naître ; ils ne s’em occupent pas même .après qu’ils, .font pés : .tant
ü eft vrai c^ue la tendreffe mutuelle desi,pçre & mèrg.eft le foui
dçment d&Ieur affeûion commune pour leur génitiire, &.par
eonféqûent le principe du bon ordre, puifque. fang J ’affeétioâ
des père & mère, les petit? & même les efpèces courent jifque
de périr, qu’iftsft du bon ordre que les efpèçes fç confervgpti
Les petits nouvellement édos ont;suffi leur çri d’appel , . &
cfeÆû n!eft pas moins ajgu que celui des, fauvettes & des rouge-
gorgés leurs nourrices ,'dômt%Hs prennent le ton, par fadorce^de
rinftind imitateur ('pJ',Sc cpmme s’Hs fentoient la néceflité de
folliciter, d’importuner.qne mère adoptive, qui ne épeut àvoit
ïes entrailles d’une véritable mère, ils répètent,àrçhaique'inftanf
çe^cri d’appel, o u , C f on veut, c.ette prière, %ns cqftç excitée
par des befoins lans ceflè renaiffikns, & dontfelfens eft tresrclaû»
- déterrainé^paTun Iaig<rbee-qu2Hstiennent continueüement
ouvert de toute fa largeur ; 3s en augmenKatrepeore^expreffiou
par le mouvement de leurs a3es qui^c.ôpnipsgPÇ.;c^qp/^®-v
Dès que leurs ailf«= font allez fortes , ds^slen fervent pour. poura
fuiyre leur ntrurrice ftu ïes‘branches voiCnes ïorfqu’dle Jes quitte,,.
ou pour aller au-devant (feSe IqrfquWe leur apporte la becquée*
Ce font des nourriffons*infadables f æL . & qui ,1e';par.qjffint
( p ) a La ftrufture fingulicre de leurs narines, contribue peut - ê t r e , dit M. Frifeh,
à produire ce cri aigu. ,, Il eft vrai que les surine du coucou font, quant à 1 xté lïr ,
d'une ftruaure affez fingulicre, comme nous le verrons plus bas ; mais je me fuis affuré
quelles ne contribuent nullement à modifier fon cri, lequel eflr- relié le même, quoique
j’euite fiit boucher fies narines avec de la cire : j'ai reconnu, en répétant cette expérience
fur d'autres oifeaux, & notamment fur le troglodyte, que leur cri relie aufli le meme, foit
■ qu'on bouche leurs narines, foit qu'on les laide ouvertes : on fait d'ailleurs qioe le fiége des
principaux organes de la voix des oifeaux eft, non pas dans les narines, ni même dans h
glotte,-mais au bas de la trachée-artère, un peu au-dellüsr de là bifurcation. ....
Ci) C’eft de-Ià que l’on dit proverbialement, avaler comme un coucou.
d’^ n t p û s 'q ü e de petits o if e a j jx ,; t e ls 'r o u g e -g o r g& i
la 'faùyétfè.'/ Fé & fo^ÿqdytè,,.
ftpc Ia"lfblffiWe4 .uqr‘hô f j |e û <.„a u r f S tW l ‘!
q^ffs'ont^Ü même temps ‘ une fjjxùlMt, nrmfrir. ^ r»mmp .çJa*
.queîé'op^ove ,■
c^Vn 'd^pprt éfeîon M. j j f l H H
& en ia^jiellerit peux quiflÊjirapo|téqt àlnanger : mafs>-^fots^S|
devenir plus»J&vejpàr1Seg^es, &'ïhipgtU L i , ;
d? le 'perdent 'tout^a-fait
1 1 H H H H é f e ’^n]g|les,
F * Ê'nq||r)îlûiè du |qqéou, &
i l l n i î^rouve. des{ ctcntlks dins "JÎMijiA 'nîi içj9 mî trô^èfi^
’'^é|féÉ3es"y,!
,-de petits« •coIéppjpi:|s I^g't^s), 'jpit^àré^, .%■.„«‘à .’ 1
| P ^ , r a e i M- FnS'prétend qù’pn tptitc fa. C}ij
| à to anger aux feimès.POuceps §^Jtrnjra$n ,&
F 1 1 9 § â r a g l^ ^ |j| id[a$s,jpi grands,. jours
a oBfgrvef^ymMière dont jdsi mangent lesJfâ^È^sj4 oumtôvans:i
ESprepnent^s^^§Eêÿ par la,t^g.,jiUis Uanc
^ ea exPnment •& ft^tJforBï pà'rÿf!mtis‘|tpiît
aptt^jüpi jls ^ AdiUnt rncnn &. lqsf^.cr ffilM .pfulic
i dan» ïjijjübec, d, J es ' ’
& 'les aient ra1r^ciabur§ ailes f Mffiafegeritr’fqffidS^ers VJ
ï ds préfèrent ceux qui font vivant ffiSfeue
| quoient,^ffi(3 f donnort à unneune qu’d élevoit, dmfoi^&dùx^ü
‘l'1 rog^m^Wmoùtorifi cou pefcnmcfitèé ti S ul rTT^^uc’xlvtej
LcS^ferme des inféSrefqmH V^trqndièa,'eS§À'î,-1