un travail parfait et systématique ; les
ligures sont d’une exactitude rare, et enluminées
avec soin. Cet ouvrage se vend à
Leipzig.
En 1882 parurent les premiers cahiers
d’une oologie in-8°, sous le titre de British
Oologjj, by. W.-G. Hewiton; il manque
encore deux ou trois livraisons comme
complément. Belles figures, exécution
parfaite et luxe typographique distinguent
cet ouvrage et le rendent très-recommandable.
Je termine cette introduction> déjà beaucoup
trop longue pour un manuel, par
quelques renseignemens indispensables
sur la rédaction adoptée dans cette troisième
partie.
Afin d’éviter les nombreux inconvéniens
qu’offre toujours un supplément, j’ai
pensé qu’il serait plus agréable, et surtout
plus facile pour ceux qui consulteront ce
livre, de suivre exactement le même mode
de classification adopté dans la seconde
édition, en rappelant Toujours chaque
ordre, genre et section, par un renvoi à
la page correspondante dans les deux premières
parties ou volumes de cet ouvrage.
J’ai mentionné ensuite chaque espèce précédemment
décrite, en ayant soin que les
dénominations française et latine occupassent
une même ligne, en petites capitales et
en italique j sous cette rubrique se trouvent
les additions et corrections à faire pour
chaque espècej de cette manière, je me
suis vu en état de classer toutes les espèces
nouvelles ou celles inédites dans les premiers
volumes, à la place qu’elles doivent
occuper dans la série. Ces articles
nouveaux seront faciles à trouver du premier
coup d’oeil, car ceux - ci portent
en tête les noms français, et en seconde
ligne la dénomination latine avec citations
de l’auteur, absolument avec les mêmes
types des caractères employés pour les
premiers volumes. J’ai rédigé* cette troisième
partie de manière à pouvoir être
intercalée facilement s’il devenait néces