H i s tm ifR e N a R if r-js l l e
îUonflruit « jA autant ^cï^foin^qq’d'de^cachej iî emploiq de là;;;
Fimoufiè endehors, &;deI^^tae & du prin^ën dedans, lè^totit ;
f eftjbfen tifiii, .>ieÿjjjaS ^ ^8E.çe nid a. ia'.fo^é.<Ëoe^,bpùI&,
[•çonïàe'ceux ; du troglodyte, du roitelet '& de J.a petiië méfa'nge
à .longue queue,jjl femble que cette .ftruéjtûre du Jfid ‘ait teîé*.
1' fuggérée par %voix de îa Nature à ces quatreefp.èees degrés-fs,
P petits ^ oifeaux .wdont. Ja^chaleur ne fùffiroit pas fi eHe ,n’,étq_i-t^
’ retenue & concentrée''pour leduccès. de l'incubation ; & ceci
prouve encore,queUous les animaux ont^peut-être pîüs de génie
pour la propagation de leur vefpècè que d’inftinâ; pour- îgër"
propre confervahon—Là femelle dji^pâjfiqf pond ordinairement
• quatre ou cinq oeufs d’unblanc ternë,pïqùetéd.é rogge^re.j^
& quelquefois fix ou fept ; les petits relient dans le niç} udquu^
s cp qu’ils puifiènt voler aifément.
| En automne , le p pu ^ ^Ægaâte4 ti!. liÆs &
^ ps^ J a rS s ^ nos vdgers ; ùl voix dans Cette faifon''dexp.riifie
par o u i, tu it, & ce fon prefguç articulé eft le nom qu’on Itp
doppe dans quelques provinces ( f ) , comme enliprrainëV^^
nous ne retrouvons pas la trace du nopi c h ffl ( g^^qnlon y„djj|i-
" noit a cet oifeau, du temps de Beïon, & qui, filon lin .
( I ) ffUIugbj, Ray Ce petit oifeau eft très-attaché ï fon nid, & d ne l'abandonne que
difficilement. Un de mes amis m’a raconté qunn jour ayant trouvé le nid de cet oifeau. il
lui fit pondre jufqu’à trente cral& l’un après l’autre , en lui ôtant tous les jours fon oeuf à
mefure qu’il était pondu, après quoi il en eut pitié & lui en Iaiflà affez pour couver. Salerne,
Omïthol. pag. 242.
( f ) En Tofcane, lu i; 8c il prononce ce petit nom d’une voix plaintive ; (Et Olina, fans
avoir d’autre chant. Ceci fembleroit indiquer que le pouillot ne paffe point l'été en Italie,
d’autant plus qu’Olina dit enfuîte qu’on l’y voit en hiver.
( g ) On le nomme encore ainfi dans la forêt d’Orléans, fuivant M. Salerne , Ornithol.
W fm m
DU , P M ù ï ' l . L O T ;
E c^r ou c^^^(yÊ È Ê i lurtrcdSjûmiiiitiimü!R?TOfcia,
aliimrîirljml.vcrfitL &. ;i raScont|uïï. (W. 1.IpÆ
dùu^tÆîtipprinctmps d c l t o m - 1 \ d
variations, Bwfu part modulées ; c’cft d’abord un petit gloufiè-
ment
f 4 i-l 'ld i v . ^ ^ m B I fib f i s ' iW m m i y m ( f i f . i j _ * U T q u v v q n f i t u i r m t S f e -
• filentfli\cment lunjfur l'iiîtrc uuiiWiHj’ct^îon ^ 3 |?
KWflTjuiTlV &' -vlbin’côifiniqnt*
Eapus^ccs' dtux clEIr?Wui\'tïifeiaiftffinv Puîi^’lÇÿ
•jfëlk ui i 11hLhtu\dïc<turi^ a n f ÎR^i^é/È.llfGnj-i l?ntKlraS|p
, • fefu!iSlé,âjHe-& bg i ? f i ) u t u i t i f jR^SÜ u tdc^ninOips -Si
l’été ;ÿ^H^Hauro!9 0 fei^jdès lèl’imR^iîtM^jVfpaïc
* i i r' ’ " lucccîirfrifcl. 11nrraS, ë^jcc.ttcidafîici^^Jdt’ifiuiÇiîhl.i.v
i &' d^tis'
^Sro Jüi"nni^l*^!iifc
, JO.ins.fi^^mk®lc i i i f r u w m c ' n t . ' t f ^ c M o ) k | j ^ ’
fe rn ! 1 [ f vcrnéntlfc j^péat Vn, to t S
r 1 l îj4»ut dcffiSTSSiqi^ fi j è f t u 4Vufi dttidjh.1^ dnVS^^IJlSÈi
i^*iciiL, ’îcp u tkhcfL^m&fflns Ccdt-tlc. flus"dàdt*lPlus lï-kftwilTv
Pt7m cITcW^ iltslmY^fistiycJ^ui Iili i fi t dorfncq tfim qaeP
's guCjS - fcws S?r^>prè^ÉeesYs^^É^|i.
( h ) ci Après le roitelet ( trogl & le poul (ro ite le t), nous ne cognoiffons oifeau de
■ moindre corpulence que1 ceftuy que les Lorrains nomment chofty, qiri vaut autant dire en«
â-ançois’y comme chanteur. » S e lo n Nat. des O ifea u x page 342.
’ E Ë a a i wàitie infiniment fon cirant. . . . Celt un des premiers' oifeaux qur, àrinèa-’
cent le retour ^n^tmtèmps. Je Tai entendû^cMnter plus de trois femaines avant ïe roiïïgnol
~ faàn&i&àïeYne .j Ornùhôp.Jgag-.. 242.
(k) Voce. Jiridet, ut locufta 3 canorn tjl* WaitfgliLy-. — cc Leur ramage reffemMe au ton
|S,^uque dés , tome I I , pag; 3 1.- : É
(L) C’eft apparemment cet accent, que WiUugliLy appelle une voix plaintive. E t canit Vt
â. Ornithol. pag. 164.
TomX'VI. l u