
É PO Q U E
k LAQUELLE LA MARCHE DES CHRONOMÈTRES A ÉTÉ RÉGLÉE,
1819.
mai. . . 4 , lors fies expériences du pendule à Guam..
2 7 , avant notre départ de cette ile................... .
A V A N C E D IU R N E
DE S M O N T R E S
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Nous voyons que des deux montres dont il s’agit, le n.° 0 4 ^
conservé le plus de régularité, puisque, après un intervalle de
vingt-trois jours, son mouvement diurne est encore presque identique
avec celui qui avoit été déterminé auparavant.
L e n .” 1 5 0 n’offre pas une marche aussi satisfaisante; c’est
pourquoi je l’ai rejeté des calculs, me croyant autorisé à conclure,
sans crainte de m’écarter beaucoup de ia v é rité , qü’à Guam, pendant
la courte durée de nos expériences du pendule, la marche du
chronomètre n.° 0 4 seul a été uniforme et son mouvement
diurne égal à -t- 4 "> 2 8 , quantité qui est exactement la marche
moyenne - moyenne portée plus haut dans notre tableau de comparaison
[page ijy ).
Si la supposition que je viens de faire n’est pas rigoureuse, j’avoue
n’avoir pas trouvé un moyen plus satisfaisant de faire usage des expériences
de Guam. J ’ai envisagé ia question sous toutes les fa ce s,
et je me suis livré pour cela à des calculs aussi longs que fastidieux
dont il seroit superflu de parler ici davantage.
Après m’être décidé, par les raisons que je viens de dire, à n’admettre
dans mes calculs du pendule que les résultats conclus avec
le chronomètre n.° 0 4 , j’ai voulu connoître cependant ceux que
j ’eusse obtenus en employant en même temps le n.° 1 3 0 ; c’est ce
qui m’a conduit à calculer aussi par cette montre ( voyez chapitre
X I I I ) , les nombres d’oscillations infiniment petites des pendules
en 2 4 heures moyennes. J ’ai parié ailleurs de ces résultats,
quand j’ai comparé ( chapitre V ) les quantités données par l’observation
avec celles que la théorie indique.
C H A P I T R E X I I .
C A L C U L S D E L A C O R R E C T IO N D A M P L IT U D E .
J ’ai réuni dans ce chapitre les élémens de mes calculs d’amplitude,
ainsi que les résultats partiels et le résultat final convenables à chaque
combinaison de nos expériences du pendule. C omme je l’ai déjà
dit ailleurs ( chapitre II ) , ces expériences ont toutes donné lieu
à plusieurs calculs : j’ai désigné par (a) ceux où l’on a employé ia
première et la dernière comparaison du compteur avec les chronomètres;
indique ceux où l’on s’est servi de la première et de
i’avant-dernière ; [c) ceux où sont entrées la deuxième et la dernière;
enfin (d) les calculs où l’on a fait usage de la troisième et de la
dernière comparaison. i
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