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3 e plumes,n&c. f'-xJ.-Oi tcmfoçela peut jfe concdigr, car d eft
très-poffiMe que la huppe^ne gamiffe, jamais fon ni<J 'dç^nMuffe
ni cFàuUe chpfe, mgis quelle ^.ffe quelquefois fa ponte dans des
foûps qui auront été occupés i’annçe précédente par des pi^fef ;
des torchis, des mélanges & autres oifeau# qyi Jes auront mate-,
lafles, chacun foivapt fon ijifondt-
On a ditj S. y a long-temps, & l’on, a beaucoup répété, que |a
huppe enduifoitfop nid des matières les plus infeQes, deJa.hérité '
de loup, de renard,-de cheval, de v a c h e d e , toutes
d’animaux ;, fans Excepter Fhomme f a j , § t çda ,?ÿajpu|&-t-Qp;,
• dans Fintention de repquflèr, par la mauyaife odeur, les ennetnis
‘ de mais le fait n’eft pas plus vrai quetFmtgntign.,
( \ ) i l y -avoit au fond’ de l’un de ' ces nids plus de deuxv litrons, de moufle, des
; débris de hannetons, quelques vermifleaux récfiappés là n s d .d b ü te '" ^ d e ^m ^ m è r é ^ d i i^
de fes petits : les fis arbres <ou fe font trouvés cesi nids-, font trois griottiers, deux chênes "Ü
an poirier y les plus bas de ces aids étaient à trqis on quatre pieds, de terre , les plus. hauts
( i) Voje i Salerne, Hifl. Nat, des Oifcaux ; Ormtholo ^ t^ ia li^ r ke.3& e ^ ^ ,.e^‘^ ^ ^ fiugulier^
que les A n c ien sq u i regardoient la tutppe^qmgiÆwuner habitante- dêsmontagnes, des forêts,^
des déferts, lui aient imputé d’emplôyêr à io tr nra ies excrémens de ïïipmme ‘^ e fo ; encoie
foi un de ces feitsi ^artididiers mal-à-propos généralifés : il a p u .p riv e r qu’une - huppé: ^
; veufe sût ramafle for dès ûfimôiî(pEesL ifoéÏÊènquës -, les inieétes qu’elle defliiïoit'- à fes
petits ; quelle fe -foit làlie en les raniâflâjit , &' gu'gfle ait foli fon mief : il ri'en folloit pas
davantage à des Obforvateurs foperfîàiels, pofo'.cq^Æfo d ^ e_c!étort'1Tifl^BSmmdêr commupe^
à toute- l’e/pèce.
• f b ) Qn a . dit îrpfff^qtte c’étoït àiffo irpmpïè les. changes qui~pouvoiént être jetés iifo $
f e c b u v é ëT S rla huppe pafloit poür „être-fort lavante dans ce genre feHe^ttfonoifloit' toutes
les herbes qui détruifent- reflet des fafcinations , celles- qui 'rendentda\vue -jàpx-' aveugles,
celles qui ouvrent les portes les mieux fermées » & l'on a voulu donner crédit à cette
* dernière:fobie,- en y ajoutant une a i^ e '>feb^v|;pi^moins>::dbferc^ Élien raconte ■ férieufemetft • *
qu’un homme ayant bouché trois fois de flûte le nid d’une huppe, & ayant bien reeomâu ‘ .
l'herbe dont elle fe- fervit autant de fois pour l’ouvrir, il employa ayeejfoccès la meme
herbe pour-charmer les ferrures des cofires forts. I>a mort même ne " ^ t ^ ^ é c a î t ê r * ^
vertus & leur donéer une nouvelle énergie j-fon, cçetir ,-lq p foie û cervelle, &c. mangés
styec certaines fprnMes myfcérieufes, appliqués, fufpendus fur différentes partiesrd u ic ^p s.;
communiquent le don de prophétie, guériflent la migraine, rétahliffent la mémoire, .pre'ejK
rt le fommeil, donnent des fonges agréables ou 'terribles, &c. Autrefois elle - paflm|. efo ,
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fchÜ'ppe ri’a point ,1'F- Ä l c nid
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pe®ts viennent ! c c ^ d ^ o n L h c o r ÿ t ^ s , ,1s ne pt ns«r :Æ tcr
leux f i é n ^  f t o r , „ Æj xeftéËI1 ;
ordure A on nt pc ÛP^ro.k s m mi.r 1
venu JÄ uncrbci AJ,,c myut'uSi
Klippe ; mus ee pH.sube^hdlmo.t tn S i r ä
Cf dufe quela )
elfone s iperuiit point ll-tfa ■mauvnlc- ^oJ^ur
ÎF' 1 iné.-nj.ejfîuis, Jaf.^toî-iré-
^auhe. citeonllancv, » déni, nt laertfle^ Lm elb ô^ è^ ^ ji.d ô jt
-^del Fus ,ferc-/üiih?me n t neKfie j inuis-„i).'ordui|ç (ur/ia
for foVfiuiftuils, ni muh“ a v ^ n h î î f ù f ^
Æ; féfogt(fltnorfqÙ?dle,ét|ff4 îFayée « & |®ti^>eut.T,u’
que.Bendißh fout^k f l f e . ,
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me lemble, à croire que iorfqxi n lentendoit chanter avant le temps où Ion avoit cou
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jeun favoCTh! » f ’H Û H B ’ W a k
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f e a T Æ *H. moTO~ m