
T a b l e a u du nombre d'oscillations infiniment petites des Pendules en
2 4 heures, pour le cas où chacun d'eux eut battu la seconde sexagésimale
à Paris, <ï -t- 20“* de température et dans le vide.
S T A T IO N S OSCILLATIONS DES PENDULES N O M B R E
MOYEN
o ù L E S E X P É R I E N C E S d’oscillations
ont été faites. N.® 1. N.® 1. N ® 5 .
pour
chaque station.
864 00 ,000 .
863 06,900.
863 0 8 , 7 58 .
1 8 6 3 0 9 , 19 8 .
l 8 6 3 0 5 , 7 7 8 .
1
864 00,0 00 .
863 06 ,400 .
863 06,058.
8 63 0 4 , 54 0 .
8 6 3 05 ,4 9 8.
86400,000. 864 00 ,000 .
i 1 . " r el â che............
Rio de Jan ei ro . . 1
[ a . ' r el â che..............■
86 5 0 5 , 5 4 0 .
863 06,040.
8 6 3 0 6 , 4 7 1 .
1
l i c-de-F ran ce .......................................... ..
1 8 8 3 . 0 , 5 5 8 .
86 5 10 ,9 4 0 .
8 6 3 1 0 , ( 2 0 .
1 862 96,840.
1 8 6 2 9 9 , yao .
8 6 5 1 0 , 2 5 8 .
8 6 3 09, 5 00.
8 6 3 1 2 ,0 5 8 .
8U6U?j 11 C0i , 5tn/-2i,
Iles Mariannes \ Guam ).. .................|
8 6 29 4 , 5 78 . 86295 ,0 00.
86296,484.
!1
86 308,640.
ReMowi................................................■ Q^, , , , J.0 8 6 3 1 0 , 3 9 9 .
C a p de Bonne -E sp ér an c e........................
063 1 2 , 1 5 0 .
8 6 3 4 4 ' . 2 0 . 8 6 3 4 6 , 1 7 8 .
863 43 ,8 00.
863 4 3 , 7 2 0
863 4 4 .4 58 .
8 6 3 44 , 2 89.
8 0 3 4 3 ,4 5 8.
Port-JacksoD . . > . ............................
8 6 3 46, 7 78. 86 3 45 , 50 0 . 8 6 3 4 3 ,6 3 8 .
8 6 3 ^ 6 , 5 1 9 .
8 6 3 46,958. 86 3 47 , 7 0 0 .
11 1
Ile R a w a k .........................................................
^ 88 2 7 4 , 3 5 8 .
8 6 2 7 5 , 2 0 0 .
8 6 2 7 5 , 5 2 0 . 8 6 2 7 4 ,4 7 8 .
f J* 8 6 2 7 3 , 9 2 7 .
86 2 7 0 ,0 7 8 . ................................
lies Malouines 864 09, 5 20. 864 09, 5 2 0.
S. VI.
Calcul de la longueur du Pendule a seconde p our chaejue station.
Mais ce qui tend plus directement au but que nous avons en
vue, c’est de déterminer aussi pour chaque station Ja longueur elle-
même du pendule qui bat la seconde sexagésimale. C ’est encore
par le principe du carré des oscillations réciproques aux longueurs
des pendules, que j’y suis parvenu (*)■ Voici les résultats de ces
calculs, dans lesquels j’ai supposé, pour plus de simplicité, que le
pendule qui bat la seconde à Paris, étqit égal à l’unité.
S T A T IO N S
O Ù LE S E X P É R I E N C E S
ont été faites.
Paris.......................................
Rio de Janeiro....................
Ile-de-France.......................
Ile Guam..............................
lie Mowi.............................
Cap de Bonne-Espérance.,
Port-Jackson_.......................
ÜeRawak...........................
i Iles Malouines................
LO N G U E U R D E S P E N D U L E S
1,00000000.
0,99786432.
0,99793072.
o,997'^4J 2®-
0,99792769.
0,99870718.
0,99876882.
0,99706770.
1,00000000.
0,99781695.
®.9979‘ 55î-
0.9975'^'J ‘-
0,99871088.
0,99875619.
0.99712132,
1,00022130,
1,00000000
0,99782112.
o>9979<^5'^=‘'
o.997î 7 '3 5
0,9987.527,
0,99876661 ,
0.99709682,
LONGUEUR
MOYENNE.
1,00000000.
0 ,9 7 7 8 3 4 1,
«.997937»9-
i>.997S9^<18.
o,9979h'7^9.
0 ,9 9 87 1111.
0,99878387,
0,99709528.
1,00022.jo.
S. V I I.
Réduction au niveau de la mer.
Nous pourrions introduire maintenant ces valeurs dans les calculs
qui doivent donner l’aplatissement de la terre, si nos expé-
(•) Soit M , le nombre moyen d'oscillations infiniment petites d’un de nos pendules i 20“ et
dans le vide à Paris ; m , le nombre d’oscillations moyennes dans les mêmes circonstances, à R io
de Ja n e iro , par exemple ; la longueur du pendule à seconde à Paris; et L , celle du pendule
à seconde à R io de Jan e iro , nous aurons . . A I ' : m ' : L ; d’ où l’on ttre , . L = ,
ou L — , en supposant que / = 1. Mais à cause de l’emploi des logarithmes, et parce
que A I est un très-grand nombre, i! sera plus exact de faire m = .1/ — a ; on aura donc
L e:r ^ ~ i — -— , qui ne se compose plus que de petites quantités,
A P AI Aiservira
également pour R io de Janeiro , le Cap de Bonne-Espérance, Hle-de-France, Rawak ,
Ciuam, Mowi et Port-Jackson : mais aux Malouines, où A l < tn , on aura . . m — A I -t- j , et
par conséquent . . L =z l ----
Voyage . / f — Observations du Pcuduk.