Aïbîei Pfeip?^H|Lnt<.ndiL unvpètit
f'g^^ü.'üiniy^j^c'u l|^ër j J lez/ ^nbîkbiE axëlyï (m'HiptCevix.
Les bec-figues arrivent en Lorraine en avril, & en partent au
mois d’août, même quelquefois plus tôt f i ) On leur donne dans
cette province îes noms de nuîriers & de petits pinçons des bois,
ce qui n’a pas peu contribué à les faire méconnoitre; en meme-
temps on a appliqué le nom de bec-figue i la petite alouette
des prés, dont ï’efpèce eft très -différente de celle du bec-figue ;
& ce ne font pas-là les feules méprifes qu’on ait faites fur ce
nom. De çê qiie le bouvreuil paraît friand des figues en Italie,
Belon dit qu’il eft appelé par les Italiens beccajigi ( ^ ^ ’Jfiïtnÿi'nîé
le prend pour le vrai bec-figue dont parle J^aifialjjnaisjÆ^
*IJbbûilé1 iTiFëff'aûlii'dïfl cVcnf du IxL-bgùé par lc™mt lïle la “ " "
qui n’a rien que d’amer, que par le bec, les couleurs &
tfe^jffiuKV-Dans-nos «pipv-mtes myridjofwks &. en lidu , «ô
appelle confufément bec-figuè, toutes les différentes efpèces de
& "pfëfque taû s 'ïe s^ ^ fe ^ ife au g ^ llggj^ eg-p./*&
vrai ^ëçifigueYHl lîémçonnù, & en
le d illingue par - tout à la délicateffe de fon gpût
M^rtial^qitt demandé?poûfqÛoî;'cë p‘e ^ T<3^ffl^pi-<bequete
'PpmmçnlWË raiiîn'g &. les figues , a jV « dt U ejefî jet fiÿ t
pfon qpnii plutQ|,que;jdu piemitr adopte celui qu’or^;
jjjJy revins à plufieurs fois fans pouvoir, trouver ce nid, quoique toujours je retronvalTe
«roifeau*, il avoit un petit gazouillis à-peu-près comme le motteux & g o ^ 'p e u agréable|
il le perchoit extrêmement haut & napprochoit guère de tgrre. m Note communiquée par
l r Mi’m cnïindèpï.
Mou communiquée par M. Lotiinger.
r*. ( k ) Nature des Qifeaux , .pag. 36,1.
( l) Ô'gîiïhbl. de Salerne, pag. 237: ’ \
(m) Cùm me ficus alat ; càm pafedr- dulçibus avis;
Car poliàs, nomen non dédie uya fiiïhj. ? . Maniai.
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1 CtUtd' is- ne »„'for m u i e sfein iuj.1 on -, p. > ” tf^aiec,qu il
fréquente les vignes & fe nourrit de raifins.; cependant avec les
figues & les raifins on lui voit encore mai 1 ger. des infeâes jfflSe
la gnitio ek ^n^rtqiLbe'^()n ^.LÛ^.yfpnuiUi fell |[utit(ti{ J
h7p , bp; il vole par élans, marche & ne 1 mte point, court par
terre dans les vigne ;, fe relève fur les ceps & fui les baies d,.«^
' jM - VP ‘it W ratifié» que
nJois,ditiu t, &. 115. jv11*11)],.qr ci^iWLCpçs qyijliu v j/ins’yqf p]u |»apt
, deq^w pra\ iilc,ep^îRs*nda^ti MÎiijiM»ifi|Mâi u & W l^ e a i
| g § | M j n | élquvÆ vins'ÿiafis.qfjffl !,emij]ëÙD' S K 11 j nrôj.-
al sont iI!aa& lî^ ?aÆ fis dc-uuçfinu»
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frfoC "e ft Lti-dfi-fÿitinceieru lj S jM S m a illIL*. .ç iu u L jipri) dc-tbet,^
pfl'SfV'jliéijî $ é sffôl t i£ffis'ÿktff1 itir lis iiquitj', bcqi^^jnbl^p'Jlffi,
r L-^pkij 'L hiiubj^és,
*ûdj|jcjLJ^ n u fin q ''*Â de 1 u .n ijjfito 'u liL u fi/ m A s p u i J T n ^
ûyjni'ÿîomjiiiLidiuu lem0Scdg;i|ptSSn^e-te^®^\çeqcp
plufieurs îles de la Méditerranée, fur-tout à Malte, où ils font
alors en prodigieufe quantité , & où l’on a rem irque qu’ils font
t eu ijl'i 1 1 iyfijua.. d\n totiiM e- qij à 5
Ü*RuV u ^ l
MÈi c rtft'Lilo î ‘!n IclPiw
L e ' ék. d biçi^b'oS odiinui intsi
’ icommuhiduie ivàr M. Hébert*
l^ ^ ^ y ^ ^ ^ ^ c ^ y.alier des^'Mazy.
.eùdroits3 commèlà^^gza nappa, e^^^pieimangent des hec-figues
incommoelés, â eaufe de la feamonée qmils vhéque‘tent dans les environs 5 ils mangent auffi dans
■ ces îles de T Archipel-îes fruits du lentifque.