H i s n ô i r ’M N A 'û m R m m ê
Dans notre climat, ^ n ^ irem e r^ : cinq’-
S'oetiîs $ c j:, d’un brfâ^vetdltre^urirfbrme., çxcgptt Aj.ç/tîjbjun1 •
domine, au gros bout, :& le verdâtre au petit bout : ta Jlmelle-,
p o fifi^u p o u i chercbei r mjiTigLi^
8c elle ne le quitte que fur -le foir, & lorfqu’eïïe eft preflee par
fa faim: pendant fon a.bfence,ïe mâle fërnble avoir 1 oeil fur le.
nid. Au bout de dix-huit ou vingt jours d’incubation, les peuts
commencent à éclore : le n antre des m lies efl: communément
plus que double .de celui : des, ff mille s ; aufli ïorfqu’au. mo s;
d^^,0B>prefldV(mïmâl6^ppanér*eft^'8ieffi;étt^ïeiÿFaâ^‘ aUptè?
d e là veuve p ar'u n autre, & celui-ci par un trpifième; en
fortequ’apvès.l’eiileverivcnf Tucceflif de trois ou quatre mâles,la
couvée n’en va pas moins bien. La mère dégorge la nourriture
à fes petits, comme font les femelles des .ferins ; elle efl aidée
par le père -.dans çetti intéreffantefonaion : c efl alors :que celui-
ci celle de chanter, pour s’occuper férieufement du foin de là
fÜmflc on dit même que, durant l’mcijbation, il chante rarement
près du nid', de piui de le faire découvrir, mais ,Iorfqu’on
approche de ce nid, la tendreffe paternelle fe traliit par des cris
qüe lui arrache le danger de la couvée & qui ne font que I aug-
• mentei En moins d e . quinze jours les petits fqfli-^Ouverts dé
plumes, & c’eft alors qu’il faut fevrer ceux qu’on veut élever :
lorfqu’ils volent fouis, les père & mère recommencent une autre
p0nt£ , & iprès cette fécondé, une troifième , ma s pour que
• cette dernière réufTiffe, il faut que fctfroids ne furviennent.pâs
ilt bonne berne : dans les pays chauds ils font jufqu i quatre
.pontes, & par-tout les dernières font les moins n< )mbreufes.
D ‘ ù R / à H
L’homme, qui ne croit pofleder que lorfqu’il peut ufer &
abufer de ce qu I pofsède . a 'trouvé le moyen de faire nicher.
* f ^ - > p i f l w 1 ,'lt plûs'f.'tïnJ^'ihVLfia^ei',)|i 1‘ i jm t
!■ de la liberté qui efl .très-vif dans ccs oifeaux ; mais on a fu contrebalancer
ce fentiment naturel par des fentimens aufli naturels
& fpïfr «ni s*“k L i<ww‘ mi Ifrlf u hu J
H S g e É r t t ï K lu m de
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on aura fait; une volière , en l’environnant de filets- : c’eft la
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■dans une cage ■ féparée , .leur donnant tous le
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