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Rumph. Mus. t. 58. fig. M.
Martini, Couch. 1 . 1. 27. f. 276. 277.
Çyproea scurra. Chemn. Conch. 10. t. i44. f. i 538. a. b.
, Çyproea scurra. Gmel. p. 54og. n°. 122.
Encyclop. pi. 352. f. 3.
Çyproea scurra. Ann. ibid. n°. q.
Habite l’Oce'an des grandes Indes. Mon cabinet. Espèce très-distinct©
du C. arabica par une taille toujours moindre, par sa forme c y-
lindracèe, ses extrémités tachées de brun, et parce que ses côté?
sont ornés de points bruns et épars, au lieu de grosses taches noirâtres.
Elle n’est point commune. Longueur, 22 lignes et demie.
10. Porcelaine rat. Çyproea rattus.
C. testa ovato-venlricosâ, turgidâ , p a llid â , maculis fu lv o fu scis
irregularibus nebulosd, subtùs alkido-lividâ; dentibus incoloratis,
Petiv. Gaz. t. 96. f. 7.
Gualt. Test. t. i 5. fig. T,
Encyclop. pl. 55i. f. 4.
Çyproea rattus. Ann. ibid. p. 45i . n°. 10.
Habite.... l’Océan africain ? Mon cabinet. Celle-ci ne doit pas être confondue
avec le C. stercoraria,- car elle’ devient plus grande, et
quoiqu elle soit bombée, elle n’est point bossue. D’ailleurs toute
sa partie convexe est couverte de taches irrégulières, plus ou
moins confluentes, d’un roux brun ou marron, sur un fond bian-
châtre et livide. On aperçoit une grosse tache brune dans le voisinage
de la spire. Longueur, 2 pouces 10 lignes»
1 1. Porcelaine livide. Çyproea stercoraria.
C. testa ovato-ventricosâ, gibbâ, albido-viréscente ; lined dorsali
nullâ ; maculisfulvis sparsis raris ; infimâfacie dilatatâ., lividâ.,
Çyproea stercoraria. Lin. Gmel. p. 3399. n°. 6.
Lister, Conch, t. 687. f. 54.
Iinorr, Yergn. 4. t. i 3. f. 1.
Adans. Seneg. pl. 5. f. 1. a. lemajet.
Schroëtter, Einl. in Conch. 1. t. 1. f. 5.
Born, Mus. t. 8. f. 1.
Favanne, Conch, pl. 3o. fig. C.
Chemn. Conch. 11. t. 180. f. 1789. 174p.
Encyclop. pl. 354. f. 5.
Çyproea stercoraria. Ann. ibid. h°. 11.
Habite les mers occidentales de l’Afrique. Mon cabinet. Cette porcelaine,
que l’on nomme vulg. le lapin lorsqu’elle est parfaite, et
Xécaille lorsqu’elle n’a point sa dernière couche testacée, se distingue
de la précédente en ce qu’elle est bossue, dune couleur
livide, et chargée de petites taches rousses, rares et éparses. Les
dents de son- ouverture .sont blanche s, et leurs interstices rembrunis.
Longueur, 2 pouces 5 lignes.
12. Porcelaine saignante. Çyproea mus.
C. testâ ovatâ, gibbâ, èubluberculatâ, cinereâ , antenus maculd
fusco - sanguineâ insignitâ ; lineâ dorsali albâ, guths rufo-
| fuscis utroque latere seriatimpictâ ; lateribus undatim nebulosis.
Çyproeâ mus.1 Lin. Gmel. p. 3407. n°. 43.
Rumph. Mus. t. 39. fig. S.
Petiv. Amb. t. 16. f. 4.
Seba, Mus. 3. t. 76. f. 33. 34.
Knorr, Yergn. 5. 1 . 12. f. 3.
Favanne, Conch. pl. 3o. fig. A.
Martini, Conch. 1 . 1. 2p. f. 222. 223.
Encyclop. pl. 354. f. i .
Çyproea mus. Ann. ibid. n°. 12.
Habite l’Océan américain et la Méditerranée. Mon cabinet. Elle est
ovale,presque deltoïde, un peu bossue,et munie antérieurement
de deux ou trois tubercules écartés. Elle offre, sur un fond cendré,
une ligne dorsale blanche, accompagnée sur les côtés de petites taches
très-rembrunies, et en avant uneautrelarge et sanguinolente
qui la rend remarquable. Les dents de son ouverture sont de couleur
marron. Vulg. le léopard on le coup-de-poignard. Longueur,
2 pouces.
13. Porcelaine gésier. Çyproea 'ventriculus.
C. testâ ovato-ventricosâ, castaneâ, subtùs albidâ ; macula dorsali
albâ lanceolatâ ; lateribus cinereo - lividis , transversim
lineatis.
Çyproea ventriculus. Ann. ibid. p. 452. n0. i 3.
Habite les mers de la Nouvelle-Hollande. Collect. du Mus. Nouvelle
espèce, voisine des deux précédentes, mais qui en est très-dis-
j tincte. C’est une coquille ovale , bombée sans être bossue, épaisse,
pesante, et qui ressemble, en quelque sorte, à un estomac ü’oi-
seau. Longueur, un peu plus de 2 pouces et demi.