des étamines dans la partie évasée du tube. Ces deux
figures a et b sont d’un tiers plus grandes que nature.
Fig. 2. Bistella geminiflora. Une portion de rameau,
de grandeur naturelle. — a , un des petits bouquets de
deux fleurs, représentées trois fois plus grandes que nature.
— b, une fleur vue en dessus. — c, coupe verticale d’une
fleur et de l’ovaire qui, commençant à se changer en fruit
ou capsule, contient deux placentas ou trophospermes cpn-
nivens dont un est coupé transversalement par moitié pour
laisser voir le second. — d , les deux styles, le disque supérieur
de la capsule, et les deux placentas descendans
représentés séparément de la capsule : les placentas ou
trophospermes sont tellement disposés, que leur largeur
s’étend dans le sens suivant lequel les styles sont diver-
gens, comme on le voit dans la figure c. II en resuite que
chacun des styles devient commun aux deux masses de
placentas ou trophospermes, ce qui est représenté par la
figure d. — e, une graine douze fois plus grande que
nature.
Fig. 3. R ogeria adenophylla. Un rameau de la plante,
de grandeur naturelle, où l’on distingue les feuilles, les
fleurs, les fruits et les glandes latérales des pédicelles
floraux et fructifères. — a, le calice et le pistil tires dune
fleur qui était près de s’épanouir. — b , les mêmes parties
que celles de la figure a , avec cette différence qu’elles
sont tirées d’une fleur épanouie, et que le stigmate précédemment
trifide est flétri en massue obtuse.— c , la corolle
entière. — d, la corolle ouverte longitudinalement en
dessous et étalée de manière à faire voir les étamines. —
e , une capsule coupée obliquement du sommet vers sa
base pour faire voir ses divisions intérieures. f , coupe
transversale de la base de la capsule, qui est divisée dans
cette partie en quatre demi-loges, dont deux comprimées
monospermes regardent la tige, tandis que les deux autres
externes sont renflées et contiennent plusieurs semences
attachées à un placenta ou fausse cloison qui ne complète
entièrement deux loges qu’à la base meme du fruit.
g, une graine couverte de son enveloppe accessoire.
h, enveloppe accessoire de la graine s’ouvrant en deux
parties. — if une très-petite portion de la membrane qui
constitue l’enveloppe et dont les fossettes étant vues au
microscope présentent des ouvertures concentriques dans
un tissu en réseau. — k, la graine dépouillée. — l , coupe
transversale de la graine faisant voir ses deux cotylédons
àu-dedans de la tunique propre épaisse de cette graine.
Les figures g , h, k, l, sont environ trois fois plus grandes
que nature; la figure i est vingt fois plus grande que
nature; les autres détails sont de grandeur naturelle.
Fig. 4. C ynanchüm h e t erophyllum. Un rameau de la
plante de grandeur naturelle. — a, une fleur entiere vue
au microscope, huit fois plus grande que nature. b ,
fleur grossie dans la même proportion que ïa précédente,
mais vue en dessus. — c, ovaires. — d , fruit ouvert longitudinalement
par un de ses côtes pour faire voir 1 insertion
et là direction des graines. Ce fruit , représenté
séparément, est trois fois plus grand que celui qui tient
à la plante sur laquelle il n’a pu être observé qu’avant sa
maturité, en sorte que ïa véritable dimension qui! peut
acquérir étant mur, nous est inconnue.
P l a n c h e LXIV.
Fig. 1. I ndigofera parvula. Une portion de la plante
et de sa racine.—n, le calice, son pédicelle, et la bractéole