EIGENSCHAFTEN.
In dm südlichen Frankreich «oll er, wie Guffon erzählt,
ZBweilen, besonOcrs bei rcgnichlen 1'egen, sich mit den Finken
vereinigen und zshlrciclie Schaaren bilden. In Deutschland
scheint er weder zaiilreich nocli gesellsclialUicIi zu sein. D enn
er im Friihialir ankonimt, so seit er sicli gewöhnlich auf die
Spitze eines üsums, läfsI daselbst seine LoLshinme z i z i , z5,
zirr liören, und nckt und bcifsl mitunter den Goldammer, nenn
sicli ein sulcher in der Nähe befindet. Sein Gesang llinelt eini-
germafscn dem des Goldsmmers, ist aber nicht so melodisch ,
und bestellt aus (len Silben zis, ziszir, gör, gör, gor. Erläuft
gern und viel auf dsr Erde, daher man ihn auch nach der l’a-
rung seilen mehr hoch sitzen sielit, sondern ihn meistens auf
einem niedrigen Gebüsche aolrilL Im Zimmer Ufst er sicli
leichl zähmen.
NAHRUNG.
Er niUirt sich Ihcils von Insekten z. B. von Kolliraupen und
Erdkäiern, Üieils von SUmeroien^ Hofer, Hirsen und Riibsa-
Bien. Im Zimmer gibt m.-m ilim das Futter de» GoldamnicrK.
Als Vcrdauungsmiltel frifst er Quarzkörner.
FORTPFLANZUNG.
Sein Nest bauet er in Hecken und Gebüsche aissGrashab-
meii mil Thierhaaren ausgerüllerl, worein das AAcibclien nur
einmal des Jahrs drei bis vier grauliche, mit blutbinuncn l'Ie-
«keu und Punkten bestreute Gier legL
NUTZEN.
QUALITÉS.
Suivant Buffun, dans le midi de la France, on le vnit qiiel-
tpio foi» et surtout dans des jours pluvieux se rassembler avec des
jiinçoiiselfonner avecenx des troupes nombreuses. En .Allemsg-
ue il semble être peu nombreux et peu sociable. A son arrivée
au printemps il sc penho ordinairement ao sommet d'un arbre
et D U fait entendre son appel zi zi, zai, zirr et s'il se trouve
<|uelque bi uant dans son voisinage , il le badine el même il le
murd iiuelquu fois. Son chant ressemble en (|uel<juc sorte â celui
du bruant, cependant il n'est pas aussi mélodieux et consiste
dans les ariiculations zis, zis, zir, guir goir, goir. U aime i courir
long temps par terre, aussi après le U-rme do ses amours un
le voit rarement perclié sur des hauteurs, on le trouve plutôt
sur des buissons peu élevés. Ou peut aisément l’apprivoiser en
chambre.
NOURBITURE.
Il se noorrit en partie d’insectes comme par exemple de’
dtenilles qui mangent les choux et de carabes, el en partie dè
semenm s, d’avoine, de oiiUel el de colsat. En cliambrs on Ini
donne la mime nourriture qu’au bruant. Pour favoriser la digestion
il avale des groins de sable.
PROPAGATION.
I! baüt son nid sur les haycs cl dans les buissons, avec de»
brins d’herbes et il le garnit de poils d’animaux. La femelle ne-
pond qu’une fuis par au, trois à quatre oeufs grisâtres, avec de»
taches de song foncé el des points de la même couleur.
Er wird im Herbste selirfell, und da seit
haflec als das des Coldainmer» ist, so- wird
gcsscii. Einen
Fleisch »chmak-
;s aucli gciu ge-
C T IL 1TÈ.
R engroisse beaucoup cn automne, et comme sa chair est
d'un meilleur .goût que celle du bi-uont, on lui donne aussi 1»
préférence. Qnoul uu
DOMMAGE
qu’U peut commetlrc, il est insigniBinl. Ses
ENNEMIS
sont le» mêmes sans doute que ceux des autres pcÜtJ ois»:-
aux (le son espèce.
MANIÈRE DE LE CHASSER.
SCHADEN
wissen wir von-ibm niclil anzurüliicn.-
FEINDE
liat er vermuthlich mil ändern kleinen Vögeln s
Im Frühjalir kann man aie , ehe sie sich gepaarct Im- Au printemps avant I’cpoque de »es amours , onpeul aiseben,
auf Lokbiischen mittelst eines gut lucktmden Uoldainmcr» ment l'allräper por le moyen d'un bruont, qui sert d'appcou, mal*
fongcn , nur muls man ihnen dio Locke so nalie als möglich 11 faut opiiroelicr celui-ci le plus près qu’il est possible do t’cobringcn.
Mit der Flinte und dem Blasrobr kaun er leicht er- • droit, oü il a conlunio de »e percher, ün peut aussi le tuer au
Irgl vvei-den. fnsii ou avec la sarbacane.
ANMERKUNG. ' REMARQUE.
gemein.
JAGD UND FANGv
Bechstdn gibt den Augenslcrii dunkelblau an, allein er ist Beehslein prétend que cot oiseau
nous , nous l'avons trouvé bruu.
i l’iris bleu foncé, quant