
SCUTELLARIA COLUMIAE All. Var.
Scutellaire de Columfla.
Nqm allemand: Columna’s Helmkraut.
Nom anglais: Tall Skull Cap. Heart leaved Skull Cap.
Fleurit: Juin—Sept. 2J.
Système de Linné : Cl. XIV. O. I. Didynamie Gymnospermie.
Système Naturel: Vasculaires Dicotvlédonées. O. Labiées«
Caractères génériques : Voyez le N°. 652, Vol. IX.
Caractères spécifiques: Tiges dressées, simples ou peu rameuses, pubescentes'; feuilles à poils courts, pétiolées, tronquées ou cordiformes à la base, ovales-oblongues ou acuminées, grossement crénelées ; grappe florale unilatérale à la fin allongée laxe, à poils glanduleux étalés ; feuilles florales (bractées) plus étroites à la base, poilues, ovales, aigues; corolle purpurascente pubescente-viscide, six fois nucules granulées. plus longue que le calice;
Variété à bractées égalant ou dépassant le calice fructifère.
Souche grêle, oblique et rameuse; tiges quadrangulaires, pourpre violacé, hautes d’ 1—3 pieds, feuilles minces, d’un vert mat, pubescentes ; calice se développant pendant la floraison et dépassant plus tard le pleésd iccaellilcèe. sL fersu cbtrifaècrteése.s' Coour ofleleu ilmleess uflroarnatle sd ed u2 —ty3p ec esnotn.t, pélluars giceo uàr tleas ,g ocregllee.s de notre variété plus longues que
Par la longueur des bractées notre plante se distingue de l’espèce type décrite par Bentham (Prodr. Z). C. XII, 419) et semble identique avec la variété fi Sibthorpii de cet auteur. Syn. S. altissima Hamilt. non L. La figure décrite dans le Botan. Magazine N°. 2548 som le nom de S. altissima, appartient sans doute à notre espèce, de même que les S. peregrina Sm. non L., S. pallida Guss. S. Gussonii Ten., S. peregrina folüs Lamii Cup. Voyez Bertoloni Fl. liai., VI, 246. Les figures de Columna, ekphr. 189 et d’ALLiONi Flor. Ped.
Ie.t Sp. 40 t. 84 f. 2 présentent des feuilles plus larges et plus obtuses que notre plante. La figure dé Sibthorp mith Fl Graec., VI p. 66, t. 582, n’était pas à ma disposition.
Alliées à notre espèce sont le S. altissima L. (S. commutata Guss., S. Columnae Host., S. peregrina W. K.) glabre, et à corolles d’un tiers plus courtes, d’un bleu pâle et S. peregrina L. à tiges couchées et à ccoomromllees lde’ usnu ptpieorsse pBlousis scioeurr,t eFs.l . NOotrrieen tp, laInVte, 6n8e7 s.aurait donc être identique avec le S. peregrina L. fi Sibthorpii,
Bertoloni {Flor. It. VI, 246) remarque que les exemplaires des bois florentins ont des bractées longues, ssiadnésr abqluee dcue c acliacrea pcetènrdea nltu lia fpraurcatiifsiscea tiaovno àir étué nlae cavuaslee udrè ss pdéifcfiéfriqenutee. s —op inJieo nssu psupro slae lqonuge uleeu rd édveesl foepupilelmese fnlot racolens.
fruEcxtipfl.,i cfa tidio. nc oudpee ; lga npulcaunlec. he : a fleur ; b id. coupe ; c calice (vu de face), d grappe fructifère ; e calice
Habitat. Champs boisés. Europe mérid., toute l’Italie, la Sicile, Chypre, Grèce, Turquie d’ Europe, Servie, MDaelumdoant iee,t rDarree uexn. GHoodnrgornie,, et enfin très nombreux dans les environs de Paris ; bois de Boulogne, Vincennes,
Probablement elle s’est naturalisée en France depuis bien des années. Selon Sweet elle a été importée en Angleterre comme plante ornementale de l’Orient, en 1806.
Pays-Bas. J’ai découvert cette espèce, inconnue jusqu’ ici à notre flore, dans un taillis au pied des dunes boisées près de Haarlem, en Juin 1882. Sans doute échappée d’un jardin ou arrivée accidentellement par ses graines, elle couvrait le sol d’un grand nombre d’exemplaires. Je ne.me rappelle pas avoir vu antérieurelm’éepnotq
uce etotùe lalo cpalalintét e csa’ych eées t efitx éeen.tourée de toutes parts de taillis et il m’est donc impossible de préciser