chambré rendue obfcure par degrés, tant que.l’on veut|||SiIs
gardent leJftei g ç e ,■ Scieur redonnant le jour, au! 11 ’ |
iupà^'0 Ï' tAaH^ o M ^ a iatt\. U J ^ v n u n d i c ^ / ^ ^ ^ ™
m ^ irolâifeonaitt lUU^leXjatttit^ilre^ u'îfc,n
tions indiquées ci-delTus, aura fur eux les effets du printemps.
Ainfî, Part eft parvenu à leur faire chanter & td i^ ,c e ^ f f î® î
K j^ jS v tR ^ u p n ^ o C " jmfiiTOi” l™pcfflWma®ftl'i^‘de {ëfarder &iT
■d’avancer le temps de la mue, on pourra, en les tirant fucceffi-
$ cment de la chambre obfcure, jouir de faute .chant toute l’année
■.î buis: aucune, interrupt on. Parmi les jeun :s qu’on él< u “ il s’en
trouve qui chantent la nuit, mais la plupart commencent à fe .
faire entendre le matin fur les huit à neuf heures dans 1e temps
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