H i s r o i r e N a t u r e l l e
» font ëcîos J lor/que les mères ont couvé enièmble, eïles donnent
» fiiècèffîvèment à manger à toute ta petits famifldSpt, . . les
» mâles aident à fournit les aJifftens, mais lorlqueîes fëmeles
n ont'cëuvé fépaïément, elles élèvent leurs petits à part , eepeiî“,
» dant'fans jâoulie & fans colère ; elles leur portent la becquée1]
^w'à.tôur de rôle, & les petits fa prennent de toutes les mères :
^ la nourriture qu’elles leur donnent-dépend de la fàifon, tantôt
“> ce (ont des chenilles, des* vers, des mfeâres, tantôt des fûuts‘;~
» tantôt-des grains, comme'le’hS ’;'lé maïs, le riz, Fàv,qj^ê
» fkuvage, &c. ■ ■ * ,. Au Bout dé' quelques femaines,,les petits,
\ » ont acquis aflèz de force pour effayer ïeuïf- ailes*," mais‘ils ne •
» s’aventurent pas au loin; peu dê temps après ils vont fe per-
» èher auprès de leurs père & mère fur les" arbrillèaux, & c’eft-
- « là où les oifeaux de proie les faillirent pôûn'fes" emporter___
» L’ani n’eft point un oifeau nuilibïe, il n'e défofe pas le siplariT J
” tâtions de riz Comme le merle, 3 ne mange pas-lés «mandes
» du- cocotier comme ïe cHàrperitrer-f4e-pitrT^ if rie détruit pas
les pièees-de mil comme fés^fférroquets & 4 es perruches. »■