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des r u m i n a » , les extrémité, s'alongent relativement moin, que le e o r p s mau cheï
l'éléplisnt c'est l'avant-tiain on tonte la partie antérieure qni s'élève plus que l'autre et
c'est en ce sens qu'il faut expliquer les parole. d'Aristoté, lorsqu'il assure que le. o n t e -
mités H,.MERALES sont plu. longues que les e m é m i l é . fémorales.
T t repré.cnte l'orificc du couloir de 1« glande temporale dans le. deux proBls. Le
re.tc n'ii p a . besoin d'explication : seulement faut-il taire attention que la queue parott
ici déBatnie de . a houpe, ayam perdu ses soie, par le frottement contre le caisson. Il
faut consnlter enraite » r cela 1. %ure 4 de la même planche, mai. sur-tout lu figure 7
de la planclic XVI.
f i g u r e II.
C'est le profil de la téte d'un jeune éléphant dessiné vivant en ly-^c,, dans la ménagerie
du prince d'Orange p r é . de k Haie. Le conloir des tempes se voit en A. L a glande
temporale a été représentée à la ligure ï de la planche XI.
F I G U R E I I I.
Ici l'on volt les mammelles de l'éléphante, dont la vulve est représentée à la figtire .-j.
L. le milieu de la poitrine ou la pointe du sternum. ( Voyeî F. planche II.) L et K. le. bra.
on les extrémités antérieures-, I. M. P. la mammelle droite ; P. N. K. la mammelle gauche.
Elles étoient flasques dans ce jeune sujet.
M N. le. mammelons visibles dans les deux sexes, mai.plus grand, dan.lcsfemelle.:
il e.t à pré.umer que ce. partie, deviennent tré.-gr.ndes dan. les éléphante. qui allaitent.
F I G U R E IV.
Cette ligure représente la croupe, ponr donner le contour de la vulve et de son conduit,
qui forme une espèce de poche légèrement ridée C. D. E . , dont l'ouverture E, F.
laisse pa..er le clitori. quand l'éléphame vient à pi..er. J ' a i remarqué cette ,orto d erection
du clitori. principalement dans l'éléphante de Versailles : cette p a m e , plus ou
moins bifonrehue, .'alongeoit alors presque jusqu'à terre , en imitant la forme d une
verge ; desorte qu'il ne faut pas s'étonner de ce que l'éléphante disséquée par Perrault ait
passé pendant treize ans pour un ™jet môle ; d'amam plu. que le. te.ticule. . om cache,
dan.'! l'intprieur du ventre. , .
B G H la qneue. Une partie des soies étoit coiip-'-e par le frottement, ainsi que celles
du mâle de l a planche I I , dont la houpe étoit parfaitement conservée deux années aup
a r a v a n t , lorsque j'en ai modelé la figure. On peut en voir des copies executees en
plâtre dans plusieurs collections d'histoire naturelle.
B. l'anus, qui ressemble à celui du cheval.
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D E S P L A N C H E S.
P L A N C H E II.
C E T T E planche représente notre éléphant mâle réduit au huitième de sa grandeur naturelle
et renversé sur le dos.
A. A. R. S. la trompe, dont l'extrémité R. est garnie d'un doigt S. ( Voyez plus particulièiement
les ligures 2 et 5 de la planche XV. ) A. A. la partie postérieme applatie;
sa partie antérieure ou e;£téiieure est parsemée de poils.
OH voit en A. et A. les ouvertures qui, dans l a suite, auroient donné passage aux défenses,
lesquelles étoient encore profondément cachées dans les alvéoles ; clcsorte qu'on
peut à peine les remarquer au squelette. ( Voyez ». T. figure 4 de la planche X. )
B. la pointe de la langue qui sortoit hors de la bouche.
C. C. les paupières.
D. E. D. les oreilles.
F. la pointe du sternum. G. le nombril.
H. le prépuce, qui enveloppe et cache parfaitement le gland.
H. I. la verge , reconnoissable au renflement de la peau.
K. l'anus. K. M. la queue.
L. M. la partie garnie de soies, qni s'étendent plus loin au bord inférieur tourné
contre le ventre que sur le bord extérieur N. M. (Comparez la figure 7 de la planche
X V I , D. C.,13. C.)
Il se trouve cinq doigts avec autant d'ongles aux extrémités antérieures, 1.2.3. 4.5.;
et quatre seulement aux extrémités postérieures, i. a . 3. 4. (Voyez la planche XVI,
figures 3 et 4 , ainsi que le squelette planche XVII.)