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E X P L I C A T I O N
P L A N C H E I I I.
F I G U R E I.
C ' E S T le même contour que celui de la planche précédente : il représente notre éléplianl
écoiché dans la même position.
a. a. les trous incisifs, a. b. la pointe de la langue.
A. E. C. la mâchoire inférieure.
13. D. l'os sternum.
A. B. et C. D. les muscles sterno-maxillaires- (Voyez plus particaiièrement O. P. figure
2, planche XI.)
P. Q. R . , P. Q . R. les muscles peaussiers de l'abdomen analogues à ceux qu'on trouve
dans la plupart des quadrupèdes.
M. N. l'ombilic et la partie du cordon qu'on distingue dessous la poau.
X. Y. les glandes inguinales.
A. B. G. K. la verge se réunissant avec les muscles accélérateurs de l'urine.
A. l'orifice du prépuce. A. G. la verge. B. D . , B. D. les muscles qui retirent la verge.
K. les accélérateurs de l'urine. L. l'anus.
F I G U R E II.
Représente la partie inférieure de la verge vueobliquement decôté, etpluî
que dans la figure précédente.
A. D. F. G. le corps caverneux du côté gauche avec le muscle érecteur E. F.
N. G. le corps caverneux du côté droit. P. G. le bulbe de l'urètre.
B. C. L. D. le muscle qui retire la verge du côté gauche ; il
celui du côté opposé, avec lequel il forme en B. un tendon
la verge et s'attache au gland. Ces muscles qui prennent leur
représentés plus en détail sur la planche V.
E. G. H. I. i'un des muscles accélérateurs de l'urine : il est er
rateur plus charnu H. I. K., dont l'analogue
dans les chiens.
n grand
trouve en réunion avec
qui passe par-dessus
le aux os pubis sont
c l'accélée
particulièrement dans les singes et
D E S P L A N C H E S.
P L A N C H E I V.
REPRÉSENTE l'ouverture du corps pour la démonstration des reins avec les testicules
et la vessie urinaire.
F I G U R E I.
Elle donne le simple trait des parties les plus essentielles de la figure du milieu.
Celle-ci plus terminée n'a pas été chargée de caractères, afin d'éviter la confusion.
A. l'orifice commun des veines cave et hépatique qui traversent le diaphragme pour
aboutir au coeur.
B. C. le trou du diaphragme coupé profondément.
Il est à remarquer que le péritoine qui recouvre le diaphragme , ainsi que les grands
vaisseaux des lombes, est d'une substance tendineuse ; taudis que le diaphragme, aa
contraire, est fort mince.
B. D. l'origine du mesentère coupé à cet endroit.
^ E. E. les reins succenturiaux. F. G. H., F. G. H. les reins situés sous le péritoine et dessinés
dans leurs justes proportions.
I. K., I. K. les uretères. L. l'intestin rectum coupé à cet endroit. K. K. Q. la vessie uri-
M. N. les bords internes de la crête des iléons.
O. le cartilage xiphoïde.
P. le pubis; la cavité du bassin ne s'étend que jusqu'en Q . ; mais celle de l'abdomen
continue de Q. en P.
R. Q. P. le ligament de la vessie formé par la duplicatnrc du péritoine qui faisoii
l'ouraque. Ces parties sont mieux représentées en A. D. C. figure
S. les artères coeliaque et mésentérique coupées ; elles sont plus évidentes daa^ la
•figure 2,.
T. les artères et les veines diaphragmatiques distribuées au-dessous du péritoine.
Les testicules sont, comme Aristote l'avoit déjà remarqué, attachés aux reins. On les
a représentés ici sans ces appendices qui imitent une sorte d'omemum, afin d'éviter la
confusion. Ils sont micus exprimés dans la figure suivante; mais particulièrement en
b. d. m. l. n. o. de la figure i de la planche V.
fi. b. c. les testicules avec les vaisseaux spermatiqnes a. b. enveloppés d'un péritoine
fort épais.
h. c. d. l'épididyme avec le cnnnl déférent cjui passe des deux cotés, le long de l'intérieur
des uretères vers la partie postérieure de la vessie.