t i v f â ê i r t k&r | n
fur quoM attribue une intention à I’oifeau f r j , tandis que
n’étoit apparemment que p ir accident, que ce nid étoit percé :
une fembîabïe difpoiltion ne fe rencontrant dans aucun des nids i
t. u n t • meuk.t .t ^ a f t ^5TO.ati cm twin. y<tfu la
qui eft de recueillir & de c onc< ntrer la chaleur. j
-Le même Naturalifte rencontre mieux, lorfqu’iI dit que GC.tte»
.^ni&tpfcjrùktfôfe.
Lm paraifenitil^ fL &
de faire une. defeription plus longue du plumage de cet oifeau :
nous remarquerons feulement qu’il y a un peu de âo u& * a^y
'd^m.s^ie^aa^r.îmde^ae^uLJi.turt s ‘dp PSiTc t| .Ccl plU?tQ-lD|Smenfa-mffl
les pentes barbes de fes pennes, avec une teinte très-lavée &
uqSj-jSc deUa«dgt£, ÔcîSï^ib
blanchâtre. des il mes Ct. improprement
que cette fauvette a été nommée fauvette roujje, par
H c ^ t t c ^ <)ul(jtmldf.)nti le je ig iimt^afll-z. iLibK-
ment quelques parties de fon plumage.
Elle nJa que quatre pouces huit lignes de longueur totale, iîx
pouces dix lignes .'de vol ; c’eft une des plus petites, elle eft
encore înaindrtaau iwita gnfctti d nf i iv^Bcli tnÂfuùblhigcÿpi .^raî.,, ( i
’ petitelTci q u a r K i h efQpas,
(r) cc'Me-fendtût par le dedans de crin jje cheyal, fi induftaëufement q i ^ eft ^e^cé^?
>îà claa^poxe comme lin ïaeët, tellement que quand Tes petits fe nettoient, toutes les
râmonûi^jpaflênt au travers, & par ce .point foûLtoujours, nets. » Nat. des Ôif. p. 341., '
( j ) Nat. des Oifeaux., ibidem. .
a » M Â ü V y -sgf_r' b .
* LA iFAÙMÈ T TE cirnri
.. Neuvième mwmë:. •.
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auffi dans nos provinces méridionales, que dans les feptentrio-
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j l ’• 44- — So, F A i Willughby , Ornithol. \ ;. , — B ol ina. dor/o t cm
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pag-77»n* 7-—~J*'1 ^ > 1 * *3S|ç* ^ * ^4" ,1 11*?
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