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:;î . L'&ncclui dit • xk :ov.i^nèz point de donner votre fille à ce jeune
t.-owme, p» c: •* craint pieu ,-téi que-votre Hile lui est dte pour
*' pou?p... pour cela que mil autre n'a pu l’avoir poursaj^mme.
V iiago?;'.! nù répondit : Je ne doute poinüque mes prières et mes
-, » :\»,' -Kil-s : venues étrla jaéseuce - t-ku, et. qu’il ne lésait exau*
14. Et je crois qu’ü a pem.u.v: que vous ^..ytu veatts nous voir , afin
■ • r' ( • pensât une personne de sa parente- « selon la] loi de
■ • s-i f:1 j©; ne vous donne ma UH' comme
- 1 * - ■ .• i m à’wf droite de sa fille, il U oui da mis '»• .j cj’ütte
»0 Toibiey et lui dit : Que le Dieu d’Abraham , le Dieu d’isaac et le
Dieu de Jacob soft avec vous. ! que -lui-“,même vou$ unisse , e t qu d accomplisse*^
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• s 7. àr**V«eir iî* Knist W tëstin «ti Wkàadsé
T y. Hague 1 appela Anne sa femme* et lyi ordonna ik \-o • • •• r une
19. Ce iju’ay ant exécuté , elle y mena Sara sa fille -qui m - mit a
pleurer.
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I, l'a bie et Sor:: ■posent •• <b» » w k ' puU de
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"*iÉ Lequ^ SK siftivenant de ce que i’arige îi
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