* LE PE TI T S IM O N ^ ; ' ;
Troifième efpèce.
Q n ÂPirELiiEv à-ffle de Bourbon, cet oifeaupe^? 'fijm j uxais.
il n’eft pas- originaire d e cette île , & il faut q irify a it été transporté
d’ailîeuxs, car npus fommes informés par îesJdépioires de
gens très-dignês de foi, & particuEèremènfpIn ceux de M. Com- S
merfon , qu’il n’exiftoit aucune efpèce, dTanim aux, qiM[rupèd|ïs' *
ni d’ôifèaux dans fîie de Bourbon & dans .celle dçÿbÆçcvIprf-
que les Portugais en firent fa découverte. Cës deux îles'iparoif-
fent être les .pointes d ’un continent -englouti, & prefque toute^
- îeur furface ett couverte de- matières voîcaniÇ^e^^n-foi^e^gnleCes’
jrmrtfbui peryIét^*^ue*, 'S ^ animaux qu,on a
ttaHfpartés.ï'
Cet oifeau eft précifément de îa mêmeigrandeur q$ed&pfé-
ce'dettt^if a le deflus du éorps d’une couleur diardoife claire>; le
defîbus gns-bfanc ; ‘fa prgeT-jMrcbefies' grandes îa
"* qifèuè d’un brun-foncé,v‘bordées" d’unfoôté d?un peu dç^.ouleur
<fardcsfepie bec brun, pointa &• effiîé;îes-.pred&gns&; les -$eux
noçs; les femelles, & même ïes petits ont à-peu - près j e .même
plumée que ïes mâles : qn-îe-itreuve par - tout en .grand nombre
dans î’îîe de Bourbon, où M. ïe vicomte Je Çgnrhocnt l'a ‘
obfervé. Ges otfeaûx commèhcen&ficbeir; afï lap id e feptèrnbrê;
2 , fous la ' déripmxnatipn '* voye% les planches enluminées, n.° JO$ , ..de figuier de
■ Madagafcar. * • •. • ’
(c) m odula Jùperni grifio-fujca, infernè fordidi cinereo alto fiavicans; reclricibusfufcis
•riorilus grifio-fufiis.. . . . Ficedula Borbonica. Briffon, Ornilhol. tomfi.lll- pag. 510
. t i i L n i f a ï & M à