>, cri d’appel, aioi s on leur ouvre J a. ëagê,. fans fe montrer;. îe
mouvement de la Nature les porte- .droit au jheu où iis ont
„ -ei itendü .crier leurs petits; ils ïeur donnent tout : de - ï i
| , -rl^iEOnfinae r< >nt de i es nourrir tant q u ’il fera néceffaii|,
& 1 on prétend que l’année fui vante ils reviendront au même
endroit ( [ J j iis ÿ'iëfen d ro n t, fans doute, s’i 1^ y. trou vent une
nourriture convenable & ïes commodités pour nicher,.car fans '
- cek tous les autres foins feraient à pure perte, & at ec ceia ils
: feront à-peu-près fuperflus (<ij.
Si l’on ve ut l \ l v ei foi -même de jeunes roilï gnols, il f:rut
préférer ceux de la première p o n t e , l e u r donner tei inflituteur
lu e l’on jugera à propos ; mais les meilleurs, à mon avis-,
ce font d’autres roilignols, fur-tout ceux qui chantent îe mieux
Au mois d’août les vieux & îes jeunes quittent les bois pour
fe rapprocher des huilions, des haies vives, des. terres nouvelle!; i
ment labourées, où ils trouvent plus de vers & d’iufeâeiT; peut-
, être attflî ce mouvement général a-t-il quelque rapport à leur
prochain départ; iï n’en relie point en France pendant l’hiver,
non plus qu’en Angleterre, en Allemagne,un Italie;.., en Grèce.,
‘ &c.(G>y; &c omme on aflùre qu’il n’y en a point en Afrique (f c) ,
on peut juger qû’iîs fe retirent en Afie ( i ) . Cela eft d’autant
pi as vraifemblabie que Ton en.trouve en Perfe, à la Chine & «
' C j l d c m , p.ige 105.
- - abondante &. c d n m f o à i t ê s | ÿ | ) f >
a beau prendre ou détruire il en revient toujours d’autres, dit M. Frifch.
O3) Le l. roilîgnol en automne, &-dne repàioî^^^âu printemps , dit Aiiflote, '
| Hijl. Animal, lib. V
C'y Voyei le Traité du rofljgnoiypage- 2 1 . A .îa.vérité-îe voyageur ^ ^ ^ îrèlpàrfe.vd'un îÿ
roflïgnol du Sénégal, ƒ Voyage aux Canaries . &c. tpage IÔ4 V, mais aux 'ne'-cbanLC ^ p a ^ g
?JT* Wcçejleriaj'page I- J3s ûuflaies &
J de J u d é e . ^ ^ ^ p ^ p ÿ ^ , ^
même au J ipoB%,!.où'iïs font fort recherchés purfque ceux qui
ont la voix befle s’y vendent, dit- on vingt cobangs ( t ) . Ils font
généralement répandu s dans toute l’Europe, jufe pr’en S rede &
en Sibérie ( f ) , où ils. ùhantént .très - agréablement ; mais en'
Europe comme en Afie, il y a des c o n t i l e n j ^ d o i f -
viennent point, & où iis ne s’arrêtent jamais ; par exemple, ie
11 dr &
1> inJi X j ï *-p.iiidi.r n'nd l|f p^ys de Galles & :
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4'Cg'iJ'auni? de*"'
Siàm, &c. f h j . P ar-tout ils font côïMus pâtir, des-oifeaux .
s tft. '1 * ibjta jI G ïî 11 ’,ed{ S
que k « t <u p & en
aiitomire , fur-tout la n u it, aux -uu SA(îraffrra^^mf£T^^’'x
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^ r n îw u ! îtlljë « .'|'i, J vie v-i ulfi ’jc 'itfit^ '. J , , i a r ié ^
w A t n ’iLufVt v j i j *H , e u d m ÿ l t ^ i u Cnûîi/ÏUîu'tj
eV|wntH^pjB8«.ÏUÉ',i >’
Cet oifeau appartient à -f tncien continent, & quoique- iès
K |^ ^ )V'Xîprnpfer, ■ Bifi. du. 'Japon
-J^pt^fous ;dftf^rant.eV;6q les<
bien jflus .eh’ers à Ramé',- r e : f M a
' ( f ) M.|©ta€ilinrparle avec appelé,’-
tàherejfouià j*3& HjMi^oage^H)o|ftaxix <- . t c. ‘ %û '>i
^^p g ^m ier ‘ rang^igoy^ a,
(g) Voye$ Aldrovande , tome I I , page 784. Je (âis qu’on a douté de ce qui regarde
l’Irlande, l’Écofle & la Hdpande, mais ces afiêrtions ne doivent pas être prifes à la rigueur,
elles ^ni^^^!^^ëinint>,duèiJes ,!roffignols font fort rares dans ces pays -, ils doivent létre
I- •'Par^reuti-'dil
de belle: &c.